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  • HOKA NO NIHON
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    Depuis les premières ères de l'Humanité, des esprits invisibles n'ont cessé de hanter les Hommes. Ces apparitions étranges, ces fantômes lancinants, ces créatures spirituelles, sont appelés « yōkai » – des âmes n'ayant pu rejoindre l'au-delà à cause des remords de leur vie passée, développant des attraits monstrueux pour combler le vide qui les définit. Les shinigami, émissaires à la solde de la Soul Society, une organisation dissimulée dans les coulisses du Nihon, ont pour but de purifier ces démons, mais aussi les âmes humaines ancrées au monde réel, par le biais de leur zanpakutō (斬魄刀, litt. : épée trancheuse d'âme). Hélas, les conflits des Hommes engendrent le drame, et le drame engendre les remords ; d'où le cercle vicieux qui donne tant de travail aux passeurs de l'au-delà. La récente guerre civile de 150 ans baptisée Sen'yuu Sensō (戦友戦争, litt. : la Guerre des Frères d’Armes), ayant opposé les parties méridionale et septentrionale de l'archipel, a été une période critique favorisant l'apparition des yōkai, réveillant de vieux débats sur le rôle de la Soul Society quant à la protection de l'Humanité. Faut-il abandonner toute idée d'intervention, comme il est de rigueur de faire depuis la création de l'organisation, ou est-il grand temps de réguler les âmes humaines pour couper le mal à la racine ? Même dans la sphère spirituelle, la politique est en proie au schisme. Malgré la volonté du Concile Blanc, quelques Divisions de son armée commencent à changer de cap. Entre les yōkai démoniaques, et les puissants shinigami en faveur du changement, qui seront les plus dangereux pour l'Humanité ?
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    Restitution des trancheuses d’âme

    Restitution des trancheuses d’âme Intro_24

    Terre immaculée à la somptueuse magnificence. Combien d'âmes rêvent de fouler cette parcelle divine de leur membre impur ? Berceau des lois absolues de notre monde, laisse ta progéniture séraphique jouer son rôle de passeur. Ne te détourne en rien du devoir qu’incombe la régence de ce refuge des âmes. Vous qui avez pensé les manifestations du Havre des Esprits, déléguez la restitution à l’Ordre impérial présent dans l’unique but de vous délester du poids intenable de la gouvernance. Ô Concile Blanc, permet à tes héritiers célestes d’ébaudir ton existence par cette sempiternelle servitude.

    Face à l’unique accès boisée entre la Cour impériale et le San’in, tu avances d’un pas lent et déterminé. Les affres de tes réminiscences entrave ton corps hâve devant reposer sur ton arme métamorphosé en une vulgaire canne. Un spectacle désolant que tu affiches à tes homologues de l’Ordre qui forment le cortège sacré pénétrant la demeure du Concile Blanc. Malgré l’acrimonie prodiguée par les récents événements, l’alacrité imbibait cette journée particulière.

    Myriades d’insectes émergeant de la géhenne apportèrent la nouvelle apaisante aux guerriers valétudinaires. Par des manoeuvres mystiques bien gardé au sein du San’in, le Concile Blanc reforma les trancheuses d’âmes brisées par la désolution du Troisième Cercle. Un acte aux allures anodines pour la gouvernance, mais précieux et inestimable pour les spadassins aux fourreaux vides.

    Pénétrant l’antichambre de la gouvernance, trois âmes s’avancèrent, vêtue de l’uniforme et du symbole caractérisant les dirigeants du refuge des âmes. Chacun tenait, entre ses mains, un coffret d’un bois blanc immaculée portant le symbole gravé du Concile. Dans le silence monacal imposé par les gardiens du San’in, les coffrets passèrent aux recrues de l’Ordre avant que le tout s’incline en guise de respect et reparte, dans ce perpétuel silence.

    Le groupuscule que tu mènes se dirige rapidement vers le Kyūtei, ne désirant pas faire attendre les bretteurs impatients. Rejoignant ces derniers en rang, tu te dresses devant eux, fourreau empoigné par tes deux mains pour maintenir ton corps droit.

    — Joukan Owari. Kaiin Amatsu. Kaiin Kanzetsu. Merci d’avoir répondu promptement à la convocation du Concile Blanc. Comme indiqué par les Jigokuchō que vous avez reçu, vos Zanpakutô sont maintenant restaurés.

    A ces mots, un claquement de doigt s'exécute. Les trois recrues portant les coffrets s’avancent devant les trois Shinigamis, posent un genou à terre avant d’ouvrir les écrins boisés, présentant les Zanpakutô réparés.

    — Vous pouvez dès à présent récupérer vos armes, guerriers du Goteijūtai.

    Tu marques une légère pause avant de reprendre d’un ton plus sérieux. Les instructions des régents sont claires sur ce sujet.

    — Le Concile Blanc tient à vous informer d’un détail important. Même si l’âme de vos trancheuses d’âmes est maintenant soignée, le lien vous unissant à votre arme a subi des affres qui ne peuvent être guéris que par vous. Longue et sinueuse sera la route pour rétablir votre symbiose d’antan.

    Suite à ces paroles, tu t’inclines légèrement en guise de respect avant de t’avancer vers le prénommé Shikai, en baissant l’intensité de ta voix.

    — Kaiin Kanzetsu, j’aimerais vous voir seul dans mes quartiers pour une affaire urgente, si cela ne vous dérange pas. N’ayez crainte, je vous laisse le temps nécessaire pour renouer le contact avec votre allié retrouvé. Une recrue vous escortera jusqu’à moi quand vous serez prêt.

    Tu fis de nouveau quelques pas en arrière, affichant un visage neutre, observant les spadassins récupérer leurs armes.

    Restitution des trancheuses d’âme 2oHv4nm


    HRP:
    Ryuzoji Genichiro
    Énergie Spirituelle : 52
    Résistance : 193
    Combat : 42
    Dégâts : 25
    Combat magique : 185
    Kido : 369
    Zanpakuto : 394
    Résilience : 17
    Sensorialité : 34
    Vergil - Devil May Cry Grade : Lieutenant
    52
    193
    42
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    185
    369
    394
    17
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    Vergil - Devil May Cry Lieutenant
    Ryuzoji Genichiro le Surarchimaîtremage
    Restitution des trancheuses d'âme
    聞いて下さい
    C’était un jour fatidique. Celui où tu récupérais enfin ton compagnon perdu depuis le drame qui a frappé. Comment pouvait-il manquer un tel jour ou même arriver en retard ? Heureusement, par le biais d’un Jigokucho, il lui a été donné un lieu, un point de rendez-vous. Il devait se rendre jusque là-bas s’il voulait récupérer son Zanpakuto. Il ne perdait pas réellement de temps non plus. Ses pas partaient du sol, commençant à glisser dans les cieux, se dirigeant de plus en plus vite à travers le ciel pour aller vers le lieu en question.

    Étrangement, son corps semblait si lent dans les cieux. Et pourtant, chacun de ses pas le propulsent sur une dizaine de mètres avant qu’il ne doive reposer le pied au sol. Qu’est-ce que c’était pratique pour se déplacer qu’être capable de se déplacer dans le ciel.

    Et rapidement, il arrivait sur le lieu de rendez-vous. Il ne faisait pas attention aux autres pour l’instant, trop occupé à être dans ses pensées, rêveur qu’il était. Ces pensées qui étaient brisées au bout d’un certain temps, par la voix d’un homme qu’il ne connaissait pas réellement. Mais il était facile de voir à son accoutrement qu’il était un officier. Peut-être l’a-t-il déjà aperçu ? Peu importe, il s’en fichait royalement. Il le laisse parler, racontant ce qu’il avait à raconter. Tensai ne répondait qu’avec son sourire atypique.

    ”-Grand merci pour l’arme. Vous faites du bon boulot les gars, continuez comme ça. Passez le bonjour au Concile Blanc de ma part, ils font toujours du très bon travail à ce que je vois ahah.”

    Il saluait l’effort des membres de la Septième Division avec sa désinvolture habituelle, souriant tout en étant chaleureux. Mais il était finalement temps de récupérer son arme. Son Zanpakuto. Sa main se dirigea sur le manche de son arme, récupérant Shakyamuni rapidement. Il faisait tourner cette arme entre ses doigts, la lame tranchant l’air dans un bruit vif à répétition. Une fois satisfait, il la récupérait pour la ranger dans son fourreau accroché à sa ceinture. Il était à présent doté d’un katana simple et de son zanpakuto. Il regardait calmement autour de lui. Il connaissait les personnes autour de lui. Owari Hana, un nom qu’il ne pouvait oublier. Ses iris dans les siens, il hochait sa tête dans un signe de salut et de remerciement. Et lorsqu’il croisait Shikai de son regard..

    Il reculait calmement, comme s’il comptait partir. Se baissant non loin de la route, c’était un simple caillou qu’il récupérait entre ses doigts. Il le pesait entre ceux-ci, l’examinant tout en se relevant. Il se retournait sèchement, envoyant le caillou entre ses mains directement sur la tête de Shikai sans se prendre la tête. La courbe de l’objet était magnifique, montrant les capacités de lancer de Tensai. Après cette courte action, Tensai souriait à pleine dents en direction de son compatriote.

    ”-Ahahah, je suis sincèrement désolé, tu as toutes mes excuses. Je ne voulais qu’attirer ton attention, ne le prends pas mal ! Allez, j’ai mieux à faire, gros bisous sur ton gros crâne, salut !”

    Il ne perdait même pas de temps. Ses pieds décollent du sol à une vitesse record, bondissant à plusieurs reprises dans l’air. Il se retrouvait à une grande hauteur du sol rapidement, commençant déjà à partir de toute sa vitesse pour retourner où il le souhaitait. Il avait mieux à faire que de se prendre la tête ici. Seul son rire était laissé dans la zone.

    HRP:
    Amatsu Tensai
    Restitution des trancheuses d’âme 100x100 Grade : Officier
    Restitution des trancheuses d’âme 100x100 Officier
    Amatsu Tensai le Guerrier ultime
    ♫ De nouveau ensemble ♫


    Restitution des trancheuses d’âme Lieu

    Scrutant l'horizon, je me stoppais dans ce lieu. Un vaste alpage à l'infini. La lumière de la plaine lune illuminant mon chemin dans les ténèbres actuel. Je regardais au loin ce voile obscur ressemblant vaguement à mon avenir. Je ne savais de quoi demain allait être fait. Voila plusieurs jours que je m'étais séparé de mon ami. Je ne pensais qu'à lui jour et nuit. Allais-je vraiment pouvoir le retrouver ? Par fierté et fidélité, je n'avais pas voulu d'une autre arme. J'étais totalement à nu, mais c'était mon handicape, mon épreuve pour avoir fait subir cela à celui qui m'avait donné la force jusque-là, celui qui m'avait sauvé la vie ce jour-là. Mon code d'honneur était strict, je ne voyais que par cette lame. Dans ma malchance, j'avais pu affiner mes techniques lors de quelques entrainements.

    Par surprise, une lueur d'espoir virevoltait à travers cette nuit obscur avant de se poser sur mon épaule. Un papillon des enfers, un messager. Une convocation du Concile Blanc. Qui disait Concile blanc, disait l'ordre Mnémonique. Nobunaga avait-il tenu sa promesse ? Mes yeux s'ouvrirent entièrement démontrant une joie extrême. Voilà plusieurs jours que je vagabondais  tranquillement pour retourner dans la région de Kyuutei. Lieu où les messagers du Concile y avait forgé leur habitat. Mon avenir allait-il devenir plus clair désormais ? Cette voix m'avait rendu entier, mais ce même jour, j'y avais de nouveau perdu la moitié de mon âme. Bientôt, je serais de nouveau entier. Le chemin allait encore être long. Le lien entre nous allait être de nouveau difficile... J'étais prêt !

    Restitution des trancheuses d’âme Shikai-rp-12

    D'une grande vélocité, je bondissais cette étendue d'herbe à vive allure, lâchant sur mon sillon mes derniers bandages révélant une fin de guérison depuis des semaines. Mes entrainement au QG m'avait permis de reprendre la forme rapidement. La suite de cette réunion au sein de cette division annoncée un futur où les meilleurs guerriers allaient devoir opérer dans les ténèbres du Dangai. Entrainement féroce, nouvelle compétence acquise, j'étais encore loin du niveau que je voulais avoir. Demain, l'ordre Mnémonique allait me prêter main forte indirectement.

    Levé du soleil, j'étais là. Me reposant dans une veille auberge à proximité de Kyuutei, j'étais parti tôt pour rejoindre le lieu de rendez-vous. Voyant les autres infirmes de ce proche passé, nous attendions en rang l'arrivé d'un homme plutôt mal en point. Usant de son fourreau comme porte corps, qu'avait-il bien pu subir pour être dans un tel état. Bandé de part et autres, j'avais l'impression de me voir au travers lui il y a peu de temps de cela.

    Dans une cérémonie digne de cette division, chaque personne portant une boite en bois nous fit face à quelques mètres. Se rapprochant lentement de nous, les hommes se mirent à genoux ouvrant l'écrin d'un bois noble rougeâtre à l’effigie des bâtisses de cette région. L'officier en charge de la cérémonie nous donna alors la possibilité de récupérer nos armes. Le premier se jeta alors dessus en remerciant de manière nonchalante ces personnes. Regardant toutes ces personnes, je me prosternais par respect. Et je pris la parole avant de même de récupérer ce que je convoitais au plus profond de moi :

    Je vous remercie du plus profond de mon cœur... Que dis-je... Nous vous remercions elle et moi. Officier ! Quel est votre nom s'il vous plaît ? Je pensais que Nobunaga serait ici à votre place. Est-ce qu'il va bien ?


    Je tendais ensuite ma main afin de prendre mon arme. Les rayons du soleil reflétaient sur la lame de Zettaishinku. Je n'arrivais toujours pas à y croire. Alors que je savourais cette scène tant attendu depuis longtemps, je sentis quelque chose me heurtant la tête, me la faisant avancer légèrement sous la surprise. Me retournant, je vis Tensai partir dans un rire farceur précédant une phrase totalement sorti de son contexte. Je ne comprenais pas ses attentions, mais agir de la sorte devant un officier de la 7ème division ne donnerait pas de crédit intellectuel aux membres des premier-nés. J'en pensais pas moins... Je reverrais bien cet énergumène tôt ou tard. Alors que je rangeais ma nouvelle arme dans son fourreau, je fus surpris de la suite des paroles de l'officier se rapprochant de moi. Je répondis alors :

    Nous pouvons y aller, vous l'avez dit vous même, le contact ne se fera pas si facilement. Et je suis content de retrouver mon Zanpakuto, mais je ne ressens rien... Je suis heureux et triste en même temps... Une affaire urgente dites-vous ? Si je peux vous aider, je le ferai volontiers.


    J'attendais que le Joukan me guide dans ces quartiers afin que l'on puisse continuer. Je me demandais bien ce que l'Ordre me voulait. J'avais ma petite idée. Je n'avais parler qu'à Nobunaga de toutes ces péripéties passées. J'avais parlé sincèrement, que me voulez encore la 7ème division ? Je le saurais tôt ou tard... Marchant tout en gardant ma main au contact du manche de Zettaishinku, j'espérais une étincelle, un signe de vie, mais rien ne se produisit actuellement...
    Codage par Libella sur Graphiorum
    Kanzetsu Shikai
    Kashin Koji / Boruto Grade : Officier
    Kashin Koji / Boruto Officier
    Kanzetsu Shikai le Tranche-Cero
    Restitution des trancheuses d'âmes
    Feat. R.Genichiro ⬩ A.Tensai ⬩ K.Shikai ⬩ O.Hana



    L'Ordre Mnémonique. Ils ne réparent pas les pots cassés, ils sanctionnent. Telle était ta vision des choses, nul phrasé d'un supérieur hiérarchique ne saurait te faire changer d'avis. L'image de la septième division se ternit et, les actes qu'ils engrangent n'arrangera guère la réputation des tiens. Redorer le blason de l'Ordre, comme l'avait tant bien souligné Hideyoshi était primordiale. Prendre les armes envers vos pseudos-frères, serait une erreur cruciale, amenant encore plus de désordre qu'il puisse déjà y avoir, mais hausser le ton, pourrait s'avérer utile. Lorsque l'enfant du Concile Blanc intervient, la plèbe se tait et, ce contente d'écouter.

    Peu importe le destin qui fut réservé au déroulement de cette remise des biens, tu avais trouvé une place assise auprès de l'officier ; Genichiro Ryuzoji, simplement pour pouvoir mettre un visage sur les différents patronymes notifiés sur le rapport. Silencieux et observateur, tu n'agirais point de ton propre chef en présence d'autant d'esprits, mais corriger les mots du blondinet aux yeux bleus, était la première chose qui te passait par la tête.

    Comment osait-il s'adresser de la sorte à un représentant officiel ? Quelle arrogance. Le poing serré, tu le fusillais du regard au travers de ton masque. Quel abruti, son insolence dépassait toutes limites. Ramassant une caillasse qu'il apportait sûrement dut à son hygiène manquante, il fanfaronnait sur le sol sacré de Kyûtei.

    Visiblement, le Joukan de l'Ordre accordait son amnistie à ce troubadour. Ta vélocité était supérieure à la plupart des âmes de la Soul Society, rattraper son départ soudain serait une chose aisée, mais la passivité de ton officier parlait d'elle-même. Il avait bien mieux à faire. " Amatsu Tensai ", son nom était gravé, bientôt, il entendra parler de toi.

    La cérémonie voyait presque la lumière au bout du tunnel. Trancheurs d'âmes restitués, tous furent bientôt autorisé à quitter l'assemblée à l'exception du Marche-Faille, convoqué par Genichiro. À cet instant, l'officier de la cinquième division ne t'intéressait que très peu. Les Premiers-Nés pouvaient dire merci à leur compatriote Tensai, ils venaient de gagner ta surveillance. Discrètement, tu faisais parvenir ce message auditif jusqu'au oreille du chef d'orchestre.


    ▬ Genichiro-sama, permettez-vous que je délaisse ma place pour la fin de cette assemblée ? Il me tarde de régler certaines affaires...


    À l'image d'une balle, tu n'attendais plus que la pression sur la détente de la part du Joukan pour partir.


    L'Ordre Mnémonique
    二番隊


    Aizome Usui
    Restitution des trancheuses d’âme 2xxo Grade : Membre
    Restitution des trancheuses d’âme 2xxo Membre
    Aizome Usui le Fantôme
    Retour tant attendu
    待望のリターン
    Il y avait maintenant quelque temps que notre jeune shinigami aux cheveux blancs ressentait un vide en son for intérieur, comme si une partie de son âme lui avait été arrachée. Et cette douleur, croyez-moi, était beaucoup plus insupportable que le fait que sa main gauche ait complètement perdu toute sensation. Car oui, la douleur de ne plus avoir Kiken à ses côtés était quasiment insoutenable pour notre jeune Officier de la cinquième division.

    Ainsi, lorsqu’il fut convoqué par les membres de l’Ordre Mnémonique, il se sentit submergé par une joie indescriptible. Lui qui d’ordinaire tâchait de toujours garder le contrôle de ses émotions, ne put s’empêcher de sourire à pleine dents en apprenant la nouvelle. Et ce fut donc ainsi qu’il rejoignit l’antichambre dans laquelle l’attendait son partenaire de toujours… Et il ne parlait de Tensai, ni même de Genichiro… Mais bel et bien de Kiken, celui qui serait toujours à ses côtés, et qui l’avait toujours été.

    En arrivant sur place, il reconnut des têtes familières. Tout d’abord, l’Officier de l’Ordre à qui il avait confié Kiken en premier lieu. Ensuite, il aperçut Tensai… C’était en partie à cause de lui que Hana avait été séparé de son Zanpakuto pendant ce laps de temps qui lui avait parut une éternité. Mais il ne lui en voulait absolument pas, si son intervention face à ce démon avait été à ce que le Céleste reste en vie, c’était un prix qu’il était prêt à payer.

    Et tandis que les recrues de l’Ordre Mnémonique s’avançaient pour leur tendre leurs Zanpakutos réparés, Hana tendit alors la main et se saisit du manche de Kiken. Instantanément, il ressentit un sentiment de chaleur lui parcourir le corps. Il n’aurait sû dire si cette sensation était réelle ou une simple invention de son esprit, mais son cœur battait désormais la chamade. Une fois ré-habitué à cette étrange sensation, il attacha alors Kiken à sa ceinture et hocha la tête en direction de Genichiro, comme pour le remercier implicitement de cette prestation plus qu’honorée.

    Il écouta aussi d’une oreille attentive la dernière remarque. Apparemment, l’esprit de Kiken n’était pas totalement revenu du royaume des songes et il se pouvait que ses capacités en soient affectées. Notre jeune shinigami posa alors son regard sur le manche de Kiken avant de fermer les yeux. Il lui faisait une confiance aveugle, et n’avait aucun doute que tout irait bien désormais…

    Car il avait récupéré son plus puissant et fidèle allié !
    Owari Hana
    Source de l'avatar Grade : Officier
    Source de l'avatar Officier
    Owari Hana le Pionnier

    Restitution des trancheuses d’âme Intro_24

    Les nuances provoquées par une telle cérémonie te laissaient perplexe. Silence, nonchalance et prosternation s'entremêlent sous les yeux observateurs des membres présents de la Nanabantai. Dans l’ombre, tu échanges un bref regard avec l’étoilé. Tu l’avais écouté pendant son rapport, épaulé pendant le combat face à un Deuxième Cercle et destitué de son plus fidèle allié brisé. Un historique bourgeonne doucement entre vous deux à travers les multiples péripéties vécues. D’un geste de la tête solennel, tu le salue et espère que les affres de ces affrontements guériront promptement.

    Tes pupilles inquisitrices se posent sur l’imposant membre des Marche-Failles. Une division en proie à de nombreux quolibets, considéré par beaucoup comme le caniveau du Goteijūtai. Une vision imposée par son lot de rumeurs et de propos diffamatoires que ton intellect refuse de colporter. Un officier de l’Ordre ne doit pas s’abaisser à de telles bassesses. Ta perception se forgera à l’aide de fait, d’expérience et discussion, loin des pathétiques pinaillages.

    — Inutile de nous remercier, Kaiin Kanzetsu. Vous avez combattu et mis votre vie en danger afin d’éviter des conséquences bien plus désastreuses. Il est tout à fait logique que le Concile Blanc s’attèle à vous rendre la pareille. Je suis l’Officier Ryuzoji Genichiro de la Nanabantai. Je vous rassure, il se porte très bien. Disons simplement que pour ce genre d’entrevue, l’Ordre préfère dépêcher un Joukan pour présider la rencontre, rien de personnel contre le Kaiin Nobunaga.

    Ton visage affiche un léger sourire chaleureux avant de se crisper face au départ du Premier-Né. Son intervention apathique accabla quelques instants ton esprit cacochyme. Une telle légèreté d’esprit dans un moment comme celui-ci. Un soupir s’expira de ton être. Une telle prestation ne faisait qu’alimenter les rumeurs sur cette division aux instincts primitifs et aux raisonnements étroits. Si les Yokai se retrouvent traités de la même façon que cette cérémonie, tu comprennais rapidement les causes de l’échec de l’opération des provinces de Mutsu.

    Laissant les billevesées s'extirper de ton esprit, tu concentre ton attention sur les propos du membre Usui. Son envie de résoudre les affaires discutées pendant la réunion divisionnelle était on ne peut plus compréhensible. Qui plus est, cette petite rencontre aux allures anodines déclencha une remise en cause bien plus profonde. La tempérance proposée par tes soins pendant le dernier rassemblement pouvait prodigieusement se métamorphoser en une erreur regrettable. Certaines choses ne peuvent être inculquées par la majestueuse construction des mots, hélas.

    — Je vous y encourage même, Usui-san. Rattrapez cet homme et montrez-lui qu’importe sa vitesse, l’Ordre pourra toujours le rattraper.

    D’un claquement de doigt, tu fais signe aux recrues de s'exécuter. Coffrets refermés, les âmes se mettent en marche pour revenir en rang derrière toi avant de t’adresser une ultime fois au Marche-Failles.

    — Très bien, je comprends. Merci pour votre sollicitude, Kaiin Kanzetsu. Je vous laisse me suivre jusqu’à mes quartiers.

    Donnant quelques ordres aux recrues, tu te diriges vers ton bureau, prêt à démêler ce reliquat d’un passé trouble.

    Restitution des trancheuses d’âme 2oHv4nm
    Ryuzoji Genichiro
    Énergie Spirituelle : 52
    Résistance : 193
    Combat : 42
    Dégâts : 25
    Combat magique : 185
    Kido : 369
    Zanpakuto : 394
    Résilience : 17
    Sensorialité : 34
    Vergil - Devil May Cry Grade : Lieutenant
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    25
    185
    369
    394
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    Vergil - Devil May Cry Lieutenant
    Ryuzoji Genichiro le Surarchimaîtremage
    Restitution des trancheuses d'âmes
    Feat. R.Genichiro ⬩ A.Tensai ⬩ K.Shikai ⬩ O.Hana



    Tout cela n'était qu'une facétie. Pas étonnant que la septième division perdait toute crédibilité aux yeux de tous, vraiment. Honte à eux, éponger les faits farceurs de cet être aberrant, arriéré, abruti. Nulle personne avait l'autorisation de salir la réputation de l'Ordre Mnémonique... surtout pas un branquignol de cet acabit. Seul ton petit cercle restreint savait de quoi tu étais capable, agir avec la force au nom du Concile Blanc. Oui tu saurais user de ta position, bien que simple Kaiin, tu te plaçais au-dessus de tes faux semblables des divers cantons.

    Assister à cette remise n'était plus une obligation et, même si physiquement tu étais encore présent, ton esprit lui était loin, très loin déjà. Tu ne pensais plus qu'à la suite des évènements. Fort heureusement pour toi, ton supérieur t'offrait cette possibilité, celle de quitter l'assemblée bien avant les siens. Finalement, peut-être que les actions de Tensai n'étaient pas passées inaperçues ? Quoiqu'il en soit, tu n'attendais même pas la fin de sa phrase pour disparaître aussitôt, ne laissant qu'un simple hologramme de ta personne, se dissipant aussi vite qu'il était apparu.

    Quelle vélocité. Ta vitesse excessive te permettait de courir bien plus vite que la moyenne, traversant les couloirs en quelques secondes afin de se retrouver à l'extérieur du bâtiment, poursuivant l'inceste. Ta vélocité te permettait de le rattraper, difficilement, mais tu parvenais à te retrouver à son niveau. Il fallait le reconnaître, ce gamin était à l'aise dans ses déplacements aériens, tu ne pourras jamais l'atteindre, alors une solution te vint rapidement en tête. Un aria prononcé et un papillon ébène fit son apparition, perché sur le bout de ton index.


    ▬ Sache que tu seras convoqué par l'Ordre dans quelques jours. Je t'ai à l'oeil, la moindre entorse et, tu vivras sûrement tes dernières heures.


    Le message était clair et net. Porté par le Jigokuchô, il ne mettra pas bien longtemps à être entendu, tu en étais sûr. En attendant, tu prenais sûr toi et, changeais de direction, tout en masquant ta présence.


    L'Ordre Mnémonique
    二番隊


    Aizome Usui
    Restitution des trancheuses d’âme 2xxo Grade : Membre
    Restitution des trancheuses d’âme 2xxo Membre
    Aizome Usui le Fantôme
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    聞いて下さい
    Tout se passait si bien. Tensai s’imaginait déjà arriver près du restaurant qu’il aimait tant pour y manger à sa faim. Sans compter s’arrêter quelque part pour acheter les confiseries qu’il aimait tant. Mais cette joie disparaissait assez vite. Il semblerait qu’un homme l’ait suivi sans qu’il s’en rende compte, un papillon arrivant rapidement à ses côtés en se posant sur son épaule, lui donnant quelques informations. L’air surpris mais pas inquiet, il se retournait rapidement, voyant sans problème cette fameuse personne ayant osé le menacer de la sorte. Ce n’était pas banal, vouloir le menacer de mort de la sorte, à tel point qu’il s'énervait presque comme jamais il ne l’a été. Il n’était même pas autant remonté contre ce fameux Shikai.

    ”-Réveille-toi, Shakyamuni.”

    Il pouvait enfin l’essayer comme il n’a pas pu le faire depuis si longtemps. L’arme se transformait en ce long bâton de deux mètres de long, une cloche cylindrique en son bout. En portant cette arme dans sa main, Tensai se sentait tellement à l’aise.. Rapidement, il courait à travers le ciel, n’ayant pas de mal à rattraper cet homme au bout d’un moment grâce à la zone découverte. Sa présence semblait si infime, mais pour Tensai ça ne changeait rien. Il n’était pas un bon senseur de toute façon et ne s’en préoccupait pas. Tout ce qu’il savait, c’est qu’il devait bien avoir quelques réponses. Alors il parlait assez fort, sifflant presque après l’homme qui partait pour attirer son attention. Il semblait avoir entendu Tensai, ce qui lui permettait de s’arrêter en face de lui peu de temps après, à quelques pas. Son reiatsu s’agitait sous son excitation.

    ”-Ah donc c’est toi le clown qui me menace de mort ?”

    Un grand sourire se dessinait sur les lèvres du Kaiin. Il n’avait pas l’habitude d’être menacé de mort pour si peu, c’était réel. Il comptait bien faire comme il le fait d’habitude, faire comme il le souhaitait. Il n’était régi par personne, agissant à son bon vouloir. Bien entendu, il ne faisait rien qui allait à l’encontre du Concile Blanc, tant que personne ne faisait rien qui allait à son encontre. Et alors, avec un sourire angélique sur ses lèvres, Tensai ne faisait que de dire quelques mots à l’homme en face de lui, une main dans sa poche, son Shikai dans l’autre main qui explosait une partie du sol sans problème grâce à son poids.

    ”-On va faire simple, excuse-toi pour ta menace ou je t’arrache la tête et je lave le sol avec avant de frapper le supérieur qui t’as donné cet ordre avec ton gros crâne.”

    Il ne comptait pas perdre son temps dans des excuses, des explications ou quoique ce soit. Si cet homme a pu venir jusqu’ici c’était qu’il était un sous-fifre et que son supérieur acceptait de le menacer à mort. De ce qu’il connaissait des officiers, ils ne se seraient pas pris la tête à le pourchasser bêtement, ils auraient uniquement envoyé un Jigokucho à lui ou à ses supérieurs à la Première Division. Tout ce qu’il attendait était une excuse pour avoir osé menacer sa propre vie. C’était ce qu’il avait bien compris et appris depuis qu’il était chez les Premiers-Nés. Essayer d’atteindre à son honneur de la sorte ? Il devrait y répondre rapidement. En réalité, tout ce qu’il espérait jusqu’au fond de son être était que cet homme ne s’excuse pas, ses yeux brûlant d’une certaine lueur. Son sang bouillonnait, il voulait tester son arme après autant de temps à ne pas l’utiliser.

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    Amatsu Tensai le Guerrier ultime
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    Malgré ta présence fantomatique, il n'était pas vraiment difficile de te débusquer pour Tensai, qui lui parcourait les cieux. Une vue bien plus dégagée que n'importe quel terrestre en ce moment précis. Bien trop facile pour le membre des Premiers-Nés de te faire face, mais tu ne semblais guère surpris. Était-ce que tu voulais précisément ? Peu importe, il était bel et bien présent, Zanpakuto descellé entre ses mains. Encore un affront de sa part, visiblement ce troubadour venait de prendre tes menaces à la rigolade. Tu avais la formelle interdiction de prendre les armes, car au cours de la réunion de l'Ordre Mnémonique, tu avais fait sous-entendre qu'une correction était de mise, mais l'intervention d'Amatsu Tensai, tu l'as prenait comme une vraie offense. Hors de question de laisser passer ça.

    ▬ Cloporte. Comment oses-tu te présenter sous mon regard de cette façon ? La forme de ton Zanpakuto est nettement différente de tout à l'heure, cela veut clairement dire que tu as libéré ton Shikai, face à un membre de l'Ordre qui plus est. On dirait que tu n'as pas saisit le message de Ryuzoji-sama ainsi que celui du Jigôkucho.


    Zanpakuto descellé, Amatsu Tensai n'était pas là pour jouer, mais sûrement régler ses comptes avec toi. Préparé ? Il l'était, pour sûr. Alors pour ne point éveiller les soupçons et ainsi lui laisser le temps d'anticiper un assaut de ta part, tu fis donc appel à ta vitesse extrême. Chargeant relativement vite en sa direction, tu ne laissais qu'une image rémanente de toi-même sur place. Une fraction de seconde plus tard, ton pied heurta sa poitrine. Le poids de ton corps ainsi que la vitesse de l'impact forceraient le bougre des Premiers-Nés à s'écraser contre le sol. Tu exerçais une légère pression du talon, tentant de garder l'insecte immobile. Le froid de la lame d'Asobizuki touchait sa gorge, ton zanpakuto avait quitté son fourreau.

    ▬ Crois-moi, ce n'est pas l'envie qui manque. Mais pour une fois je vais suivre les instructions de mes supérieurs. Je te conseil de ranger ton Zanpakuto si tu ne veux pas qu'un rapport soit rédigé.


    Tu le détestais, c'était indéniable, mais tu allais faire preuve de maturité et, privilégier la discussion plutôt que les coups, pour une fois.

    Attrait(s) utilisé(s):


    L'Ordre Mnémonique
    二番隊


    Aizome Usui
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    Il semblerait que l’homme en face de Tensai ne comptait absolument pas s’excuser de ce qu’il a fait. Au contraire, il comptait même ne pas en rester là. Tensai en était presque amusé. Pensait-il normal de vouloir menacer sa vie ? Et bien, ce n’était pas une action qui dérangeait réellement l’homme. Il pensait réellement valoir énormément de choses. Ce qui faisait lâcher un petit rire au guerrier. Il secouait calmement sa tête. Et bah, comme quoi, ils pensent tous être les meilleurs dans les rangs de l’Ordre et que tout leur est dû. Il semblerait qu’il serait temps que le Concile Blanc leur fasse bien comprendre une chose. Malheureusement, ils n’étaient pas capables de ce genre de réflexions eux-mêmes.

    Et il semblait même vouloir en venir aux mains en premier. Il était rapide, ce n’était pas à dénier. Tensai ne pouvait qu’applaudir les gens continuant dans la voie de la vitesse. C’était la voie suprême aux yeux du guerrier. Et pourtant, c’était tout ce qu’il avait.. La force de son pied, la forme de son coup. Rien n’allait. Il a déjà affronté des hommes qui deviendront des effigies de ce domaine dans le futur. Et tous avaient plus de force dans leurs coups. Tous avaient ce côté sauvage en plus. Le bâton alourdi maintenant sur le sol ayant fait craquer le sol il y a peu, les pieds de Tensai plantés dans le sol depuis son atterrissage. Il regardait l’homme tout simplement frapper son torse sans le faire bouger. Tensai tenait bon, n’ayant reculé que d’un simple pas. Ce n’était rien de grandiose. Finalement, c’était tout ce qu’il valait. De la forme sans le fond.

    ”-Ahah, je savais pas que les secrétaires du Concile Blanc se permettaient de menacer de mort à tout va. Mais bon, ça ne m’étonne pas venant de déchets n’ayant jamais posé le moindre pied sur le terrain.”

    Un sourire animal, un visage féroce, une expression carnassière. Ses instincts d’animaux prenaient le dessus sur le combattant. Et malgré la lame posée sur sa gorge, il ne réagissait pas vraiment, bougeant en un instant pour la contourner sans plus. Rapidement, il se déplaçait, ruant de coups son homologue sans jamais s’arrêter. Il n’était pas aussi rapide que lui, et pourtant son arme frappait de plein fouet. A chaque fois qu’il se déplaçait, son arme bougeait en harmonie avec son corps. C’était une danse guerrière, d’après certains. Le paroxysme d’un art. Et malgré tout, chacune de ses armes avait une trajectoire si fourbe. Frapper les genoux avec lourdeur, le visage, le torse. Il ne visait que des zones sensibles qui empêcheraient l’homme de continuer le combat sur le long terme.

    ”-Au moins, grâce à toi je comprend que même tes supérieurs trouvent ça normal de menacer à mort des gens n’appartenant même pas à leurs divisions. T’as pas à t’en faire, ça se finira pas de sitôt le déchet, ahahah”.

    La Première Division pardonnait bien des choses. Ils étaient les guerriers des Shinigamis. Ils étaient la force de frappe, la première ligne contre les Yokais. Mais osé porter atteinte à leur honneur, osé bafouer leur intégrité. Et au-delà, les menacer de mort.. Et bien, disons qu’il y avait certaines choses à ne pas faire.

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    Mince, mauvais calcule. Finalement, cet insecte - comme tu aimais tant le surnommer - semblait bien plus fort physiquement que toi Ton pauvre coup de pied ne lui avait affligé aucun dégât. Même pas une blessure superficielle, quelle plaie. Cela dit, la vitesse de l'assaut te permettait tout de même, de venir placer le plat de ton fer pile arrêté après être entrée en contact avec le cou du trublion. Un simple geste aurait suffit à lui décrocher la tête, mais tu n'étais pas là pour ça, seulement en guise d'avertissement. Seul bémol, Amatsu Tensai faisait parti des Premiers-Nés. Ils n'ont pas non plus leur langue dans leur poches et, il était vrai que provoquer un bougre de la première division fut une action risquée. Même si leur lâcheté les avait rattrapé lors de cette faille, il n'en demeurre pas moins vrai qu'ils restaient des combattants hors pairs. Ne respectant pas toi-même tes règles de combat, tu venais de franchir la ligne de sécurité sans réel atout valable dans ta manche. La réponse de ce rigolo ne se faisait pas attendre.

    Conscient de ton erreur lorsque Tensai restait stoïque, il était déjà trop tard. Une contre-attaque comme celle-ci ? Tu n'en avais encore jamais vu une. Tu étais plus rapide, certes, mais lui était bien plus vif et explosif, ce qui lui permettait d'avoir ce petit laps de temps d'avance sur toi, permettant alors une frappe presque imparable. Faisant usage de ta capacité à lire les trajectoires courbées, tu parais avec difficulté la plupart des coups, tout en fusionnant les esquives, jusqu'à laisser une image rémanente de ta part se faire frapper à bout portant, alors que tu avais déjà battu en retraite depuis une demi-seconde déjà. Il s'en était fallut de peu. L'adrénaline et la vitesse d'exécution t'avaient permises de passer outre la douleur, car oui, tu avais bel et bien été touché. À plusieurs endroits, tes vêtements semblaient percés.. Ton masque de Tengu se fissura sur quelques centimètres, tandis que ton Jingasa venait de perdre deux clochettes. Prêt à lui faire regretter ce geste, qui ne restera pas sans impunité. Tu libérais désormais ton Shikai, tu comptais le faire flancher.

    ▬ «Amuses-toi, Asobizuki». Très bien, je vois que tu es déterminé, alors je vais vite en finir.


    Alors que ton Zanpakuto se mettait à briller, un Jigokuchô venait se poser sur ta lame, te forçant à interrompre l'action. Ce papillon de l'enfer provenait tout droit du Fukutaïchô de la justice, t'ordonnant de cesser immédiatement tout affront dans l'enceinte de la Soul Society. Te rappelant à l'ordre par la même occasion, une tâche bien plus impérative t'attendais, que de corriger une âme sans importance, qui te donnait du fil à retordre. Derrière ton masque tu semblais frustré à un tel point, que négliger ce message traversait ton esprit, mais très vite tu revenais à la raison. Ce n'était pas le bon moment pour désobéir à ta hiérarchique. Alors, tu prenais sur toi et rengainais ton arme, tout en mettant en garde ton opposant.

    ▬ Tu as quand même eu l'honneur de pouvoir me toucher. Saches que notre prochaine rencontre ne se passera pas de la même façon, Amatsu Tensai.


    D'un Shûnpo, tu disparaissais de son champs de vision.

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