calamité. || SETSUNA Domotaï
calamité. || SETSUNA Domotaï - Mer 5 Mai - 9:09
calamité
DOMOTAÏ EBOSHI
Calamité qui s’abat en ce monde ; l’alcool est le poison des hommes. Il est le serpent qui leur fait mordre la pomme ; cette fois Eve n’y est pour rien. Sont menés à se battre, à coup de poings et de sabre ; dans la rue et dans ce bar, tous se déchaînent dans une lutte qui ne mérite la mémoire. Et quelle honte ! Les dieux se rient d’eux, au-delà des cieux ; dans l’olympe et depuis ce haut monde. Mais l’enfer ici tourmente les êtres ; aucun ne sait vraiment pour quoi il se bat ; au nom de quoi, quelle en est la place de l’honneur. Ici ne tourne que l’horreur ; domine de ce rouge écarlate et qui lacère l’épiderme de ces putrides qui dans les rues s’écrient. Ils hurlent, et ne fuient. Ils maudissent leur apothéose et se promettent à un avenir pour sûre couronné de honte.
— Viens par là sale chien !
Insulte encore au nom d’on-ne-sait-quoi, tandis que la sorcière approche à pas de loup. Lentement vient se mouvoir entre les êtres qui assistent à la scène, suivie de cinq hommes dont trois se séparant d’elle pour aller jusqu’au bar. L’officière hoche la tête à leur signe, et s’élance dans l’arène où les taureaux se déchainent.
Là le sabre est levé, dans un cri qui tend à faire abattre les tourments sur l’autre ; et les lames sont prêtes à se croiser, mais soudain la sorcière est assez proche. Tel un samourai, dégaine son arme, assène coup de pied dans le ventre de l’un et arrête par son asaushi l’attaque de l’autre, dont le geste maladroit allait de haut en bas telle la foudre maline l’oserait.
Là son zanpakuto tenant contre lui l’arme de cet inconnu, Eboshi sur lui pose son œillade et ose un jugement de haut en bas, avant d’hausser un sourcil et de souffler avec agacement certain :
— Ça suffit.
L’ordre tombe du ciel comme le jugement dernier, pourtant l’homme n’a de cesse de crier ; postillonnant et débattant sa lame contre celle de sa supérieure qui fermement tient son asaushi. Eboshi et la maitrise du fer ; tout le monde sait dans la cinquième que son niveau est égal à celui de Yoshiro, sans maitrise du shikai. Inutile donc de vouloir faire le grand face à elle.
Alors, relâchant la pression exercée sur la lame de l’inconnu, Eboshi se recule de trois pas. Elle entrevoit vaguement celui derrière-elle se relever de sa place – c’est-à-dire dans la poussières, et ose coup de pied dans son bras pour lui faire perdre l’équilibre et à nouveau qu’il tombe. Cette fois, elle pointe son asaushi vers son cou, et le fixe d’un regard qui tend vers la mortalité.
— Ose te relever et je te tranche la gorge.
— Viens par là sale chien !
Insulte encore au nom d’on-ne-sait-quoi, tandis que la sorcière approche à pas de loup. Lentement vient se mouvoir entre les êtres qui assistent à la scène, suivie de cinq hommes dont trois se séparant d’elle pour aller jusqu’au bar. L’officière hoche la tête à leur signe, et s’élance dans l’arène où les taureaux se déchainent.
Là le sabre est levé, dans un cri qui tend à faire abattre les tourments sur l’autre ; et les lames sont prêtes à se croiser, mais soudain la sorcière est assez proche. Tel un samourai, dégaine son arme, assène coup de pied dans le ventre de l’un et arrête par son asaushi l’attaque de l’autre, dont le geste maladroit allait de haut en bas telle la foudre maline l’oserait.
Là son zanpakuto tenant contre lui l’arme de cet inconnu, Eboshi sur lui pose son œillade et ose un jugement de haut en bas, avant d’hausser un sourcil et de souffler avec agacement certain :
— Ça suffit.
L’ordre tombe du ciel comme le jugement dernier, pourtant l’homme n’a de cesse de crier ; postillonnant et débattant sa lame contre celle de sa supérieure qui fermement tient son asaushi. Eboshi et la maitrise du fer ; tout le monde sait dans la cinquième que son niveau est égal à celui de Yoshiro, sans maitrise du shikai. Inutile donc de vouloir faire le grand face à elle.
Alors, relâchant la pression exercée sur la lame de l’inconnu, Eboshi se recule de trois pas. Elle entrevoit vaguement celui derrière-elle se relever de sa place – c’est-à-dire dans la poussières, et ose coup de pied dans son bras pour lui faire perdre l’équilibre et à nouveau qu’il tombe. Cette fois, elle pointe son asaushi vers son cou, et le fixe d’un regard qui tend vers la mortalité.
— Ose te relever et je te tranche la gorge.
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Hitorine Eboshi l'Ascète
Re: calamité. || SETSUNA Domotaï - Mer 5 Mai - 18:00
Calamité
災害
Droite et digne, le pas rapide, la représentante de la Magistrature des Âmes semble bien pressée avec plusieurs hommes derrière elle. Il semble qu'il y a du grabuge en ville et c'est sans doute des membres du Gotaijutai qui sont impliqués dans l'histoire. Encore des histoires d'alcool sans doute qui vont jeter l'opprobre sur les différentes divisions représentées par ces personnes.
Malheureusement ça devient une forme de routine que certaines recrues ou nouveau membre ne se sentent plus aller une fois qu'ils ont un Zanpakuto. Après quelques secondes, le site du crime est visible, sans attendre, elle commence à courir avec ses hommes :
- Renforcer le périmètre, il semblerait que la cinquième soit déjà sur place, je ne veux aucun fuyard. Mettez les hors d'état de nuire s'ils ne se rendent pas.
À la vitesse d'un cheval en pleine course, la samouraï fonce vers le lieu en esquivant les passants qui tentent de se mettre en sécurité d'un pas agile et léger. Il semble qu'une représentante de la cinquième soit prise dans un deux contre un. Bien qu'elle ne semble pas être plus que ça en difficulté, elle remarque qu'un des deux hommes qu'elle affronte semble vouloir l'attaquer de dos. Une conduite indigne que l'adoratrice du Bushido semble bien corriger. Attrapant Arashiken par le manche, Domotaï effectue une attaque de Iaido fulgurante qui projette une balle d'air comprimé qui arrive en plein dans l'épaule de sa victime. Sous l'inertie, l'homme valse vers l'arrière et finit au sol.
Après un instant, la femme aux cheveux blancs arrive devant la sorcière et se présente humblement bien que rapidement. Après tout, elles sont sur un « champ de bataille ».
- Setsuna Domotaï, Joukan de l'Ordre Mnémonique. J'ai ramené des hommes pour aider à gérer la situation et mettre les civils aux abris.
Tandis que l'homme qu'elle a blessé tente de se relever, la samouraï dégaine de nouveau son sabre à une vitesse fulgurante en activant son Shikai. Le halo de vent enveloppe la lame qui s'agrandit artificiellement d'un mètre et coupe légèrement la joue du vaincu. Il faut bien tendre l'oeil pour voir les vents tranchant autour de la lame, mais un œil expert peut vite remarquer la supercherie.
- Vous, vous ne bougez pas. Vous allez des comptes à rendre avec vos camarades.
Le regard froid, inquisitrice, la belle glace le sang du pauvre homme qu'elle toise de haut. Les deux femmes côte à côte, chacune avec un homme en joue avec leurs armes respectives, la demoiselle reprend la parole de manière professionnelle :
- Combien il en reste à arrêter ?
Sur ses mêmes mots, Domotaï décroche deux paires de menottes qu'elle a embarquées et que chaque membre de son escouade possède pour incarcérer les déviants. Sans vergogne ni gentillesse, elle envoie une des paires au vaincu puis de manière plus agréable et tendre, une paire à l'inconnu de l'étoile du Nihon.
Malheureusement ça devient une forme de routine que certaines recrues ou nouveau membre ne se sentent plus aller une fois qu'ils ont un Zanpakuto. Après quelques secondes, le site du crime est visible, sans attendre, elle commence à courir avec ses hommes :
- Renforcer le périmètre, il semblerait que la cinquième soit déjà sur place, je ne veux aucun fuyard. Mettez les hors d'état de nuire s'ils ne se rendent pas.
À la vitesse d'un cheval en pleine course, la samouraï fonce vers le lieu en esquivant les passants qui tentent de se mettre en sécurité d'un pas agile et léger. Il semble qu'une représentante de la cinquième soit prise dans un deux contre un. Bien qu'elle ne semble pas être plus que ça en difficulté, elle remarque qu'un des deux hommes qu'elle affronte semble vouloir l'attaquer de dos. Une conduite indigne que l'adoratrice du Bushido semble bien corriger. Attrapant Arashiken par le manche, Domotaï effectue une attaque de Iaido fulgurante qui projette une balle d'air comprimé qui arrive en plein dans l'épaule de sa victime. Sous l'inertie, l'homme valse vers l'arrière et finit au sol.
Après un instant, la femme aux cheveux blancs arrive devant la sorcière et se présente humblement bien que rapidement. Après tout, elles sont sur un « champ de bataille ».
- Setsuna Domotaï, Joukan de l'Ordre Mnémonique. J'ai ramené des hommes pour aider à gérer la situation et mettre les civils aux abris.
Tandis que l'homme qu'elle a blessé tente de se relever, la samouraï dégaine de nouveau son sabre à une vitesse fulgurante en activant son Shikai. Le halo de vent enveloppe la lame qui s'agrandit artificiellement d'un mètre et coupe légèrement la joue du vaincu. Il faut bien tendre l'oeil pour voir les vents tranchant autour de la lame, mais un œil expert peut vite remarquer la supercherie.
- Vous, vous ne bougez pas. Vous allez des comptes à rendre avec vos camarades.
Le regard froid, inquisitrice, la belle glace le sang du pauvre homme qu'elle toise de haut. Les deux femmes côte à côte, chacune avec un homme en joue avec leurs armes respectives, la demoiselle reprend la parole de manière professionnelle :
- Combien il en reste à arrêter ?
Sur ses mêmes mots, Domotaï décroche deux paires de menottes qu'elle a embarquées et que chaque membre de son escouade possède pour incarcérer les déviants. Sans vergogne ni gentillesse, elle envoie une des paires au vaincu puis de manière plus agréable et tendre, une paire à l'inconnu de l'étoile du Nihon.
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Setsuna Domotaï la Samouraï
Re: calamité. || SETSUNA Domotaï - Jeu 6 Mai - 7:53
calamité
DOMOTAÏ EBOSHI
Le bushido et ses mœurs ; toujours la sorcière était de ceux à dire qu’il n’assure en rien le calme que devrait avoir un samourai. Aujourd’hui en est la preuve ; là à menacer l’un, à avoir presque abattu l’autre.
C’était bien sûr sans compter la relève, et sa venue à nouveau dans un but qu’Eboshi ne voudrait comprendre ; le vide de sa tête est ce qu’elle craint ; elle ne veut en savoir rien. Alors a voulu se redresser pour contre-attaquer, mais entre eux s’est interposé une silhouette qui sied à la prestance. Setsuna Domotaï, et la grâce d’un ange. A ses traits, Eboshi ne se laisse séduire ; déjà le regard revenant vers celui qu’elle pointe de son arme. Il se rend. Alors, se baissant, elle li tend le bras et lui propose une aide que tous observent avec attention ; la grâce en un seul geste ; divine est la belle qui accorde clémence à tel homme ivre. Amené à se relever, il tient à peine sur ses jambes ; mais c’est un homme qu’Eboshi qui vient à l’aider, le tenant fermement et bien décidé à l’interroger.
Se tournant alors vers sa compère, la belle aux traits de nymphe l’entrevoit s’en sortir avec celui qu’elle martyrise ; ne cherche donc pas à la fixer plus longtemps, elle attend la venue d’un de ses soldats envoyés à l’intérieur et qu’il lui murmure quelques mots à l’oreille. Puis, à nouveau le corps balançant en direction de Setsuna, hoche la tête dans l’acceptation de son aide et souffle les informations qu’elle vient d’avoir.
— Une dizaine, tous en train de fêter la victoire de leur mission du jour. Presque tous ont dégainé leur arme, le reste s’est laissé aller aux poings.
Et à la violence, toujours, car il n’y a rien d’autre qu’ils ne connaissent, visiblement. Alors s’approche de l’entrée du bar, Eboshi en première, ses deux hommes à l’arrière, et frappe la porte de son pied pour en forcer l’entrée. Là entend-on des cris à s’en arracher les cordes ; des hurlements de guerre comme on en retrouve sur le champ de bataille. Et de la vue ne saurait se délecter ; tout l’ensemble la débecte : des hommes torse-nu ou presque nus qui là se gambadent, se sautant dessus et dans un désordre qui demande la mémoire. Dans ce quartier si animé, jamais il n’y eu tant d’animosité.
Eboshi alors confie à ses hommes de s’occuper de ceux n’ayant point dégainé leur arme, mais leur signifie de rester vigilante. Pour le reste, elle et Domotaï allaient s’en charger.
Alors, restant là, immobile et face à tout ce brouhaha, la belle adresse quelques paroles à sa compère ; on ne sait bien si elle s’amuse de la vue et de la situation dans sa globalité, ou seulement si l’agacement la rend si sarcastique.
— Avez-vous déjà été invitée à danser par un homme à moitié nu ?
C’était bien sûr sans compter la relève, et sa venue à nouveau dans un but qu’Eboshi ne voudrait comprendre ; le vide de sa tête est ce qu’elle craint ; elle ne veut en savoir rien. Alors a voulu se redresser pour contre-attaquer, mais entre eux s’est interposé une silhouette qui sied à la prestance. Setsuna Domotaï, et la grâce d’un ange. A ses traits, Eboshi ne se laisse séduire ; déjà le regard revenant vers celui qu’elle pointe de son arme. Il se rend. Alors, se baissant, elle li tend le bras et lui propose une aide que tous observent avec attention ; la grâce en un seul geste ; divine est la belle qui accorde clémence à tel homme ivre. Amené à se relever, il tient à peine sur ses jambes ; mais c’est un homme qu’Eboshi qui vient à l’aider, le tenant fermement et bien décidé à l’interroger.
Se tournant alors vers sa compère, la belle aux traits de nymphe l’entrevoit s’en sortir avec celui qu’elle martyrise ; ne cherche donc pas à la fixer plus longtemps, elle attend la venue d’un de ses soldats envoyés à l’intérieur et qu’il lui murmure quelques mots à l’oreille. Puis, à nouveau le corps balançant en direction de Setsuna, hoche la tête dans l’acceptation de son aide et souffle les informations qu’elle vient d’avoir.
— Une dizaine, tous en train de fêter la victoire de leur mission du jour. Presque tous ont dégainé leur arme, le reste s’est laissé aller aux poings.
Et à la violence, toujours, car il n’y a rien d’autre qu’ils ne connaissent, visiblement. Alors s’approche de l’entrée du bar, Eboshi en première, ses deux hommes à l’arrière, et frappe la porte de son pied pour en forcer l’entrée. Là entend-on des cris à s’en arracher les cordes ; des hurlements de guerre comme on en retrouve sur le champ de bataille. Et de la vue ne saurait se délecter ; tout l’ensemble la débecte : des hommes torse-nu ou presque nus qui là se gambadent, se sautant dessus et dans un désordre qui demande la mémoire. Dans ce quartier si animé, jamais il n’y eu tant d’animosité.
Eboshi alors confie à ses hommes de s’occuper de ceux n’ayant point dégainé leur arme, mais leur signifie de rester vigilante. Pour le reste, elle et Domotaï allaient s’en charger.
Alors, restant là, immobile et face à tout ce brouhaha, la belle adresse quelques paroles à sa compère ; on ne sait bien si elle s’amuse de la vue et de la situation dans sa globalité, ou seulement si l’agacement la rend si sarcastique.
— Avez-vous déjà été invitée à danser par un homme à moitié nu ?
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Hitorine Eboshi l'Ascète
Re: calamité. || SETSUNA Domotaï - Jeu 6 Mai - 20:35
Calamité
災害
Quelle indignité, nous sommes sur un lieu public. Et voilà que ces hommes de la Soul Society sont tous à moitié nue en pleine scène de dépravation et de honte. Le visage neutre, voire froid, la demoiselle reste un peu muette quelques instants à la blague de sa congénère.
Voir un homme à moitié nu n'est pas déjà une chose qu'elle a vu souvent, alors danser avec ? À quoi pense donc la sorcière en posant une telle question à celle qu'on surnomme littéralement la « Vierge » de Bataille ? Perplexe face à ça, Domotaï se contente de répondre :
- Le temps n'est pas à la plaisanterie malheureusement... Occupons-nous de ces déviants.
Regardant les hommes qui ressemblent plus à des animaux qu'à des dignes guerriers, sans sommation, la samouraï dégaine à une vitesse fulgurant son arme pour envoyer ses salves d'air comprimé ses ses ennemis. Visant exclusivement les genoux et épaules pour mettre hors d'état de nuire ses victimes.
La sorcière semble aussi faire son office de son côté et après de longues minutes pour mettre hors d'état de nuire chaque élément perturbateur et tous les alignés, menottée et à genoux. Tous ont la tête vers le bas, soit par la honte soit parce qu'ils sont tellement saouls comme cochon qu'ils piquent du nez.
- Vous devriez avoir honte ! Vous jetez l'opprobre sur vos divisions ! Je vous garantis que vos actions auront des répercussions, la Soul Society ne veut pas de ce genre de comportement dans ses rangs !
Le regard sévère, les bras croisés, la samouraï aussi belle qu'intransigeante sur les écarts disciplinaires de la sorte. Pas de place pour la racaille dans les rangs et son regard azur perçant le fait bien savoir aux pauvres personnes qui subissent ses réprimandes.
- Droiture, Politesse, Honneur, Loyauté, sur les sept vertus du Bushido vous avez réussi à en bafouer quatre en une seule journée, je ne vous félicite pas ! En devenant Shinigami, c'est non seulement les humains que vous protégez, mais aussi le monde spirituel ! Vous vous rendez compte de l'image que vous donnez à la population de la Soul Society ? L'image des protecteurs de ce monde est maintenant à jamais souillée par votre faute. Mais, la compassion fait aussi partie des sept vertus morales, prenez bien ça en compte.
Ce n'est « qu'une beuverie qui a mal tourné » après tout, on n’exécute pas les gens pour si peu et on ne les renvoie pas non plus. Un peu de trou avec quelques corvées que personne ne veut faire et le message sera passé, l'exemple doit être donné. Suite à ce discours, la demoiselle retourne vers la sorcière qui n'est pas très loin :
- Je vous remercie de m'avoir laissé portée assistance, j'attendrais le rapport de l'intervention de la cinquième division pour pouvoir ensuite commencer les démarches de punition. Je n'ai jamais eu l'honneur de vous rencontrer avant, puis-je connaître votre nom ?
Voir un homme à moitié nu n'est pas déjà une chose qu'elle a vu souvent, alors danser avec ? À quoi pense donc la sorcière en posant une telle question à celle qu'on surnomme littéralement la « Vierge » de Bataille ? Perplexe face à ça, Domotaï se contente de répondre :
- Le temps n'est pas à la plaisanterie malheureusement... Occupons-nous de ces déviants.
Regardant les hommes qui ressemblent plus à des animaux qu'à des dignes guerriers, sans sommation, la samouraï dégaine à une vitesse fulgurant son arme pour envoyer ses salves d'air comprimé ses ses ennemis. Visant exclusivement les genoux et épaules pour mettre hors d'état de nuire ses victimes.
La sorcière semble aussi faire son office de son côté et après de longues minutes pour mettre hors d'état de nuire chaque élément perturbateur et tous les alignés, menottée et à genoux. Tous ont la tête vers le bas, soit par la honte soit parce qu'ils sont tellement saouls comme cochon qu'ils piquent du nez.
- Vous devriez avoir honte ! Vous jetez l'opprobre sur vos divisions ! Je vous garantis que vos actions auront des répercussions, la Soul Society ne veut pas de ce genre de comportement dans ses rangs !
Le regard sévère, les bras croisés, la samouraï aussi belle qu'intransigeante sur les écarts disciplinaires de la sorte. Pas de place pour la racaille dans les rangs et son regard azur perçant le fait bien savoir aux pauvres personnes qui subissent ses réprimandes.
- Droiture, Politesse, Honneur, Loyauté, sur les sept vertus du Bushido vous avez réussi à en bafouer quatre en une seule journée, je ne vous félicite pas ! En devenant Shinigami, c'est non seulement les humains que vous protégez, mais aussi le monde spirituel ! Vous vous rendez compte de l'image que vous donnez à la population de la Soul Society ? L'image des protecteurs de ce monde est maintenant à jamais souillée par votre faute. Mais, la compassion fait aussi partie des sept vertus morales, prenez bien ça en compte.
Ce n'est « qu'une beuverie qui a mal tourné » après tout, on n’exécute pas les gens pour si peu et on ne les renvoie pas non plus. Un peu de trou avec quelques corvées que personne ne veut faire et le message sera passé, l'exemple doit être donné. Suite à ce discours, la demoiselle retourne vers la sorcière qui n'est pas très loin :
- Je vous remercie de m'avoir laissé portée assistance, j'attendrais le rapport de l'intervention de la cinquième division pour pouvoir ensuite commencer les démarches de punition. Je n'ai jamais eu l'honneur de vous rencontrer avant, puis-je connaître votre nom ?
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Setsuna Domotaï la Samouraï
Re: calamité. || SETSUNA Domotaï - Ven 7 Mai - 18:26
calamité
DOMOTAÏ EBOSHI
Une valse. Eboshi en voulait-une. Quelque chose qui la fasse danser ; homme ou femme, quelqu’un qui aie les tripes de l’inviter. Pourtant la compère n’y comprend rien ; de cette valse n’en dit rien qu’un degré trop premier. La sorcière alors au silence se tue, le regard armé de ce sérieux qui désarme. Lentement, Eve qui laisse place à Lilith ; avide de sang, sacrilège serait de ne pas assouvir sa soif. Eboshi alors en une valse se permet tout de même d’abattre ses cartes ; les coups qui partent, l’un et l’autre, par ci par là, l’instinct guerrier en elle qui s’éveille, et toujours de ces hommes qui tombe un à un, tels des dominos. Mais le jeu en rien ne l’amuse ; il ne s’agit là que d’une fable qui se termine d’une leçon que trop longue.
Là le carnage terminé, la calamité s’est exécutée dans un silence de sorte à laisser sa collègue parler. L’ordre mnémonique dans toute sa splendeur. De ces leçons Eboshi s’agace, pourtant prend son mal en patience ; elle sait qu’il est nécessaire de faire passer son immobilité comme un consentement aux mots de sa compère. Elle l’observe d’ailleurs par instants, puis sur le reste jette regard de dégoût, balayant l’assemblée de cette œillade toujours qui tend à tuer.
Dans ce silence qui lui plait, Eboshi finit par être interrogée par la dite Setsuna, qui l’invite à mieux se connaitre. Alors, un instant, la sorcière se demande si elle-même s’est déjà présentée. Non, c’est vrai. A aucun moment ne l’a fait ; et elle s’en veut un instant d’avoir fait preuve d’impolitesse. Elle s’en serait voulu si vraiment cela avait influencé le court des choses. Est-ce le cas ? Vaste blague. Eboshi s’en fou.
— Hitorine Eboshi.
Le nom de la dynastie du second shogunat résonne en écho dans la pièce, où tous les hommes cessent de brailler. Têtes baissées ; et ils la dégoûtent. Pourtant Eboshi ne fait preuve d’aucun jugement ; elle sait combien l’alcool peut rendre débauché, elle en a elle-même fait les frais.
— Ravie de rencontrer la Vierge de Bataille.
Siècle à errer laissés dans son dos forcent à connaître petits surnoms de tous ceux qui se présentent à elle ; bien sûre, Eboshi a déjà entendu parler de Domotaï, en bien comme en mal. Mais elle se complait dans le choix de ne pas écouter les dires, pour elle-même découvrir.
— Je vais boire au nom du calme, qu’en dites-vous ?
N’attend d’avoir une réponse pour déjà s’élancer en direction du bar, regard glissé vers le patron qui déjà prépare le saké au nom de l’Hitorine. En même temps, les hommes de la cinquième division ramassent un à un les ivrognes qui ne se débattent plus, déjà assez honteux ou ivres comme ça.
Ayant servie la belle colombe qui là s’est assise, le barman finalement vers Domotaï glisse un regard, comme demandant si elle compte rejoindre sa compère ou non
Là le carnage terminé, la calamité s’est exécutée dans un silence de sorte à laisser sa collègue parler. L’ordre mnémonique dans toute sa splendeur. De ces leçons Eboshi s’agace, pourtant prend son mal en patience ; elle sait qu’il est nécessaire de faire passer son immobilité comme un consentement aux mots de sa compère. Elle l’observe d’ailleurs par instants, puis sur le reste jette regard de dégoût, balayant l’assemblée de cette œillade toujours qui tend à tuer.
Dans ce silence qui lui plait, Eboshi finit par être interrogée par la dite Setsuna, qui l’invite à mieux se connaitre. Alors, un instant, la sorcière se demande si elle-même s’est déjà présentée. Non, c’est vrai. A aucun moment ne l’a fait ; et elle s’en veut un instant d’avoir fait preuve d’impolitesse. Elle s’en serait voulu si vraiment cela avait influencé le court des choses. Est-ce le cas ? Vaste blague. Eboshi s’en fou.
— Hitorine Eboshi.
Le nom de la dynastie du second shogunat résonne en écho dans la pièce, où tous les hommes cessent de brailler. Têtes baissées ; et ils la dégoûtent. Pourtant Eboshi ne fait preuve d’aucun jugement ; elle sait combien l’alcool peut rendre débauché, elle en a elle-même fait les frais.
— Ravie de rencontrer la Vierge de Bataille.
Siècle à errer laissés dans son dos forcent à connaître petits surnoms de tous ceux qui se présentent à elle ; bien sûre, Eboshi a déjà entendu parler de Domotaï, en bien comme en mal. Mais elle se complait dans le choix de ne pas écouter les dires, pour elle-même découvrir.
— Je vais boire au nom du calme, qu’en dites-vous ?
N’attend d’avoir une réponse pour déjà s’élancer en direction du bar, regard glissé vers le patron qui déjà prépare le saké au nom de l’Hitorine. En même temps, les hommes de la cinquième division ramassent un à un les ivrognes qui ne se débattent plus, déjà assez honteux ou ivres comme ça.
Ayant servie la belle colombe qui là s’est assise, le barman finalement vers Domotaï glisse un regard, comme demandant si elle compte rejoindre sa compère ou non
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Officier
Hitorine Eboshi l'Ascète
Re: calamité. || SETSUNA Domotaï - Sam 8 Mai - 0:29
Calamité
災害
Hitorine Eboshi, un nom qui lui parle, sans savoir réellement d'où, la seule dont elle se souvient, c'est que c'est un officier de la cinquième division, mais la demoiselle ne se fie pas vraiment aux « on dit ». La proposition de boire un peu de thé après être monté autant dans les décibels n'est pas désagréable dans l'esprit de la samouraï. « Après l'effort, le réconfort » comme on dit. D'un geste poli de la tête, elle accepte volontiers l'invitation :
- C'est un honneur de pouvoir partager un verre avec vous. Un peu de détente me ferait du bien.
C'est tout de même étrange d'aller boire un peu dans le même quartier qui a justement été terrorisé par les Shinigami bourrés. Observant le barman qui a visiblement l'habitude de la présence de la sorcière, la demoiselle fait sa commande :
- Je vais vous prendre un thé, je vous laisse le soin de choisir lequel, j'ai toute confiance en vous.
Un léger sourire doux et tendre, elle est beaucoup plus agréable à vivre que tout à l'heure quand elle hurlait sur les ivrognes. En posture de Seiza, les yeux de la demoiselle suivent la théière et la tasse rapidement apportées par le barman. D'un geste habile, l'homme remplit la tasse de sa cliente qui la remercie d'un geste de tête polie en s'inclinant un peu vers l'avant.
Son regard azur dans ceux de la sorcière, elle cherche un peu à discerner quel genre de personnage elle a en face d'elle, boire avec une personne est souvent la meilleure manière de briser la glace. Pour Domotaï, il vaut mieux éviter de boire de l'alcool, seuls les kamis pourraient savoir ce qu'il pourrait se passer si elle finit ivre.
- Votre maniement de la lame semble remarquable, je serais honoré de pouvoir m'entraîner avec une personne de votre envergure.
Domotaï dans toute sa splendeur, parler du bushido est de l'art du combat c'est bien l'un des rares sujets qu'elle maitrise, n'osant pas vraiment aborder des sujets plus banals ou osés.
En arrière-fond, un bruit de koto commence à se faire entendre, l'atmosphère se fait plus détendue. D'un geste gracieux, la samouraî aux cheveux blanc attrape du bout de ses doigts sa tasse, la main droite sous la tasse pour éviter de la faire tomber bêtement, elle trempe ses lèvres dans le liquide pour boire cette divine boisson qu'elle apprécie tant.
- C'est un honneur de pouvoir partager un verre avec vous. Un peu de détente me ferait du bien.
C'est tout de même étrange d'aller boire un peu dans le même quartier qui a justement été terrorisé par les Shinigami bourrés. Observant le barman qui a visiblement l'habitude de la présence de la sorcière, la demoiselle fait sa commande :
- Je vais vous prendre un thé, je vous laisse le soin de choisir lequel, j'ai toute confiance en vous.
Un léger sourire doux et tendre, elle est beaucoup plus agréable à vivre que tout à l'heure quand elle hurlait sur les ivrognes. En posture de Seiza, les yeux de la demoiselle suivent la théière et la tasse rapidement apportées par le barman. D'un geste habile, l'homme remplit la tasse de sa cliente qui la remercie d'un geste de tête polie en s'inclinant un peu vers l'avant.
Son regard azur dans ceux de la sorcière, elle cherche un peu à discerner quel genre de personnage elle a en face d'elle, boire avec une personne est souvent la meilleure manière de briser la glace. Pour Domotaï, il vaut mieux éviter de boire de l'alcool, seuls les kamis pourraient savoir ce qu'il pourrait se passer si elle finit ivre.
- Votre maniement de la lame semble remarquable, je serais honoré de pouvoir m'entraîner avec une personne de votre envergure.
Domotaï dans toute sa splendeur, parler du bushido est de l'art du combat c'est bien l'un des rares sujets qu'elle maitrise, n'osant pas vraiment aborder des sujets plus banals ou osés.
En arrière-fond, un bruit de koto commence à se faire entendre, l'atmosphère se fait plus détendue. D'un geste gracieux, la samouraî aux cheveux blanc attrape du bout de ses doigts sa tasse, la main droite sous la tasse pour éviter de la faire tomber bêtement, elle trempe ses lèvres dans le liquide pour boire cette divine boisson qu'elle apprécie tant.
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Officier
Setsuna Domotaï la Samouraï
Re: calamité. || SETSUNA Domotaï - Sam 8 Mai - 9:16
calamité
DOMOTAÏ EBOSHI
Elle écrira une lettre, nul doute. Elle mettra sur papier tous les désagréments, tous les noms de ces hommes vivants. Elle ne manquera pas d’accorder sa victoire avec l’honorable compagnie de l’Hitorine, nul doute. Elle marquera tout ; le rapport ne manquera de rien. Elle saura faire tout cela ; car elle ne sait ce que sont les miettes.
Domotaï et la grâce d’un soldat, comme il est rare d’en entrevoir. Eboshi en elle trouve certain charisme, pourtant fait taire ses pensées d’une main portée à sa tasse, tandis que l’autre déjà s’est assise à côté d’elle, ayant précieusement accepté de prendre en sa compagnie de quoi se requinquer. Et de cet instant béni des dieux, la sorcière se contente d’un silence ; car les muscles se détendent, et on n’oserait les déranger.
Pourtant Domotaï qui malmène les siens ; l’œillade rivée vers sa compère qui ne prend même pas le temps de l’observer à son tour. Eboshi n’en a que faire des détails ; elle a retenu sa silhouette en diagonale, chose suffisante à son goût. Pourtant, dans un instinct tout à fait humain, elle relève les yeux vers celle qui tend à la fixer, à son tour noyant son regard dans les siens. Et cruel est le monde, d’avoir donné de si beaux bijoux à la Vierge de Bataille ; des yeux dignes de joyaux, qu’Eboshi volontiers viendrait à arracher pour s’en accaparer toute la beauté. L’instant est à la violence des pensées, pourtant les gestes ne suivent en rien ; simplement boit son thé, attentive aux remarques.
— Un personnage de mon envergure.
Répète mot pour mot ceux qui viennent d’être prononcés, comme si elle venait à la ressentir hypocrite. Pourtant Eboshi la sait ; forte en Bushido, et de ces êtres qui en affectionne tout le savoir. Elle le sait parce qu’elle l’a vu, mais aussi parce qu’elle l’a entendu. Eboshi sait ce que lui accordent ses yeux à voir et oreilles à écouter ; elle sait donc tout ça ; que Domotaï nul doute un entrainement allait lui proposer, que le destin allait à nouveau les lier.
— Soit, amusons-nous. Mais pas aujourd’hui. Un autre jour.
Car c’est l’envie qui manque, dans l’immédiat ; le temps passé à ramasser les autres l’a dégoûté de tout, et elle a besoin de se revigorer pour l’heure, auprès d’un thé et d’une charmante compagnie.
— Le bushido est-il votre spécialité, alors, vous qui êtes de l’ordre mnémonique ?
Domotaï et la grâce d’un soldat, comme il est rare d’en entrevoir. Eboshi en elle trouve certain charisme, pourtant fait taire ses pensées d’une main portée à sa tasse, tandis que l’autre déjà s’est assise à côté d’elle, ayant précieusement accepté de prendre en sa compagnie de quoi se requinquer. Et de cet instant béni des dieux, la sorcière se contente d’un silence ; car les muscles se détendent, et on n’oserait les déranger.
Pourtant Domotaï qui malmène les siens ; l’œillade rivée vers sa compère qui ne prend même pas le temps de l’observer à son tour. Eboshi n’en a que faire des détails ; elle a retenu sa silhouette en diagonale, chose suffisante à son goût. Pourtant, dans un instinct tout à fait humain, elle relève les yeux vers celle qui tend à la fixer, à son tour noyant son regard dans les siens. Et cruel est le monde, d’avoir donné de si beaux bijoux à la Vierge de Bataille ; des yeux dignes de joyaux, qu’Eboshi volontiers viendrait à arracher pour s’en accaparer toute la beauté. L’instant est à la violence des pensées, pourtant les gestes ne suivent en rien ; simplement boit son thé, attentive aux remarques.
— Un personnage de mon envergure.
Répète mot pour mot ceux qui viennent d’être prononcés, comme si elle venait à la ressentir hypocrite. Pourtant Eboshi la sait ; forte en Bushido, et de ces êtres qui en affectionne tout le savoir. Elle le sait parce qu’elle l’a vu, mais aussi parce qu’elle l’a entendu. Eboshi sait ce que lui accordent ses yeux à voir et oreilles à écouter ; elle sait donc tout ça ; que Domotaï nul doute un entrainement allait lui proposer, que le destin allait à nouveau les lier.
— Soit, amusons-nous. Mais pas aujourd’hui. Un autre jour.
Car c’est l’envie qui manque, dans l’immédiat ; le temps passé à ramasser les autres l’a dégoûté de tout, et elle a besoin de se revigorer pour l’heure, auprès d’un thé et d’une charmante compagnie.
— Le bushido est-il votre spécialité, alors, vous qui êtes de l’ordre mnémonique ?
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Hitorine Eboshi l'Ascète
Re: calamité. || SETSUNA Domotaï - Sam 8 Mai - 12:08
Calamité
災害
Avait-elle mal pris la phrase de Domotaï pour la répéter comme telle ? Intriguée, la duelliste préfère clarifier la chose dépose sa tasse après quelques gorgées :
- Vous êtes Joukan de l'Étoile de Nihon, je ne me fais aucun doute sur vos compétences au combat, et ça sera un honneur d'échanger quelques passes d'armes avec vous. Après je comprends bien que ça ne se fera pas aujourd'hui, nous avons eu un événement pénible à gérer aujourd'hui.
Soupirant de satisfaction après une grande inspiration, la demoiselle joint ses mains sur ses cuisses. La curiosité de la sorcière sur l'application du Bushido chez un membre de l'Ordre Mnémonique est légitime, il est clair que ce n'est pas la première division qui traverserait l'esprit chez les gens quand on parle de Domotaï avec son comportement.
- Une spécialité je ne dirais pas, mais c'est un mode de vie qui me convient, dès mon arrivée à la Soul Society j'ai senti que je devais vivre cette voie. Peut-être des relents de ma vie passés dont je n'ai aucun souvenir. Cependant, mes responsabilités me demandent de connaître notre culture et nos traditions sur le bout des doigts afin d'éviter les déviances qui pourraient polluer notre peuple. « Conservation des mœurs » le nom de l'axe auquel j'appartiens est assez explicite je pense.
Échangeant de nouveau des regards, Domotaï n'arrive pas à cerner cette personne qui semble si impassible actuellement, certes un samouraï doit savoir maîtriser et cacher ses émotions. Mais d'ordinaire il y a quelques indices dans les yeux de son interlocuteur qui sont les reflets de l'âme comme on dit.
- Après... nommer ça de spécialité, j'ignore si c'est adapté à ma situation.
- Vous êtes Joukan de l'Étoile de Nihon, je ne me fais aucun doute sur vos compétences au combat, et ça sera un honneur d'échanger quelques passes d'armes avec vous. Après je comprends bien que ça ne se fera pas aujourd'hui, nous avons eu un événement pénible à gérer aujourd'hui.
Soupirant de satisfaction après une grande inspiration, la demoiselle joint ses mains sur ses cuisses. La curiosité de la sorcière sur l'application du Bushido chez un membre de l'Ordre Mnémonique est légitime, il est clair que ce n'est pas la première division qui traverserait l'esprit chez les gens quand on parle de Domotaï avec son comportement.
- Une spécialité je ne dirais pas, mais c'est un mode de vie qui me convient, dès mon arrivée à la Soul Society j'ai senti que je devais vivre cette voie. Peut-être des relents de ma vie passés dont je n'ai aucun souvenir. Cependant, mes responsabilités me demandent de connaître notre culture et nos traditions sur le bout des doigts afin d'éviter les déviances qui pourraient polluer notre peuple. « Conservation des mœurs » le nom de l'axe auquel j'appartiens est assez explicite je pense.
Échangeant de nouveau des regards, Domotaï n'arrive pas à cerner cette personne qui semble si impassible actuellement, certes un samouraï doit savoir maîtriser et cacher ses émotions. Mais d'ordinaire il y a quelques indices dans les yeux de son interlocuteur qui sont les reflets de l'âme comme on dit.
- Après... nommer ça de spécialité, j'ignore si c'est adapté à ma situation.
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Setsuna Domotaï la Samouraï
Re: calamité. || SETSUNA Domotaï - Dim 9 Mai - 11:21
calamité
DOMOTAÏ EBOSHI
Aux transports du nectar se laisse porter ; couronne de fleurs qui naquit en son cœur, et douce est la sensation qui la prend dès lors la gorgée est avalée. Loin au fond de l’âme, fait remonter de ce parfum fleurit qu’elle apprécie. Eboshi de cet instant se délecte, tandis que sa compère déjà aux mots et lettres laisse paraître ; sérieuse et calme, c’est comme ça qu’on la devine. Un peu trop solennelle sur les bords, mais la sorcière n’en émet aucun jugement.
Puis paroles qui divaguent sur nouveau sujet ; l’axe qu’elle gère à sa façon. Conservation des mœurs s’approche de près à l’Hakuge d’Eboshi, qui se veut en une forme d’élévation spirituelle du shinigami. Alors se satisfait de l’entendre parler, mais ne se délecte d’aucun de ses mots ; rappel est à faire qu’Eboshi ne maitrise que trop les mœurs qui régissent le peuple shinigami. Elle serait prête à soulever le peuple contre le Concile, mais choses doivent être faites en temps voulu.
— Je vois. Je suis de l’axe Hakuge, ou élévation spirituelle, à votre guise.
Le nom n’a que d’importance, et Eboshi ainsi le fait savoir. Elle reporte sa tasse à ses lèvres, d’un geste lent et maitrisé, tandis que son regard se relève vers le champs de bataille qui s’accompagne de décombre ; chaises cassées, tables tranchées. Le tout rend en un tableau désagréable, et de ce fait Eboshi bien vite vient à fixer sa compère aux yeux d’or.
— Mais de nos jours, à quoi bon apprendre des choses que de tels ignorants ne pourraient jamais comprendre.
Car Eboshi n’est de ces gens patients ; bien loin de l’image qu’elle tend à donner. Elle se rapproche bien plus d’un professeur stricte et qu’on ne saurait apprécier. De ce défaut est-elle faite, mais ne s’en plaint jamais ; la solitude est une chose qui lui sied que trop bien.
— Nous devrions organiser quelque chose entre nos deux axes, un jour.
Puis paroles qui divaguent sur nouveau sujet ; l’axe qu’elle gère à sa façon. Conservation des mœurs s’approche de près à l’Hakuge d’Eboshi, qui se veut en une forme d’élévation spirituelle du shinigami. Alors se satisfait de l’entendre parler, mais ne se délecte d’aucun de ses mots ; rappel est à faire qu’Eboshi ne maitrise que trop les mœurs qui régissent le peuple shinigami. Elle serait prête à soulever le peuple contre le Concile, mais choses doivent être faites en temps voulu.
— Je vois. Je suis de l’axe Hakuge, ou élévation spirituelle, à votre guise.
Le nom n’a que d’importance, et Eboshi ainsi le fait savoir. Elle reporte sa tasse à ses lèvres, d’un geste lent et maitrisé, tandis que son regard se relève vers le champs de bataille qui s’accompagne de décombre ; chaises cassées, tables tranchées. Le tout rend en un tableau désagréable, et de ce fait Eboshi bien vite vient à fixer sa compère aux yeux d’or.
— Mais de nos jours, à quoi bon apprendre des choses que de tels ignorants ne pourraient jamais comprendre.
Car Eboshi n’est de ces gens patients ; bien loin de l’image qu’elle tend à donner. Elle se rapproche bien plus d’un professeur stricte et qu’on ne saurait apprécier. De ce défaut est-elle faite, mais ne s’en plaint jamais ; la solitude est une chose qui lui sied que trop bien.
— Nous devrions organiser quelque chose entre nos deux axes, un jour.
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Hitorine Eboshi l'Ascète
Re: calamité. || SETSUNA Domotaï - Mar 11 Mai - 20:25
Calamité
災害
Quand la sorcière parle d'élévation spirituelle, l'attention de la duelliste semble être totalement vers son interlocutrice. Une autre personne qui vise l'excellence ? À aller toujours plus loin dans les réflexions et les traditions pour devenir quelqu'un de meilleur ? Un sourire en coin de lèvre angélique, la samouraï se remet une mèche de cheveux derrière l'oreille avant de répondre à sa partenaire de boisson :
- J'ai entendu parler de cet axe, j'ai quelques connaissances et amis dans la cinquième division. Sans doute pour ça que votre nom me parlait tout à l'heure. Pour ce qui est des ignorants, c'est justement à nous d'enseigner et de les mettre sur le droit chemin comme des brebis égarées.
C'est vrai que maintenant qu'elle y pense, les deux axes sont tout de même bien rapproché, même si l'Hakuge c'est du préventif là où la Magistrature d'Âme c'est du correctionnel et de l’encadrement. De ce qu'elle comprend, c'est curieux même qu'ils ne sont pas déjà fait quelque chose ensemble :
- Et bien, ça serait un plaisir de travailler avec vous sur un projet. Pourquoi pas une forme de stage pour des ignorants où nous travaillons ensemble pour aider les déviants à retrouver le droit chemin ? Ça pourrait être intéressant.
Mais terriblement ennuyeux sans doute pour les stagiaires qui seront plus là par défaut et désignation que par la volonté de progresser dans le « bon sens » des normes de la Soul Society. D'ailleurs, Domotaï ne s'est jamais vraiment penché sur l'aspect « faute » dans le côté religieux et spirituel, une question qu'elle se hâte de poser :
- Vous avez par hasard une liste des différentes fautes qu'on pu faire les Shinigamis jusqu'à présent ? Et ce que vous considérez comme faute spirituelle ?
La question de l'homosexualité lui brule les lèvres, mais c'est trop tôt pour poser la question et trop « grillé » aussi.
- J'ai entendu parler de cet axe, j'ai quelques connaissances et amis dans la cinquième division. Sans doute pour ça que votre nom me parlait tout à l'heure. Pour ce qui est des ignorants, c'est justement à nous d'enseigner et de les mettre sur le droit chemin comme des brebis égarées.
C'est vrai que maintenant qu'elle y pense, les deux axes sont tout de même bien rapproché, même si l'Hakuge c'est du préventif là où la Magistrature d'Âme c'est du correctionnel et de l’encadrement. De ce qu'elle comprend, c'est curieux même qu'ils ne sont pas déjà fait quelque chose ensemble :
- Et bien, ça serait un plaisir de travailler avec vous sur un projet. Pourquoi pas une forme de stage pour des ignorants où nous travaillons ensemble pour aider les déviants à retrouver le droit chemin ? Ça pourrait être intéressant.
Mais terriblement ennuyeux sans doute pour les stagiaires qui seront plus là par défaut et désignation que par la volonté de progresser dans le « bon sens » des normes de la Soul Society. D'ailleurs, Domotaï ne s'est jamais vraiment penché sur l'aspect « faute » dans le côté religieux et spirituel, une question qu'elle se hâte de poser :
- Vous avez par hasard une liste des différentes fautes qu'on pu faire les Shinigamis jusqu'à présent ? Et ce que vous considérez comme faute spirituelle ?
La question de l'homosexualité lui brule les lèvres, mais c'est trop tôt pour poser la question et trop « grillé » aussi.
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Setsuna Domotaï la Samouraï
Re: calamité. || SETSUNA Domotaï - Mar 11 Mai - 20:44
calamité
DOMOTAÏ EBOSHI
Ce ne sont pas des paroles en l’air, pourtant Eboshi voit en elles l’ennui du monde. Préparer son prochain et l’instruire, quelle idiotie. Seule l’élite a ce mérite – ou devrait. Eboshi de cela n’en dit rien, regard porté à son verre, et lento est le mouvement de sa main qui vient caresser le bord de sa tasse. L’œillade s’y perd ; jusqu’au fond du récipient ; et à travers le nectar qu’elle n’a encore terminé. Puis redresse le menton, vers celle qui des yeux l’ensorcèle. Qui est la sorcière, au juste ?
— Vous êtes trop clémente.
Et trop aimante ; des autres et de ceux qu’Eboshi a appris à mépriser – détester. C’est la haine qui jusque là l’a guidé, et jamais n’a failli à la porter. Alors se tourne, sur cette chaise haute qui la porte tel un trône ; vers Domotaï s’est tournée, pour mieux la contempler, et à nouveau sa tasse à ses lèvres est portée, d’un geste délicat – la grâce dans ses gestes qui la guident.
Puis proposition d’un stage, de laquelle Eboshi se satisfait. Demande de temps à passer ensemble, ou simplement formalité à accorder aux pauvres recrues qui sans doute s’endormiront d’angoisse à la vue des deux référentes ? Petit sourire qui apparaît ; Eboshi de là reboit une gorgée en silence, avant de souffler :
— Soit, faisons cela.
Puis réfléchit, à la demande de cette belle qui ensorcèle ; Domotaï ou comment être solennelle ; de ce comportement se satisfait celle qui lui fait face, comme promise à un jeu ; l’amusement qui chatouille le ventre.
— Le fait d’aujourd’hui est un parfait exemple. Et la plupart étaient malheureusement pour eux de la cinquième division. Donnons-leur une autre correction.
— Vous êtes trop clémente.
Et trop aimante ; des autres et de ceux qu’Eboshi a appris à mépriser – détester. C’est la haine qui jusque là l’a guidé, et jamais n’a failli à la porter. Alors se tourne, sur cette chaise haute qui la porte tel un trône ; vers Domotaï s’est tournée, pour mieux la contempler, et à nouveau sa tasse à ses lèvres est portée, d’un geste délicat – la grâce dans ses gestes qui la guident.
Puis proposition d’un stage, de laquelle Eboshi se satisfait. Demande de temps à passer ensemble, ou simplement formalité à accorder aux pauvres recrues qui sans doute s’endormiront d’angoisse à la vue des deux référentes ? Petit sourire qui apparaît ; Eboshi de là reboit une gorgée en silence, avant de souffler :
— Soit, faisons cela.
Puis réfléchit, à la demande de cette belle qui ensorcèle ; Domotaï ou comment être solennelle ; de ce comportement se satisfait celle qui lui fait face, comme promise à un jeu ; l’amusement qui chatouille le ventre.
— Le fait d’aujourd’hui est un parfait exemple. Et la plupart étaient malheureusement pour eux de la cinquième division. Donnons-leur une autre correction.
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Hitorine Eboshi l'Ascète
Re: calamité. || SETSUNA Domotaï - Mar 11 Mai - 21:33
Calamité
災害
Trop gentille, peut-être, Domotaï a toujours souhaité élevé tout le monde vers le haut plutôt que de privilégier l'élitisme. Se battre pour la dignité des faibles, voilà ce qu'incarne la samouraï malgré son côté intransigeant sur l’étiquette.
Elle ne semble pas contre vraiment étonnée qu'Eboshi accepte aussi facilement la proposition. Un sourire en coin de lèvre, son regard dans son thé dont elle vient boire quelques gorgées. La belle semble heureuse de son initiative et que quelqu'un accepte sa démarche. Regardant la tasse de sa consœur, elle vient gracieusement la servir pour remplir de nouveau le récipient. Une manière polit de demander à son partenaire de boisson de remplir à son tour sa tasse.
- Je me doute bien que le cas que nous venons de régler en fait parti, mais je parlais plus de l'ordre éthique et des mœurs. Par exemple, si on continue sur la dépravation, en dehors de l'alcool, punissez-vous aussi les écarts comme l'utilisation de drogue ou la débauche ? Quel genre de sanction pour quelle « faute ».
Une question assez subtile pour commencer le sujet qui l'intéresse réellement, peut-être qu'avec Niobe ça pourrait être une histoire à vivre au grand jour sans aucune honte ? Peut-être un jour en tout cas. Ses yeux azur dans ceux de sa partenaire de boisson qu'elle trouve tout de même séduisante, elle se perd un peu à regarder ses lèvres avant de se rappeler à l'ordre en pensant à la samouraï qui ne fait que la tourmenter depuis tant d'années dans son cœur et son esprit.
Elle ne semble pas contre vraiment étonnée qu'Eboshi accepte aussi facilement la proposition. Un sourire en coin de lèvre, son regard dans son thé dont elle vient boire quelques gorgées. La belle semble heureuse de son initiative et que quelqu'un accepte sa démarche. Regardant la tasse de sa consœur, elle vient gracieusement la servir pour remplir de nouveau le récipient. Une manière polit de demander à son partenaire de boisson de remplir à son tour sa tasse.
- Je me doute bien que le cas que nous venons de régler en fait parti, mais je parlais plus de l'ordre éthique et des mœurs. Par exemple, si on continue sur la dépravation, en dehors de l'alcool, punissez-vous aussi les écarts comme l'utilisation de drogue ou la débauche ? Quel genre de sanction pour quelle « faute ».
Une question assez subtile pour commencer le sujet qui l'intéresse réellement, peut-être qu'avec Niobe ça pourrait être une histoire à vivre au grand jour sans aucune honte ? Peut-être un jour en tout cas. Ses yeux azur dans ceux de sa partenaire de boisson qu'elle trouve tout de même séduisante, elle se perd un peu à regarder ses lèvres avant de se rappeler à l'ordre en pensant à la samouraï qui ne fait que la tourmenter depuis tant d'années dans son cœur et son esprit.
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Setsuna Domotaï la Samouraï
Re: calamité. || SETSUNA Domotaï - Mer 12 Mai - 14:57
calamité
DOMOTAÏ EBOSHI
La belle lentement tend le bras, et vient à remplir sa tasse. Enchaîne avec une question, pour laquelle Eboshi porte intérêt tout particulier.
— Pour la drogue ?
Question pertinente, et Eboshi un instant s’imagine quelle en serait la torture la plus adaptée ; l’indulgence n’a nulle place en ce monde, surtout quand il s’agit de prendre bonbon magique pour perdre contrôle de soi. Eboshi ne saurait l’accepter. Sa division bien sûre est assurée d’être punie si qui que ce soit oserait pareille atrocité ; la drogue est une calamité à laquelle il ne faut céder.
Alors, lentement tend sa main à son tour, et se met à émettre son idée tout en attrapant la tasse de Domotaï pour à nouveau la remplir.
— Eh bien, je les droguerais encore et encore, jusqu’à les rendre accros, puis je ne les satisferais de plus aucune dose, quelle qu’en soit la posologie. Ils agoniseront tellement qu’ils regretteront s’être lancés dans merde pareille, et les autres les prendront pour exemple à ne pas suivre.
Sorcière est concentrée sur ses propres mots, si bien qu’elle en oublie la violence un instant ; et rapide est-il, car bien vite redresse les yeux vers celle qui lui fait face. Scrute son visage un instant, observe sa réaction, puis affiche un sourire en repoussant la tasse vers sa compère :
— Je rigole, bien sûr.
Un instant reste silencieuse, alors qu’à nouveau boit de son nectar ; et s’en délecte, autant de temps qu’il faudra à sa partenaire pour oublier la violence des mots de la sorcière. Celle-ci ne pourrait consentir à avoir la réputation d’une némésis épousée à deimos. Loin d’elle les dieux calamiteux ; seule l’amour et la paix, bien sûr, ont place en son cœur.
— Et vous ? Que feriez-vous ?
— Pour la drogue ?
Question pertinente, et Eboshi un instant s’imagine quelle en serait la torture la plus adaptée ; l’indulgence n’a nulle place en ce monde, surtout quand il s’agit de prendre bonbon magique pour perdre contrôle de soi. Eboshi ne saurait l’accepter. Sa division bien sûre est assurée d’être punie si qui que ce soit oserait pareille atrocité ; la drogue est une calamité à laquelle il ne faut céder.
Alors, lentement tend sa main à son tour, et se met à émettre son idée tout en attrapant la tasse de Domotaï pour à nouveau la remplir.
— Eh bien, je les droguerais encore et encore, jusqu’à les rendre accros, puis je ne les satisferais de plus aucune dose, quelle qu’en soit la posologie. Ils agoniseront tellement qu’ils regretteront s’être lancés dans merde pareille, et les autres les prendront pour exemple à ne pas suivre.
Sorcière est concentrée sur ses propres mots, si bien qu’elle en oublie la violence un instant ; et rapide est-il, car bien vite redresse les yeux vers celle qui lui fait face. Scrute son visage un instant, observe sa réaction, puis affiche un sourire en repoussant la tasse vers sa compère :
— Je rigole, bien sûr.
Un instant reste silencieuse, alors qu’à nouveau boit de son nectar ; et s’en délecte, autant de temps qu’il faudra à sa partenaire pour oublier la violence des mots de la sorcière. Celle-ci ne pourrait consentir à avoir la réputation d’une némésis épousée à deimos. Loin d’elle les dieux calamiteux ; seule l’amour et la paix, bien sûr, ont place en son cœur.
— Et vous ? Que feriez-vous ?
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Hitorine Eboshi l'Ascète
Re: calamité. || SETSUNA Domotaï - Jeu 13 Mai - 13:41
Calamité
災害
Une sentence qui résonne comme incroyablement cruelle mais aussi diablement efficace, à l'entendre, Domotaï n'a même plus envie de boire son thé pour le moment. Elle fait un mouvement de la tête polie pour remercier la sorcière qui remplit sa tasse de thé. Bien que cette dernière semble faire une blague, la duelliste ne fait que constater qu'Eboshi ne donne pas la « véritable sentence », on cache dans l'humour une part de vérité, et la belle aux cheveux blancs pense que cette femme serait capable d'appliquer ce qu'elle vient de dire.
Les mains sur ses genoux, son regard azur dans ceux de sa partenaire de boisson, elle penche délicatement la tête sur le côté pour faire un sourire tendre et amical pour détendre l'atmosphère. Ses cheveux ondulés et soyeux suivent le mouvement en tombant délicatement par-dessus ses épaules avant de répondre à la question :
- Je pense que je ferais d'abord une période de désintoxication, donnant de moins en moins de cette substance qui empoisonne leur vie et leur esprit. Puis, après qu'ils sont purgés de ce mal, je pense que je les obligerais à faire des travaux d'intérêt général pour marquer le coup et venir eux-mêmes aider les malheureux qui sont addicts. Pour qu'ils voient comment eux ils étaient à l'époque et les faire réfléchir.
Se redressant, l'envie de boire reprend et du bout de ses doigts, elle attrape délicatement sa tasse pour tremper ses lèvres fines dans le liquide et boire quelques gorgées. Une solution plus douce mais qui peut avoir de réels effets psychologiques si on montre aux victimes de la drogue comment ils étaient avant.
Posant sa tasse sur la table, elle change donc de sujet avec le dernier point qu'elle avait cité plus tôt :
- Et pour ce qui est de la débauche ? Punissez-vous les fétiches hors de nos normes ? L'adultère, l'inceste ou encore l'homosexualité ? Je n'ai pas encore eu ce genre de cas à traiter pour le moment, mais il y a un début à tout... Vous semblez avoir de l'expérience, pour le coup, je m'en remets à votre jugement pour peut-être m'en inspirer et vérifier après dans nos bibliothèques si d'autres sentences existent.
Les mains sur ses genoux, son regard azur dans ceux de sa partenaire de boisson, elle penche délicatement la tête sur le côté pour faire un sourire tendre et amical pour détendre l'atmosphère. Ses cheveux ondulés et soyeux suivent le mouvement en tombant délicatement par-dessus ses épaules avant de répondre à la question :
- Je pense que je ferais d'abord une période de désintoxication, donnant de moins en moins de cette substance qui empoisonne leur vie et leur esprit. Puis, après qu'ils sont purgés de ce mal, je pense que je les obligerais à faire des travaux d'intérêt général pour marquer le coup et venir eux-mêmes aider les malheureux qui sont addicts. Pour qu'ils voient comment eux ils étaient à l'époque et les faire réfléchir.
Se redressant, l'envie de boire reprend et du bout de ses doigts, elle attrape délicatement sa tasse pour tremper ses lèvres fines dans le liquide et boire quelques gorgées. Une solution plus douce mais qui peut avoir de réels effets psychologiques si on montre aux victimes de la drogue comment ils étaient avant.
Posant sa tasse sur la table, elle change donc de sujet avec le dernier point qu'elle avait cité plus tôt :
- Et pour ce qui est de la débauche ? Punissez-vous les fétiches hors de nos normes ? L'adultère, l'inceste ou encore l'homosexualité ? Je n'ai pas encore eu ce genre de cas à traiter pour le moment, mais il y a un début à tout... Vous semblez avoir de l'expérience, pour le coup, je m'en remets à votre jugement pour peut-être m'en inspirer et vérifier après dans nos bibliothèques si d'autres sentences existent.
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Setsuna Domotaï la Samouraï
Re: calamité. || SETSUNA Domotaï - Jeu 13 Mai - 20:44
calamité
DOMOTAÏ EBOSHI
L’homosexualité. Eboshi soudain retient un rire, à sa bouche une main portée. Et c’est normal ; le sujet est l’homosexualité.
Alors un instant la sorcière songe à la punition. Mais tout la renvoie à des images dépravées passées avec Mukuge ; et ça ne peut déplaire. Là dans un sourire cache sa réponse, qui à ses lèvres pend encore. Mais Eboshi ne dit rien, trop laissée allée dans ses pensées pour en dire une seule syllabe. Simplement se contente d’observer le barman, qui ne répond de rien ni même d’un regard.
— L’homosexualité, dites-vous.
Alors, Eboshi finit sa tasse, et se redresse hautement et de toute sa prestance. Tend une dextre à sa camarade, qu’elle invite à prendre pour à son tour pouvoir se lever. Puis, la relâchant avec délicatesse, s’en va pour quitter les lieux. De sa hauteur se dresse, et les mains dans le dos sont liées.
— A vrai dire…
Se penche de côté, tout sourire, vers cette compère qui l’amuse et aux yeux de saphir ; elle l’observe un instant, marchant et allant dans la ruelle, prête à faire un petit tour avant de rentrer peut-être.
— Je ne punie pas les homosexuels.
Se met à rire, imaginant la réaction de sa collègue, refusant de la scruter d’avantage. Elle se contente d’avance, faite désormais d’un silence et de soleil ; la lumière qui pleut sur son visage.
— Je suis de ces gens qui batifolent entre les deux sexes. Allez-vous me punir, Officier Domotaï ?
Alors un instant la sorcière songe à la punition. Mais tout la renvoie à des images dépravées passées avec Mukuge ; et ça ne peut déplaire. Là dans un sourire cache sa réponse, qui à ses lèvres pend encore. Mais Eboshi ne dit rien, trop laissée allée dans ses pensées pour en dire une seule syllabe. Simplement se contente d’observer le barman, qui ne répond de rien ni même d’un regard.
— L’homosexualité, dites-vous.
Alors, Eboshi finit sa tasse, et se redresse hautement et de toute sa prestance. Tend une dextre à sa camarade, qu’elle invite à prendre pour à son tour pouvoir se lever. Puis, la relâchant avec délicatesse, s’en va pour quitter les lieux. De sa hauteur se dresse, et les mains dans le dos sont liées.
— A vrai dire…
Se penche de côté, tout sourire, vers cette compère qui l’amuse et aux yeux de saphir ; elle l’observe un instant, marchant et allant dans la ruelle, prête à faire un petit tour avant de rentrer peut-être.
— Je ne punie pas les homosexuels.
Se met à rire, imaginant la réaction de sa collègue, refusant de la scruter d’avantage. Elle se contente d’avance, faite désormais d’un silence et de soleil ; la lumière qui pleut sur son visage.
— Je suis de ces gens qui batifolent entre les deux sexes. Allez-vous me punir, Officier Domotaï ?
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Hitorine Eboshi l'Ascète
Re: calamité. || SETSUNA Domotaï - Jeu 13 Mai - 21:01
Calamité
災害
Cette réaction n'était clairement pas attendue de la part de la duelliste qui voit sa partenaire de boisson se lever pour aller faire un tour. Par acquit de conscience, elle récupère ses armes et paye sa consommation avant de suivre la demoiselle dans les ruelles discrètes du quartier. Quand elle annonce qu'elle ne punit pas l'homosexualité car elle-même fait parti de ces gens qui sont de ce bord, la samouraï ne peut s'empêcher de rougir un peu. Comment pouvait-elle dire une chose aussi librement ? L'assumer ainsi, c'est du courage ? Ou de la folie ? À la fois admirative et perplexe, la belle répond :
- Je... Non, évidemment que non je ne compte pas vous punir, ou le dire à qui que ce soit. C'est... Pourquoi me le révéler ? J'avoue que je n'arrive pas à cerner votre démarche.
Est-ce qu'elle attendait quelque chose d'elle pour délivrer un tel secret ? Le même que porte la demoiselle aux cheveux blancs mais qui ne le vit pas du tout de la même manière qu'Eboshi. Pour elle c'est un véritable fardeau, une honte sur ses épaules qu'elle n'arrive pas à assumer et vivre avec tranquillement.
- Comment... Vous arrivez à vivre avec... ? Et révelez ça sans aucune gêne ni honte ?
Peut-être qu'au final Eboshi a deviné que la Vierge de Bataille l'est uniquement parce qu'elle n'aime pas les hommes. Où peut-être qu'elle s'intéresse justement à elle pour du plaisir charnel, rien qu'à l'idée, le cœur de Domotaï bat plus fort, ce n'est pas le même genre de battement qu'avec Niobe, mais elle ne pouvait nier que quelques idées de plaisir saphique lui a traversé l'esprit.
- Je... Non, évidemment que non je ne compte pas vous punir, ou le dire à qui que ce soit. C'est... Pourquoi me le révéler ? J'avoue que je n'arrive pas à cerner votre démarche.
Est-ce qu'elle attendait quelque chose d'elle pour délivrer un tel secret ? Le même que porte la demoiselle aux cheveux blancs mais qui ne le vit pas du tout de la même manière qu'Eboshi. Pour elle c'est un véritable fardeau, une honte sur ses épaules qu'elle n'arrive pas à assumer et vivre avec tranquillement.
- Comment... Vous arrivez à vivre avec... ? Et révelez ça sans aucune gêne ni honte ?
Peut-être qu'au final Eboshi a deviné que la Vierge de Bataille l'est uniquement parce qu'elle n'aime pas les hommes. Où peut-être qu'elle s'intéresse justement à elle pour du plaisir charnel, rien qu'à l'idée, le cœur de Domotaï bat plus fort, ce n'est pas le même genre de battement qu'avec Niobe, mais elle ne pouvait nier que quelques idées de plaisir saphique lui a traversé l'esprit.
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Officier
Setsuna Domotaï la Samouraï
Re: calamité. || SETSUNA Domotaï - Jeu 13 Mai - 21:22
calamité
DOMOTAÏ EBOSHI
La belle aux aveux a cédé ; mais ne se cache de rien ; un sourire sur ses lèvres apparaît. Et c’est normal, peut-être, anormal, nul doute ; car l’époque sied à une indulgence aucune ; être stricte dans sa vie, quel qu’en soit le domaine, est de mise.
Eboshi pourtant n’a jamais eu peur. Les jugements, les représailles. Deux siècles passés derrière elle et jamais ne s’est cachée de ses tendances bisexuelles. Bien sûr, pour sûre, ne l’a jamais crié sur tous les toits ; l’époque à l’homosexualité ne cède pas, mais quand on a osé lui poser question, elle n’a pas réprimandé réponse positive. C’est là la négative ; être jugée pour ce qu’on fait. Là encore, Eboshi n’est de ces démons qui n’osent rien dire : régents de la société et qui l’emmerdent. Elle est de ceux qui s’assument et savent se battre pour leur cause, qu’importe ce qui est juste ou non.
- N’ayez crainte, Dame Domotaï. Je vous taquine.
Taquinerie qui maintenant pourrait être vue comme jeu de séduction, mais Eboshi à cette idée ne cache pas un sourire. C’est la dépravation, la vraie, qui la guide. C’est elle aussi qui l’a guidé jusqu’au pieux d’Heian, et qui l’y conduira encore. Eve reste Lilith, elle a mordu la pomme plus d’une fois et aujourd’hui en raffole. Peut-on lui en vouloir ? Non, bien sûr.
- Disons que je ne le crie pas sur tous les toits. Je le garde en moi précieux trésor, si beau soit-il.
Lentement joint ses mains à l’avant, lassée du déséquilibre qu’elles donnent à son dos. Et lentement a passé ; ruelle en ruelle, pourtant la marche reste lente et habituelle.
Alors ose contempler sa compère ; cette fois pour à nouveau entrevoir les bijoux qui lui servent d’œillade. Franchement, le ciel n’est ni franc, ni clément. Il est joueur, et taquin ; a offert à Eboshi des yeux des plus normaux au détriment d’une femme blonde aux yeux si beau que la Terre le serait. Vénus peut-être aussi y joue un rôle ; chercherait-elle à séduire les âmes ?
- Si je ne venais de vous avouer ma bisexualité, je ne me serais pas retenue d’avouer que vous avez de beaux yeux. Mais je l’ai fais. Mince.
Eboshi pourtant n’a jamais eu peur. Les jugements, les représailles. Deux siècles passés derrière elle et jamais ne s’est cachée de ses tendances bisexuelles. Bien sûr, pour sûre, ne l’a jamais crié sur tous les toits ; l’époque à l’homosexualité ne cède pas, mais quand on a osé lui poser question, elle n’a pas réprimandé réponse positive. C’est là la négative ; être jugée pour ce qu’on fait. Là encore, Eboshi n’est de ces démons qui n’osent rien dire : régents de la société et qui l’emmerdent. Elle est de ceux qui s’assument et savent se battre pour leur cause, qu’importe ce qui est juste ou non.
- N’ayez crainte, Dame Domotaï. Je vous taquine.
Taquinerie qui maintenant pourrait être vue comme jeu de séduction, mais Eboshi à cette idée ne cache pas un sourire. C’est la dépravation, la vraie, qui la guide. C’est elle aussi qui l’a guidé jusqu’au pieux d’Heian, et qui l’y conduira encore. Eve reste Lilith, elle a mordu la pomme plus d’une fois et aujourd’hui en raffole. Peut-on lui en vouloir ? Non, bien sûr.
- Disons que je ne le crie pas sur tous les toits. Je le garde en moi précieux trésor, si beau soit-il.
Lentement joint ses mains à l’avant, lassée du déséquilibre qu’elles donnent à son dos. Et lentement a passé ; ruelle en ruelle, pourtant la marche reste lente et habituelle.
Alors ose contempler sa compère ; cette fois pour à nouveau entrevoir les bijoux qui lui servent d’œillade. Franchement, le ciel n’est ni franc, ni clément. Il est joueur, et taquin ; a offert à Eboshi des yeux des plus normaux au détriment d’une femme blonde aux yeux si beau que la Terre le serait. Vénus peut-être aussi y joue un rôle ; chercherait-elle à séduire les âmes ?
- Si je ne venais de vous avouer ma bisexualité, je ne me serais pas retenue d’avouer que vous avez de beaux yeux. Mais je l’ai fais. Mince.
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Hitorine Eboshi l'Ascète
Re: calamité. || SETSUNA Domotaï - Jeu 13 Mai - 21:46
Calamité
災害
Crainte ? Pourquoi elle devrait avoir crainte ? Intriguée par cette femme, même admirative, elle se rapproche tout de même pour marcher à ses côtés pendant tout le long de la promenade. La gêne continuant de grimper en elle, la belle demoiselle sort un éventail qu'elle s'empresse d'ouvrir pour cacher son visage jusqu'au nez, ne laissant que ses yeux azur apparaître à la sorcière qui s'empresse de lui faire un compliment. Rougissante, elle agite un peu son éventail pour s'éventer et contrôler la chaleur qui ne fait que croître avec tout ce malaise ambiant.
- Je... Merci du compliment Hitorine-sama. Je... Enfin...
Etait-elle vraiment en train de se faire draguer par une autre femme autre que Niobe ? Et encore, Niobe et elle c'était surtout au poids mort car aucune des deux ne souhaite faire le pas ni assume franchement leur attirance contre-nature, à l'inverse de la sorcière qui semble parfaitement à l'aise avec. Gênée, sans savoir quoi dire, la belle détourne son regard azur pour regarder le bout de la ruelle qui semble si loin maintenant. Personne pour les voir, personne pour les espionner ou rapporter la scène. Un enfer pour la belle qui ne sait pas comment agir.
- Vous jouez avec moi sama, j'avoue que je n'apprécie guère la situation mais en même temps... J'arrive à y trouver un certain plaisir que je n'arrive pas à assumer. En votre présence avec ce genre de propos, j'ai l'impression de ne plus être la guerrière que je suis, mais juste une femme qui ne sait plus comme agir... Vous me perturbez Eboshi-sama, peu peuvent s'en vanter...
- Je... Merci du compliment Hitorine-sama. Je... Enfin...
Etait-elle vraiment en train de se faire draguer par une autre femme autre que Niobe ? Et encore, Niobe et elle c'était surtout au poids mort car aucune des deux ne souhaite faire le pas ni assume franchement leur attirance contre-nature, à l'inverse de la sorcière qui semble parfaitement à l'aise avec. Gênée, sans savoir quoi dire, la belle détourne son regard azur pour regarder le bout de la ruelle qui semble si loin maintenant. Personne pour les voir, personne pour les espionner ou rapporter la scène. Un enfer pour la belle qui ne sait pas comment agir.
- Vous jouez avec moi sama, j'avoue que je n'apprécie guère la situation mais en même temps... J'arrive à y trouver un certain plaisir que je n'arrive pas à assumer. En votre présence avec ce genre de propos, j'ai l'impression de ne plus être la guerrière que je suis, mais juste une femme qui ne sait plus comme agir... Vous me perturbez Eboshi-sama, peu peuvent s'en vanter...
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Setsuna Domotaï la Samouraï
Re: calamité. || SETSUNA Domotaï - Ven 14 Mai - 17:00
calamité
DOMOTAÏ EBOSHI
Hitorine aujourd’hui est assurée de taquinerie ; la dynastie jamais n’a si bien été salie. Eboshi s’en amuse ; là octroie compliment à celle qui l’accompagne. Bien sûr en pense tous les mots, mais bien loin d’être en recherche de quoi que ce soit ; simplement l’idée qui lui est venu là ; l’honnêteté qui doit se savoir. Ruelle infiniment longue qui se tend devant elles, et la belle alors en observe le bout, ayant perdu de ce sourire qui fait tout :
- Ne soyez pas gênée.
Bien loin portée de ce genre de sentiment, la descendante directe du père du second shogunat se permet à nouveau d’observer sa collègue, d’un sourire et comme pour la rassurer. Ose même d’une main amenée dans son dos ; caresse offerte, remontant à son épaule.
- Ceux qui ne vous en ont déjà fait le compliment ne méritent d’oser vous regarder.
Retire sa dextre, reporte ses mains pour les joindre à l’avant de sa silhouette ; calme et sérénité la mènent à marcher d’une même démarche ; lente et lento ; mouvement est relaxant. Ignore sur leur passage les regards intrigués ; Eboshi s’est-elle trouvée partenaire de jeu ? Domotaï et la beauté sans égale ; le ciel béni leur après-midi de sa présence.
Pourtant la sorcière bien vite y met terme ; d’un arrêt soudain et d’une valse menée vers sa partenaire ; elle se tourne, et lui adresse tout sourire en soufflant de cette voix mielleuse ;
- J’étais ravie de vous rencontrer, Setsuna Domotaï. Revoyons-nous hâtivement, punissons ceux qui le méritent.
Et de quelle punition parle-t-elle, déjà ? Ce sourire qui ensorcèle en fait oublier le fil conducteur ; à croire qu’il y a tendances sexuels derrière ses mots. Pourtant en cet instant est faite d’innocence ; simple sourire, mains jointes, et l’œillade qui se ferme pour prouver sa sincérité.
- Ne soyez pas gênée.
Bien loin portée de ce genre de sentiment, la descendante directe du père du second shogunat se permet à nouveau d’observer sa collègue, d’un sourire et comme pour la rassurer. Ose même d’une main amenée dans son dos ; caresse offerte, remontant à son épaule.
- Ceux qui ne vous en ont déjà fait le compliment ne méritent d’oser vous regarder.
Retire sa dextre, reporte ses mains pour les joindre à l’avant de sa silhouette ; calme et sérénité la mènent à marcher d’une même démarche ; lente et lento ; mouvement est relaxant. Ignore sur leur passage les regards intrigués ; Eboshi s’est-elle trouvée partenaire de jeu ? Domotaï et la beauté sans égale ; le ciel béni leur après-midi de sa présence.
Pourtant la sorcière bien vite y met terme ; d’un arrêt soudain et d’une valse menée vers sa partenaire ; elle se tourne, et lui adresse tout sourire en soufflant de cette voix mielleuse ;
- J’étais ravie de vous rencontrer, Setsuna Domotaï. Revoyons-nous hâtivement, punissons ceux qui le méritent.
Et de quelle punition parle-t-elle, déjà ? Ce sourire qui ensorcèle en fait oublier le fil conducteur ; à croire qu’il y a tendances sexuels derrière ses mots. Pourtant en cet instant est faite d’innocence ; simple sourire, mains jointes, et l’œillade qui se ferme pour prouver sa sincérité.
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Hitorine Eboshi l'Ascète
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