La temporalité est gérée par le Staff. Les saisons vont s'enchainer à chaque modification de contenu pour garder un rythme cohérent, pour que cela soit ni trop expéditif ni trop lent. Chaque changement de saison sera l'occasion de résumer tout ce qu'il s'est passé jusque-là !

Alors, grosso modo, pour prendre l'exemple du Seireitei, celui-ci est un plan parallèle d'Edo. À savoir qu'il est superposé par-dessus, et même calqué selon son modèle initial. À un instant T (i.e. la création du Seireitei, le fameux Edo inversé), il a existé deux versions séparées, mais identiques d'Edo. Avec le temps, les deux versions se sont différenciées, pour en faire deux véritables plans distincts. De la même façon, il existe des sanctuaires, dans chaque région de l'archipel, où se cachent les shinigami. Ces mondes parallèles sont accessibles par des voies spécifiques, protégées par les entités spirituelles, et il est ainsi possible d'aller d'un monde à l'autre (du moins, d'une version à l'autre du monde) en les franchissant.

Oui et non. Pour l'heure, vous devez obligatoirement passer par une narration, et celle-ci doit venir de l'équipe de modération et/ou de narration. En revanche, il est possible d'aller dans le QG des Marche-Failles, si vous y avez le droit, afin de côtoyer le Dangai sans vous aventurer trop loin, et cela sans narration. Ceci étant dit, vous ne pouvez pas ouvrir une faille comme par magie, en claquant des doigts.

Oui, tout à fait. Il est possible d'être transféré vers une nouvelle Division, avec la justification adaptée. Mais cela n'est pas sans conséquence. D'une part, la Division à laquelle vous êtes affecté est celle qu'il vous faut, alors vous êtes censé perdre au change. De plus, la Division que vous rejoignez est dans son droit de ne pas vous faire confiance. Vous commencerez en bas de l'échelle, et devrez faire vos preuves, selon les standards de la Division.

Oui, vous pouvez jouer un hybride ou un animal tant qu'il a une forme anthropomorphique. En d'autres termes, il est interdit de jouer une fille aux des oreilles de chats, mais nous vous invitons à jouer une femme-chatte couverte de fourrure. Attention aux délits de faciès !

Non, aucune ! Vous pouvez vous rendre dans n'importe quelle contrée du pays sans justification. On vous invite toutefois à garder une évolution cohérente ; s'il faut traverser plusieurs régions ou emprunter la mer, il faudra préparer son voyage. Il faut entre trois et quatre jours pour aller d'Edo à la région du Kansai.

Eh non ! La Soul Society a été créée par les Pères Fondateurs, alias des êtres humains ayant développé leur énergie spirituelle, jusqu'au point de se transformer en âmes immatérielles. Aucune entité créatrice n'a claqué des doigts pour créer ce résultat. Aussi charmant était-il, vous ne pourrez donc pas faire la rencontre du bras gauche du Roi des âmes.

L'Histoire nous a montré qu'il est facile de partir en guerre. Quelques rivalités, un casus belli, et les guerriers en nage rejoignent le combat. La Guerre des Frères d'Armes n'est pas une grande exception. Il s'agissait seulement d'une tentative de renverser le pouvoir en place, alias le deuxième shogunat, qui a hélas convaincu plus de monde que prévu. La raison : des règles trop castratrices, et des seigneurs qui abusaient de leurs droits face aux paysans nés sous une moins bonne étoile. Le principe même du shogunat était remis en cause. Au fil du temps, la raison de la guerre s'est fait de plus en plus discrète, au point de ne plus valoir grand chose. Durant les dernières années du conflit, les deux camps se battaient plus par vengeance que conviction personnelle, jusqu'à l'arrivée de Kaiun.

Bonne question. Malgré ce qu'on pense des âmes, celles-ci ont une masse, un poids, et sont tangibles, dans un sens. Si un shinigami s'amuse à soulever une pierre, les humains verront une pierre léviter d'elle-même. D'où la technologie spirituelle ! Celle-ci consiste à insuffler de l'énergie spirituelle dans un objet (souvent une pièce d'armure ou une arme) afin qu'elle devienne, d'une certaine manière, une entité spirituelle. Les humains cesseront ainsi de voir la création. Les forgerons et scientifiques de la Soul Society ont rapidement maîtrisé ce domaine pour permettre aux passeurs de s'équiper avant le combat, sans craindre de passer pour une armure maudite ambulante. Il faut donc bien faire attention à soi lorsqu'on évolue sur l'archipel du Nihon. Il peut être facile de heurter un être humain.

Sans aucun Attrait, partez du principe que vous n'êtes pas plus doué qu'un humain lambda. D'où l'intérêt de bien choisir sa voie, et de de donner une chance à la polyvalence ! Si vous n'avez pas l'Attrait Soldat, par exemple, alors votre personnage ne sait pas spécialement se battre à l'épée. De même, sans l'Attrait Vélocité, il demeure assez pataud. Ce n'est qu'une fois ces Attraits achetés qu'un shinigami devient un « dieu de la mort ».

Tant que vous n’avez ni avatar, ni shikai, ni méditation, votre Asauchi est probablement muet et inactif. Une simple arme qui n’a de spécial que le fait de vous être liée, et d’être de très bonne facture.

Si vous débloquez méditation en premier : vous êtes capable de rencontrer votre âme-sœur dans votre monde intérieur mais vous n’avez pas encore accès à son pouvoir. Pourtant, vous êtes capable de communiquer - pourquoi ne vous donne-t-il pas de formule d’appel, et un nom ? En est-il incapable ? Ne vous juge-t-il pas encore digne ?

Si vous débloquez avatar en premier, votre cher ami est capable d’apparaitre à votre côté, dans une forme éthérée. Est-il capable de communiquer avec vous ? Pourquoi n’avez vous pas encore de formule d’appel ? Peut-être qu’il ne sait pas encore comment se faire comprendre, peut-être même que lui ne vous comprend pas encore. Ou peut-être qu’il vous juge et vous observe avant de se décider...

Si vous débloquez le shikai en premier : votre esprit a été capable de vous contacter, au moins une fois, et vous juge un minimum digne d’intérêt. Peut être qu’il ne vous a plus jamais parlé par la suite et qu’il attends dans votre monde intérieur, ou peut-être qu’il n’en est plus capable. En tout cas, il répond à votre appel lorsque vous prononcez son premier nom.

Qu’importe celui que vous prenez en premier, vous pouvez décider que vous êtes capable de communiquer avec votre esprit (vous l’entendez dans votre tête, après tout, il y habite). Il s’agit d’un échange de pensées, pas de mots à proprement parler, car vous ne comprenez pas sa langue. Mais vous le comprenez assez, lui, pour tenir une discussion, car le lien entre vos esprits est suffisant pour faire la “traduction”.

Tout change à partir du moment où vous débloquez langue vivante. Désormais, vous pouvez parler avec tous les Zanpakutō, le votre, comme celui des autres. La relation avec votre arme va probablement évoluer, car vous êtes maintenant capable de prononcer son vrai nom (s'il se décide à vous le donner : potentiel libéré), en langue des esprits, ou d’ouvrir les portes à une symbiose bien plus forte entre vos âmes.

Tout ce qui précède n'est qu'un ensemble de pistes et de limites : vous pouvez décider d'avoir une âme-sœur qui ne sait pas communiquer avec vous, à part vous donner son nom par exemple. Ou qui somnole encore mais répond à vos appels. Ce guide n'a pas pour vocation de brider votre imagination, mais de poser les frontières de chaque attrait.

Pour commencer, ces derniers sont appelés à l’aide d’un sort de Kidō générique : le n°5. Il faut donc impérativement avoir accès à ce dernier pour prétendre à l’appel et l’utilisation d’un Jigokuchō. Par contre, il n’est pas nécessaire pour recevoir un message provenant de ces derniers.

Le Jigokuchō est un simple messager : il va de son invocateur au destinataire. L’expéditeur lui indique par la pensée les informations à échanger et, une fois la cible à portée, le papillon viendra se poser sur cette dernière pour lui transmettre mentalement le message.

Il est impératif de savoir approximativement où se trouve le destinataire (dans un rayon de quelques kilomètres). Si vous l’envoyez au mauvais endroit, le papillon se contentera d’attendre la cible, puis finira par disparaitre.

Il est possible d’intercepter un Jigokuchō, mais ce n’est pas une tâche facile. Il faut déjà le repérer (sans senseur, c’est presque impossible) ou savoir précisément l’itinéraire qu’il va emprunter.

Il est possible de crypter un message, mais le destinataire doit avoir le code en amont, sous peine de ne rien comprendre.

Les Yōkais aiment bien croquer les Jigokuchō de passage, donc, plus le destinataire est loin, plus les chances que votre messager deviennent un en-cas sont élevées. Ne songez même pas à en envoyer un dans le Dangai, il n’irait pas très loin.

Puisqu’il s’agit d’un sort, le nombre de Jigokuchō que vous pouvez envoyer simultanément dépendra de votre réserve d’énergie. Il est possible d’en créer beaucoup, au prix d’une fatigue conséquente.

Précision concernant les chances qu'un Jigokuchō n'arrive pas à destination : elles ont été fixé à 4% brut par région, comprenant celle de départ et celle d'arrivée. Si le messager est envoyé au sein d'une même région, le risque est de 4%. Deux régions adjacentes, 8%. Pour aller de Hokkaido à Kyushu, 24% (6 régions en tout).

Les Désolations de 1er cercle sont la chair à canon des yōkai. Ce sont les hollows classiques de Bleach : masqués et troués. Ils sont très sauvages, instinctifs, peu intelligents, mais sont en mesure de tirer des Cero (i.e. rayon d'énergie brute) ou d'avoir des capacités physiques renforcées. Un Membre (i.e. un personnage disposant de plusieurs T1 et d'au moins un T2) est capable de le confronter sans grand problème.

Les Désolations de 2ème cercle sont des yōkai protéiformes dont l'apparence peut changer du tout au tout. Ils n'ont ni trou, ni masque, et disposent d'un pouvoir unique (équivalent T2) (cf. une armure de lave pour notre ami le Boucher). Ils peuvent être grands comme minuscules, et sont doués de raison, de conscience, et de réflexion. Leur pouvoir, leur carrure et leur personnalité sont intimement liés. Ainsi, un yōkai ayant un pouvoir lié au charme sera plus à même d'être chétif, ne comptant pas sur sa force brute. Ils sont également capables de transformer les âmes saines proches en yōkai de 1er cercle, et peuvent prendre l'apparence d'un être humain ne dégageant aucune énergie spirituelle. Un Officier (i.e. un personnage disposant de plusieurs T2) est capable de le confronter sans risquer gros.

Les Désolations de 3ème cercle sont l'évolution logique des précédents. Ils peuvent être gigantesques (imaginez-vous Godzilla), ou au contraire parfaitement humanoïdes. Ils disposent d'un pouvoir unique amélioré (équivalent T3), et maîtrisent toutes les capacités des yōkai/hollows (peau résistante, déplacement rapide, rayon d'énergie). Ils sont capables de transformer les âmes saines proches en yōkai de 2ème cercle, et ont un lien avec... « l'Âme-Monde ». Un Lieutenant expérimenté (de nombreux T2, et au moins un T3) peut le vaincre en combat singulier.

PS : La puissance d'un C2 sera en général comprise entre la description d'un deuxième et d'un troisième cercle. À comprendre qu'il s'agit de la puissance "basse" d'un yōkai de 2ème cercle qui est indiquée dans la catégorie correspondante. Il en va de même pour les catégories précédentes et suivantes.

Les shinigamis sont des âmes humaines. Comme il y a quelques petites différences avec le manga d’origine, voici quelques précisions :
- Ils sont invisibles, sauf s’ils habitent un gigai (corps artificiel).
- Ils ne passent pas au travers des humains. Si vous rentrez dans un vivant, vous ressentirez tous les deux le choc - même si lui ne pourra pas vous voir.
- Ils fatiguent, mais bien moins qu’un humain. Une sieste ou une bonne scéance de méditation par jour est suffisante ! L’utilisation de kido ou l’effort intensif augmentent le besoin de repos en conséquence.
- Ils ressentent la température, le toucher, la douleur, etc…
- Ils respirent, et peuvent donc se noyer.
- Ils n’ont pas besoin de manger et de boire, mais cela aide à récupérer de blessures et d’évènements éprouvants : le corps du shinigami est capable d’absorber le reishi des aliments.
- Ils ne semblent pas pouvoir mourir de vieillesse, théoriquement, bien que les plus anciens ne dépassent pas encore les trois siècles d’existence.

Comme nous avions eu l’occasion d’en discuter par le passé, les règles suivantes ont été fixées pour les attraits  Âme-liée, Aubaine et Fortune :
- Un lien d’âme doit être justifié en RP et ce dernier doit être un lien fort entre les deux personnages : sang commun, amour, bromance…
- Il n’est pas possible d’être le bénéficiaire de deux liens d’âme.
- Il est cependant possible d’en recevoir un et d’en offrir un dans le même temps, à condition de n’offrir que des attraits que l’on connait soi-même (pas ceux que l’on possède via le lien que l’on reçoit, donc.)
- Si les deux âmes sont dans le Dangai ensemble, le lien fonctionne.

Oui, en tant que membre du Goteijūtai, vous bénéficiez d’un logement de fonction à la capitale de la Soul Society. Selon vos origines, il est aussi possible d’avoir son propre logement (en particulier pour les shinigamis nés au Seireitei). De fait, la plupart des shinigamis passent la majeure partie de leur temps dans le QG de leur division mais sachez qu’au besoin, vous avez un toit.

Ce dernier est attribué en fonction de votre grade, et doit donc rester sobre et neutre, puisque vous serez amené à en changer pour le transmettre lors de vos promotions. Voilà un modèle pour vous guider, en fonction du grade :

- Recrue : dortoir, une maison très sommaire avec une pièce commune et quelques chambres, partagée avec plusieurs autres recrues de votre division.
- Membre : maison individuelle d’une pièce, simple, sobre et sommaire.
- Officier : maison individuelle de deux ou trois pièces.
- Lieutenant : grande maison individuelle, plusieurs pièces et chambres, jardin.
- Capitaine : manoir, servants fournis, jardin.

Notez que les maisons sont en ville, avoir un jardin est donc un luxe réservé généralement aux domaines des plus grands nobles.

Elle n’a aucun rapport avec la noblesse européenne, on pourrait plus la comparer aux administrateurs en chine impériale. Ce sont des familles ou des personnalités qui sont les favoris du Concile Blanc - et qui ont des liens étroits avec ce dernier. Il est donc de nature publique qu’ils ont des privilèges non négligeables, comme un contact direct avec les pères fondateurs. Ce sont en grand majorité des membres de la 7ème division.

Familles nobles actuelles :
- Famille Kichi (Membres au Concile / Capitaine )
- Famille Kô (Membres au Concile)
- Famille Shimizu (Membres au Concile / Lieutenant)
- Famille Kobô (Membres au Concile)
- Famille Fujiwara (Membres au Concile)
- Famille Sumimoto (Favoris)
- Famille Nishihara (Favoris)
- Famille Ryuzoji (Favoris / Lieutenant)