(S3/S4) L'Ellipse
(S3/S4) L'Ellipse - Mar 14 Mar - 12:54
Ce qu’il s’est passé au précédent épisode…
Et puis… vint le néant.
Un noir total, absolu - seule nourriture pour l’âme des deux frères emprisonnés dans un au-delà effroyable. Bercées de silence et murmures, les créatures de la dimension parallèle n’attendirent aucun signal pour prendre en chasse ces deux miettes d’énergie vitale livrées en pâture. Une traque, infernale, longue de plusieurs années de lutte, se lançait.
Trois ans.
Il suffit de trois ans d’absence pour chambouler le statu quo du Nihon. Alors que les factions humaines déterraient une haine d’un siècle et demi pour se donner la force de prendre les armes et insulter une paix si dure à préserver, les rouages de temps avançaient sans cesse. Sans grande surprise, la guerre civile mit le pays à feu et à sang. Les disciples de l’Armée des Ombres, aux commandes du shogunat, sonna le tocsin afin de déloger les parasites de Grand Order de leurs terres. Du sang irrigua à nouveau la terre - mais cette fois, du sang humain. Tous les seigneurs locaux périrent au combat, les uns après les autres, lors de frappes chirurgicales. Destinés à l’oubli, les élus de l’autre camp subirent le même sort.
Quelques shinigami lavèrent leur linge sale, tandis que des éminences de leur passé succombaient devant eux. Mais Hayate Kyoka, dit The Moon, manqua de s’effondrer lorsqu’elle apprît la véritable apparence de son chef et modèle, Shirushi Taiken, qui utilisait le pouvoir de sa Relique afin de dissimuler ses démons. Derrière ce masque d’ange se cachait son assassin, du temps de sa première vie. Évidemment, celui-ci ne fit pas long feu - ce qui sonna rapidement le glas de cette armée révolutionnaire.
Mais de l’autre côté du combat, sur les bancs noirs de l’Armée des Ombres, rien n'était rose. Entre les négoces et les messes basses, deux factions se livraient une guerre intestine pour prendre les rênes du pays. Le seigneur Shinmen Akira, grand ami du shogun décédé, garant de la sécurité du Nihon, jouait contre l’influence néfaste du seigneur Hitorine Iemoto et ses disciples, qui cherchaient à tout prix un moyen de rendre l’humanité esclave. Au milieu de tout cela, de toutes ces morts, de tous ces accidents, Fenihara Shaporo tira son épingle du jeu et réussit à devenir le plus grand fragment de l’antique Dieu Impĕrātŏr.
Ainsi se termina la guerre : dans le sang et les larmes. L’Armée des Ombres, du moins ce qu’il en resta, fit de son mieux pour reconstituer un semblant de pouvoir, et de rallier leurs citoyens autour d’un même lendemain. Mais le pire était encore à venir.
Lors d’une opération sournoise des Prophètes, l’un des Trésors Sacrés en possession des Exarchi fut subtilisé. Les envoyés du Vide exploitèrent la fierté du Dieu-Serpent Tenebrae afin de lui tendre un piège fatal, au bout duquel Yata no Kagami disparut. Le serpent sacrifia de nombreuses têtes ce jour-là, mais rien ne valut la perte du Miroir. Cette frappe décisive redistribua les cartes aux acteurs de cette guerre interminable - car les gardiens du Nihon ne possédaient plus ce deuxième Trésor Sacré, si ennuyant, qui les protégeait de l’assaut de leurs ennemis jurés. Un siège dont le nom était déjà sur les lèvres de chacun…
La Troisième Marche.
Les anges du Havre des Esprits sautèrent sur l’occasion pour sauver leur peuple, leur royaume, leur monde en ruines - l’Univers. Rapidement, des failles de Reishi apparurent aux quatre coins du Nihon afin d’infester les terres. Des hordes de Séléniens massacrèrent toute opposition, et absorbèrent la moindre trace d’énergie spirituelle, au point de trouer la première couche de la planète pour enfin pénétrer les Cercles. Évidemment, les Exarchi ne se laissèrent pas abattre, et formèrent une coalition dangereuse, ce qui condamna doublement les rares Nihonjin survivants, voguant d’une guerre à une autre. L’une des batailles décisives de ce premier assaut fut le siège du Dixième Cercle : le monastère d’Enryaku-ji de Fābŭla. Dressé en première ligne, l’Exarchus subit le plein pouvoir des envoyés de l’Enfer, et parvint à gagner de précieuses journées d’effort au prix des nombreux fragments de son existence - à l’instar d’Ada, qui n’était autre qu’une énième facette de sa personnalité en morceaux. Le Gardien Shin’ichi mourut à leurs côtés, le masque de son tendre ami porté sur son visage, affichant un sourire éternel. Le lendemain de cette bataille, l’Égide du Nihon récupéra ce masque sans vie, et se jura de lui rendre honneur.
Par prise de conscience, les élites du Seireitei ouvrirent leurs portes d’ivoire à leurs protégés en péril - incapables de lutter sur tous les fronts pour aider chacun de manière disparate. Les bulles spirituelles des divisions furent toutes rapatriées au San’in afin d’accumuler un maximum de puissance, tandis qu’un exode massif vers Edo s’opérait tant bien que mal. Évidemment, une faible partie de la population réussit à rejoindre le Dernier Refuge - même si les troupes de l’Armée Invisible étaient déployées dans ce but. Des dangers de tout horizon empêchaient les Nihonjin d’espérer un meilleur avenir, condamnés au deuil.
Le choc des puissants eut l’effet d’un phare en pleine mer tempétueuse pour les créatures du Vide. Car derrière le voile infini mouraient de plus en plus d’étoiles fragiles - de plus en plus d’âmes-monde. Au rythme des saisons, plus rien ne vivait, là-haut. L’étau mortel du Froid Mordant se refermait doucement sur la poignée d’âmes gravitant autour du brillant Nihon, tandis que tous s’échauffaient les uns contre les autres, anges contre démons. De plus en plus d’âmes-monde, justement, s’écrasèrent sur la surface du Nihon, créant des semblants de bulles temporelles - des existences locales parallèles. Les gardiens de ces plans déchus, à l’instar des Exarchi du Nihon, hantaient les environs de chaque anomalie - parfois en bien, parfois en mal. Car n’importe qui pouvait être corrompu par le Vide.
Cela permit aux Prophètes d’agir sans entrave. Lorsque les Stern Ritters attaquèrent le Dixième Cercle, les lieutenants du Maître attaquèrent sans vergogne les mondes de ces émissaires ailés, à l’instar d’Ojniøz, mais aussi le Havre des Esprits. Pris entre deux feux, les rangs des Chevaliers Stellaires durent se diviser en deux, sonnant le début de la fin. Le Monde des Valkyrs, notamment, ne tarda pas à tomber en ruines. Malgré la protection des Cavaliers de la Fin de Valwenys, Ojniøz croula sous les sabots de forces oppressantes. En plus des assauts célestes, l’âme-monde de la planète se révéla être corrompue par les murmures du Vide, accélérant sa froide fin. Lors de la bataille décisive de Valären, où la Foudre du Maître s’était déchaînée, les vestiges de la lune d’Ojniøz chutant de toute vitesse vers la surface, plusieurs héros perdirent la vie. Parmi eux, la Stern Ritter Valwenys et son âme-liée Kusanagi Seigen. Un sacrifice qui permit aux Cavaliers survivants - et les derniers Valkyrs - de rejoindre le Dernier Refuge de toutes les humanités : le Seireitei.
Les choses avaient été, selon toute vraisemblance, bousculées. Les Nécromanciens et les Anges, luttant main dans la main ? Pourquoi l’élite du San’in accepterait-elle d’accueillir le Stern Ritter Reisender, et son peuple de Valkyrs sans foyer ? Grâce aux négociations hérétiques de Bayushi Kineko et de Ryuzoji Genichiro, une ligne directe avait été créée entre la Tour d’Ivoire et le Jiyuutaisha - le Grand Sanctuaire de la Liberté. Alors que l’Univers subissait une fin accélérée, l’Apocryphe accueillit positivement l’idée d’oublier le passé, et de rejoindre à nouveau l’influence sacrée du San’in. Ensemble, les deux bastions réussirent à se protéger des assauts des Exarchi, des Stern Ritters, des Prophètes, et des créatures du Vide. Derrière leurs murailles aveuglantes, les êtres vivants du Nihon et d’ailleurs pouvaient vivre quelques jours de plus. Par chance, un faisceau d’espoir subsistait.
Malgré l’autorité de leurs grands dieux, risquant de mettre leurs propres frères et soeurs à dos, deux entités accomplirent leur destinée unique : l’Exarchus Ǒcŭlus et le Stern Ritter Ianmyar. Ces prophètes avaient déjà essayé de prévenir leur entourage du danger de la Troisième Marche, et ce dans les deux camps, mais l’inévitable s’était pourtant passé. Après de nombreux mois de luttes et de sacrifices, néanmoins, un événement extraordinaire arriva sur la table des négociations : le binôme que toute opposait trouva le moyen de contacter le Maître en personne. Et le Stern Ritter avait un argument de poids à lui soumettre.
Narrateur a écrit:Ozevkar fit irruption derrière les frères ennemis. Mains tendues, il terminait du bout des lèvres un aria - jamais il n’aurait osé s’attaquer à de pareils monstres en temps normal. Mais les plans du Maître avaient changés. De la pointe de ses doigts, des fils tissèrent des dizaines de portes autour des deux envoyés divins. Ils ne craignaient pas le Dangai, non. Et aucune planète ou Prophète ne pouvait les retenir. Mais il existait un sort, un sort unique pour se débarrasser de n’importe quel être - à condition de pouvoir le surprendre, ou de profiter d’un moment de faiblesse. Les gueules des abysses laissèrent apparaitre des tentacules noirâtres qui se saisirent des blessés pour la trainer au pire endroit du cosmos : la prison d’Izanami la folle.
Et puis… vint le néant.
Un noir total, absolu - seule nourriture pour l’âme des deux frères emprisonnés dans un au-delà effroyable. Bercées de silence et murmures, les créatures de la dimension parallèle n’attendirent aucun signal pour prendre en chasse ces deux miettes d’énergie vitale livrées en pâture. Une traque, infernale, longue de plusieurs années de lutte, se lançait.
Trois ans.
Il suffit de trois ans d’absence pour chambouler le statu quo du Nihon. Alors que les factions humaines déterraient une haine d’un siècle et demi pour se donner la force de prendre les armes et insulter une paix si dure à préserver, les rouages de temps avançaient sans cesse. Sans grande surprise, la guerre civile mit le pays à feu et à sang. Les disciples de l’Armée des Ombres, aux commandes du shogunat, sonna le tocsin afin de déloger les parasites de Grand Order de leurs terres. Du sang irrigua à nouveau la terre - mais cette fois, du sang humain. Tous les seigneurs locaux périrent au combat, les uns après les autres, lors de frappes chirurgicales. Destinés à l’oubli, les élus de l’autre camp subirent le même sort.
Quelques shinigami lavèrent leur linge sale, tandis que des éminences de leur passé succombaient devant eux. Mais Hayate Kyoka, dit The Moon, manqua de s’effondrer lorsqu’elle apprît la véritable apparence de son chef et modèle, Shirushi Taiken, qui utilisait le pouvoir de sa Relique afin de dissimuler ses démons. Derrière ce masque d’ange se cachait son assassin, du temps de sa première vie. Évidemment, celui-ci ne fit pas long feu - ce qui sonna rapidement le glas de cette armée révolutionnaire.
Mais de l’autre côté du combat, sur les bancs noirs de l’Armée des Ombres, rien n'était rose. Entre les négoces et les messes basses, deux factions se livraient une guerre intestine pour prendre les rênes du pays. Le seigneur Shinmen Akira, grand ami du shogun décédé, garant de la sécurité du Nihon, jouait contre l’influence néfaste du seigneur Hitorine Iemoto et ses disciples, qui cherchaient à tout prix un moyen de rendre l’humanité esclave. Au milieu de tout cela, de toutes ces morts, de tous ces accidents, Fenihara Shaporo tira son épingle du jeu et réussit à devenir le plus grand fragment de l’antique Dieu Impĕrātŏr.
Ainsi se termina la guerre : dans le sang et les larmes. L’Armée des Ombres, du moins ce qu’il en resta, fit de son mieux pour reconstituer un semblant de pouvoir, et de rallier leurs citoyens autour d’un même lendemain. Mais le pire était encore à venir.
Lors d’une opération sournoise des Prophètes, l’un des Trésors Sacrés en possession des Exarchi fut subtilisé. Les envoyés du Vide exploitèrent la fierté du Dieu-Serpent Tenebrae afin de lui tendre un piège fatal, au bout duquel Yata no Kagami disparut. Le serpent sacrifia de nombreuses têtes ce jour-là, mais rien ne valut la perte du Miroir. Cette frappe décisive redistribua les cartes aux acteurs de cette guerre interminable - car les gardiens du Nihon ne possédaient plus ce deuxième Trésor Sacré, si ennuyant, qui les protégeait de l’assaut de leurs ennemis jurés. Un siège dont le nom était déjà sur les lèvres de chacun…
La Troisième Marche.
Les anges du Havre des Esprits sautèrent sur l’occasion pour sauver leur peuple, leur royaume, leur monde en ruines - l’Univers. Rapidement, des failles de Reishi apparurent aux quatre coins du Nihon afin d’infester les terres. Des hordes de Séléniens massacrèrent toute opposition, et absorbèrent la moindre trace d’énergie spirituelle, au point de trouer la première couche de la planète pour enfin pénétrer les Cercles. Évidemment, les Exarchi ne se laissèrent pas abattre, et formèrent une coalition dangereuse, ce qui condamna doublement les rares Nihonjin survivants, voguant d’une guerre à une autre. L’une des batailles décisives de ce premier assaut fut le siège du Dixième Cercle : le monastère d’Enryaku-ji de Fābŭla. Dressé en première ligne, l’Exarchus subit le plein pouvoir des envoyés de l’Enfer, et parvint à gagner de précieuses journées d’effort au prix des nombreux fragments de son existence - à l’instar d’Ada, qui n’était autre qu’une énième facette de sa personnalité en morceaux. Le Gardien Shin’ichi mourut à leurs côtés, le masque de son tendre ami porté sur son visage, affichant un sourire éternel. Le lendemain de cette bataille, l’Égide du Nihon récupéra ce masque sans vie, et se jura de lui rendre honneur.
Par prise de conscience, les élites du Seireitei ouvrirent leurs portes d’ivoire à leurs protégés en péril - incapables de lutter sur tous les fronts pour aider chacun de manière disparate. Les bulles spirituelles des divisions furent toutes rapatriées au San’in afin d’accumuler un maximum de puissance, tandis qu’un exode massif vers Edo s’opérait tant bien que mal. Évidemment, une faible partie de la population réussit à rejoindre le Dernier Refuge - même si les troupes de l’Armée Invisible étaient déployées dans ce but. Des dangers de tout horizon empêchaient les Nihonjin d’espérer un meilleur avenir, condamnés au deuil.
Le choc des puissants eut l’effet d’un phare en pleine mer tempétueuse pour les créatures du Vide. Car derrière le voile infini mouraient de plus en plus d’étoiles fragiles - de plus en plus d’âmes-monde. Au rythme des saisons, plus rien ne vivait, là-haut. L’étau mortel du Froid Mordant se refermait doucement sur la poignée d’âmes gravitant autour du brillant Nihon, tandis que tous s’échauffaient les uns contre les autres, anges contre démons. De plus en plus d’âmes-monde, justement, s’écrasèrent sur la surface du Nihon, créant des semblants de bulles temporelles - des existences locales parallèles. Les gardiens de ces plans déchus, à l’instar des Exarchi du Nihon, hantaient les environs de chaque anomalie - parfois en bien, parfois en mal. Car n’importe qui pouvait être corrompu par le Vide.
Cela permit aux Prophètes d’agir sans entrave. Lorsque les Stern Ritters attaquèrent le Dixième Cercle, les lieutenants du Maître attaquèrent sans vergogne les mondes de ces émissaires ailés, à l’instar d’Ojniøz, mais aussi le Havre des Esprits. Pris entre deux feux, les rangs des Chevaliers Stellaires durent se diviser en deux, sonnant le début de la fin. Le Monde des Valkyrs, notamment, ne tarda pas à tomber en ruines. Malgré la protection des Cavaliers de la Fin de Valwenys, Ojniøz croula sous les sabots de forces oppressantes. En plus des assauts célestes, l’âme-monde de la planète se révéla être corrompue par les murmures du Vide, accélérant sa froide fin. Lors de la bataille décisive de Valären, où la Foudre du Maître s’était déchaînée, les vestiges de la lune d’Ojniøz chutant de toute vitesse vers la surface, plusieurs héros perdirent la vie. Parmi eux, la Stern Ritter Valwenys et son âme-liée Kusanagi Seigen. Un sacrifice qui permit aux Cavaliers survivants - et les derniers Valkyrs - de rejoindre le Dernier Refuge de toutes les humanités : le Seireitei.
Les choses avaient été, selon toute vraisemblance, bousculées. Les Nécromanciens et les Anges, luttant main dans la main ? Pourquoi l’élite du San’in accepterait-elle d’accueillir le Stern Ritter Reisender, et son peuple de Valkyrs sans foyer ? Grâce aux négociations hérétiques de Bayushi Kineko et de Ryuzoji Genichiro, une ligne directe avait été créée entre la Tour d’Ivoire et le Jiyuutaisha - le Grand Sanctuaire de la Liberté. Alors que l’Univers subissait une fin accélérée, l’Apocryphe accueillit positivement l’idée d’oublier le passé, et de rejoindre à nouveau l’influence sacrée du San’in. Ensemble, les deux bastions réussirent à se protéger des assauts des Exarchi, des Stern Ritters, des Prophètes, et des créatures du Vide. Derrière leurs murailles aveuglantes, les êtres vivants du Nihon et d’ailleurs pouvaient vivre quelques jours de plus. Par chance, un faisceau d’espoir subsistait.
Malgré l’autorité de leurs grands dieux, risquant de mettre leurs propres frères et soeurs à dos, deux entités accomplirent leur destinée unique : l’Exarchus Ǒcŭlus et le Stern Ritter Ianmyar. Ces prophètes avaient déjà essayé de prévenir leur entourage du danger de la Troisième Marche, et ce dans les deux camps, mais l’inévitable s’était pourtant passé. Après de nombreux mois de luttes et de sacrifices, néanmoins, un événement extraordinaire arriva sur la table des négociations : le binôme que toute opposait trouva le moyen de contacter le Maître en personne. Et le Stern Ritter avait un argument de poids à lui soumettre.
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