Panser les manifestations du Havre des Esprits [Owari Hana]
Panser les manifestations du Havre des Esprits [Owari Hana] - Sam 13 Fév - 0:26
Une myriade de documents envahit ton bureau boisé. Tu soupires à la vue du travail qui t’attends. Le poste d’officier de la septième se résumait bien souvent à traiter de nombreuses démarches administratives afin de soulager la régence du Concile Blanc. Un rôle que tu embrasses avec joie la plupart du temps. Aujourd’hui ne faisait pas partie de ces jours.
Tu écartes quelques feuilles, te concentrant sur le domaine qui t’incombe. Quelques procès se préparent dans l’ombre et tout doit être parfait pour qu’aucun vice survienne et que les gardiens de ce monde puissent prendre une décision en toute connaissance de cause. Tu lis minutieusement chaque petite feuille de papier qui se présente à tes pupilles, n’omettant pas le moindre détail. Le Concile Blanc te fait confiance et tu ne comptes pas les décevoir.
Pendant lors d’une de tes lectures, une jeune recrue de l’Ordre se permet d’entrer dans ton espace de travail avec ton consentement. Genoux à terre, la jeune âme s’affère promptement à révéler ses intentions.
— Pardonnez mon intervention, Genichiro-sama. L’officier de l’Etoile du Nihon Owari Hana vient d’arriver pour son rendez-vous.
— Tu fais bien de me le rappeler, j’avais, hélas, oublié cette entrevue. Laisse-moi prendre quelques documents et je te laisse me conduire à lui.
D’un pas assuré, tu te lèves de ta chaise, prenant quelques feuilles sous le coude. Tu remercies la recrue et tu le suis dans le silence jusqu’à arriver à un homme que tu as déjà rencontré lors d’un contrat haut en couleur.
— Hana-san, ravie de vous revoir. J’aurais aimé que les circonstances nous réunissant soient plus favorables, mais c’est hélas la vie que nous avons choisie. Je ne vais pas vous faire perdre du temps en demandant les causes d’un tel désastre, je vous rassure. Veuillez me suivre jusqu’à l’antichambre du Concile Blanc.
Sans attendre, tu ouvres la voie pour diriger l’âme étoilée au sein de la Cour Impériale du Seireitei. Pendant cette marche silencieuse, tu te remémores ce fameux duel des Premiers-Nés qui provoqua son lot d’intérêt et d'embûches. La présence de deux officiers et d’un membre ne fut pas de trop. Face au regard neutre de cette prometteuse, tu brises le silence pour lui fournir des détails sur cette procédure stricte.
— Désolé pour toute cette partie protocolaire, mais le Concile Blanc n’autorise pas n’importe qui à s’approcher du San’in, d’où la nécéssité de notre présence. Nous devons nous assurer que vous ne faites bien qu’entrer pour déposer votre Zanpakutô avant de repartir, sans détour avant de faire notre rapport à la régence du Seireitei. N’y voyez rien de personnel.
Traversant le Kyūtei dans son ensemble, ton petit duo improvisé fait face à l’unique pont au bois cramoisie permettant de rejoindre les chambres du Concile. Avalant discrètement ta salive, tu emboîtes le pas, invitant l’Owari à faire de même. De lourdes portes s’ouvrent instantanément après votre venue. Des hommes et femmes vêtues de tenues d’un blanc immaculée fixent le groupuscule que tu composes. Après quelques secondes de silence, une main tendue t’indique la direction à prendre. Une petite structure non loin de l’entrée. Tu t’inclines légèrement et reprends ta lente course. Tu te postes aux abords de l’édifice boisé avant de t’adresser à ton invité.
— Je vous laisse pénétrer les lieux, un homme vous attend à l’intérieur. Donnez-lui votre Zanpakutô et faites demi-tour. Je vous raccompagnerai par la suite dans la Cour Impériale. Naturellement, nous vous préviendrons dès que les réparations seront terminées.
Tu écartes quelques feuilles, te concentrant sur le domaine qui t’incombe. Quelques procès se préparent dans l’ombre et tout doit être parfait pour qu’aucun vice survienne et que les gardiens de ce monde puissent prendre une décision en toute connaissance de cause. Tu lis minutieusement chaque petite feuille de papier qui se présente à tes pupilles, n’omettant pas le moindre détail. Le Concile Blanc te fait confiance et tu ne comptes pas les décevoir.
Pendant lors d’une de tes lectures, une jeune recrue de l’Ordre se permet d’entrer dans ton espace de travail avec ton consentement. Genoux à terre, la jeune âme s’affère promptement à révéler ses intentions.
— Pardonnez mon intervention, Genichiro-sama. L’officier de l’Etoile du Nihon Owari Hana vient d’arriver pour son rendez-vous.
— Tu fais bien de me le rappeler, j’avais, hélas, oublié cette entrevue. Laisse-moi prendre quelques documents et je te laisse me conduire à lui.
D’un pas assuré, tu te lèves de ta chaise, prenant quelques feuilles sous le coude. Tu remercies la recrue et tu le suis dans le silence jusqu’à arriver à un homme que tu as déjà rencontré lors d’un contrat haut en couleur.
— Hana-san, ravie de vous revoir. J’aurais aimé que les circonstances nous réunissant soient plus favorables, mais c’est hélas la vie que nous avons choisie. Je ne vais pas vous faire perdre du temps en demandant les causes d’un tel désastre, je vous rassure. Veuillez me suivre jusqu’à l’antichambre du Concile Blanc.
Sans attendre, tu ouvres la voie pour diriger l’âme étoilée au sein de la Cour Impériale du Seireitei. Pendant cette marche silencieuse, tu te remémores ce fameux duel des Premiers-Nés qui provoqua son lot d’intérêt et d'embûches. La présence de deux officiers et d’un membre ne fut pas de trop. Face au regard neutre de cette prometteuse, tu brises le silence pour lui fournir des détails sur cette procédure stricte.
— Désolé pour toute cette partie protocolaire, mais le Concile Blanc n’autorise pas n’importe qui à s’approcher du San’in, d’où la nécéssité de notre présence. Nous devons nous assurer que vous ne faites bien qu’entrer pour déposer votre Zanpakutô avant de repartir, sans détour avant de faire notre rapport à la régence du Seireitei. N’y voyez rien de personnel.
Traversant le Kyūtei dans son ensemble, ton petit duo improvisé fait face à l’unique pont au bois cramoisie permettant de rejoindre les chambres du Concile. Avalant discrètement ta salive, tu emboîtes le pas, invitant l’Owari à faire de même. De lourdes portes s’ouvrent instantanément après votre venue. Des hommes et femmes vêtues de tenues d’un blanc immaculée fixent le groupuscule que tu composes. Après quelques secondes de silence, une main tendue t’indique la direction à prendre. Une petite structure non loin de l’entrée. Tu t’inclines légèrement et reprends ta lente course. Tu te postes aux abords de l’édifice boisé avant de t’adresser à ton invité.
— Je vous laisse pénétrer les lieux, un homme vous attend à l’intérieur. Donnez-lui votre Zanpakutô et faites demi-tour. Je vous raccompagnerai par la suite dans la Cour Impériale. Naturellement, nous vous préviendrons dès que les réparations seront terminées.
- HRP:
- Rp permettant de faire le lien entre Hana et le Concile Blanc pour réparer son Zanpakutô.
Cela va sans dire que le rp se déroule avant la Fable n°2.
@Owari Hana
Énergie Spirituelle : 52
Résistance : 193
Combat : 42
Dégâts : 25
Combat magique : 185
Kido : 369
Zanpakuto : 394
Résilience : 17
Sensorialité : 34
Grade : Lieutenant
Résistance : 193
Combat : 42
Dégâts : 25
Combat magique : 185
Kido : 369
Zanpakuto : 394
Résilience : 17
Sensorialité : 34
Grade : Lieutenant
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Ryuzoji Genichiro le Surarchimaîtremage
Re: Panser les manifestations du Havre des Esprits [Owari Hana] - Lun 15 Fév - 19:45
Havre des esprits
精霊の天国
Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé.
Cette phrase ne pouvait trouver meilleur écho que dans l’âme de notre jeune shinigami aux cheveux blancs alors même qu’il sortait de l’hôpital après y être resté un moment pour soins intensifs. Il le savait, pendant toute la durée de son séjour en soins il l’avait ressenti, il était désormais seul. Son allié le plus fidèle, celui qui ne le quittait d’ordinaire jamais ne répondait plus, il était aux abonnés absents.
Et pourtant, Hana n’avait jamais réussi à vraiment communiquer avec lui. Peut-être ne l’avait-il tout simplement pas cherché pour le moment ? Leur relation était simple, sans être complice. Omniprésente, sans toutefois être fusionnelle. Un lien le rattachait à son Zanpakuto, il le savait… Mais aujourd’hui, tout cela n’était qu’en sens unique. Car pour la première fois depuis qu’ils s’étaient adoptés l’un l’autre… Kiken ne répondait plus. On lui avait alors expliqué que la déflagration causée par le monstrueux Yokai en avait été la source. Un choc que peu de Zanpakuto pouvaient supporter. Lui qui était si rationnel, il aurait du le savoir. On ne lui avait pas menti, la vérité était arrivée jusqu’à ses oreilles.
Et pourtant…
Cela ne l’avait pas empêché de tester immédiatement son lien avec Kiken une fois sorti de l’hôpital. Dégainant le manche sans lame de son Zanpakuto, jusqu’ici rien d’anormal car c’était la forme lorsque le Shikai n’était pas développé, Hana avait alors prononcé la fameuse formule pour l’appeler, pour ressentir ce lien si fort qui l’unissait à sa lame, à cet esprit qui faisait désormais parti de lui. Mais la seule réponse à son appel fut un silence long, sourd… Pesant.
Ce fut ce qui le décida. Maintenant qu’il était soigné, il ne devait avoir qu’une et une seule priorité… Retrouver ce lien, retrouver ce fragment d’âme qu’il espérait ne pas avoir perdu à jamais. Et c’est donc ainsi que ses pas le menèrent un peu plus profondément dans le Seireitei… Jusqu’au bureau d’un shinigami qu’il avait croisé lors d’un contrat quelques temps auparavant. Un homme à la droiture aussi profonde que celle d’Hana.
Dit tout simplement Hana tout en s’inclinant légèrement, sa main gauche portée sur le manche désormais sans vie de Kiken. Il était perturbé, toujours bandé de la tête aux pieds, il s’efforça cependant de maintenir le rythme imposé par l’Officier de l’Ordre Mnémonique. Ainsi, ils traversèrent quelques cours avant d’arriver devant le fameux pont de bois de couleur cramoisi.
Un frisson parcourut l’échine dorsale de notre shinigami aux cheveux blancs qui, cependant, n’en montra rien et resta silencieux suite aux paroles de son homologue de l’Ordre. L’Owari était conscient de tout le protocole autour de cette visite, il ne dit donc mot. Il avait la chance de pouvoir revoir Kiken un jour, et c’était bien là le plus important. Ainsi, il suivit à la lettre les recommandations de son homologue et avança à ses côtés sur le pont afin de passer de l’autre côté de ces lourdes et imposantes portes qui s’ouvrirent dès qu’ils arrivèrent à proximité.
Ecoutant les dernières instructions prodiguées par Genichiro, Hana s’inclina une nouvelle fois envers l’Officier de l’Ordre puis il marcha d’un pas déterminé vers l’endroit que ce dernier venait de lui indiquer. Il ne lui fallut que quelques secondes pour pénétrer ce lieu qui sentait une odeur de… Sacré. Peu de shinobis avaient pu pénétrer aussi loin dans l’Antichambre du Concile Blanc, il le savait. Ce fut pourquoi il fut le plus courtois et respectueux possible, chose qui n’était pas peu dire sur Hana !
Fit-il à l’homme qui se tenait droit comme un piquet dans le bâtiment et qui ne parut nullement surpris en le voyant arriver. D’un geste, il indiqua une table sur laquelle était disposé un plateau suffisamment large. Hana comprit et après s’être incliné, il marcha jusqu’à ce dernier et y déposa Kiken après l’avoir détaché de sa ceinture. En le posant, il ressentit un pincement au cœur. Se séparer de son Zanpakuto était une terrible épreuve pour un Shinigami, Hana ne faisant pas exception à la règle.
Ce fut donc le cœur lourd qu’il ressortit de l’édifice, rejoignant ainsi Genichiro qui l’attendait dehors, comme il le lui avait annoncé. Le destin de Kiken était désormais dans les mains du Concile Blanc, et Hana s’étonna alors de prononcer quelques prières intérieurement… Demandant que l’on lui rende le fragment d’âme que ce Yokai avait brisé.
Cette phrase ne pouvait trouver meilleur écho que dans l’âme de notre jeune shinigami aux cheveux blancs alors même qu’il sortait de l’hôpital après y être resté un moment pour soins intensifs. Il le savait, pendant toute la durée de son séjour en soins il l’avait ressenti, il était désormais seul. Son allié le plus fidèle, celui qui ne le quittait d’ordinaire jamais ne répondait plus, il était aux abonnés absents.
Et pourtant, Hana n’avait jamais réussi à vraiment communiquer avec lui. Peut-être ne l’avait-il tout simplement pas cherché pour le moment ? Leur relation était simple, sans être complice. Omniprésente, sans toutefois être fusionnelle. Un lien le rattachait à son Zanpakuto, il le savait… Mais aujourd’hui, tout cela n’était qu’en sens unique. Car pour la première fois depuis qu’ils s’étaient adoptés l’un l’autre… Kiken ne répondait plus. On lui avait alors expliqué que la déflagration causée par le monstrueux Yokai en avait été la source. Un choc que peu de Zanpakuto pouvaient supporter. Lui qui était si rationnel, il aurait du le savoir. On ne lui avait pas menti, la vérité était arrivée jusqu’à ses oreilles.
Et pourtant…
Cela ne l’avait pas empêché de tester immédiatement son lien avec Kiken une fois sorti de l’hôpital. Dégainant le manche sans lame de son Zanpakuto, jusqu’ici rien d’anormal car c’était la forme lorsque le Shikai n’était pas développé, Hana avait alors prononcé la fameuse formule pour l’appeler, pour ressentir ce lien si fort qui l’unissait à sa lame, à cet esprit qui faisait désormais parti de lui. Mais la seule réponse à son appel fut un silence long, sourd… Pesant.
Ce fut ce qui le décida. Maintenant qu’il était soigné, il ne devait avoir qu’une et une seule priorité… Retrouver ce lien, retrouver ce fragment d’âme qu’il espérait ne pas avoir perdu à jamais. Et c’est donc ainsi que ses pas le menèrent un peu plus profondément dans le Seireitei… Jusqu’au bureau d’un shinigami qu’il avait croisé lors d’un contrat quelques temps auparavant. Un homme à la droiture aussi profonde que celle d’Hana.
Genichiro-san, je vous remercie pour votre aide précieuse.
Dit tout simplement Hana tout en s’inclinant légèrement, sa main gauche portée sur le manche désormais sans vie de Kiken. Il était perturbé, toujours bandé de la tête aux pieds, il s’efforça cependant de maintenir le rythme imposé par l’Officier de l’Ordre Mnémonique. Ainsi, ils traversèrent quelques cours avant d’arriver devant le fameux pont de bois de couleur cramoisi.
Un frisson parcourut l’échine dorsale de notre shinigami aux cheveux blancs qui, cependant, n’en montra rien et resta silencieux suite aux paroles de son homologue de l’Ordre. L’Owari était conscient de tout le protocole autour de cette visite, il ne dit donc mot. Il avait la chance de pouvoir revoir Kiken un jour, et c’était bien là le plus important. Ainsi, il suivit à la lettre les recommandations de son homologue et avança à ses côtés sur le pont afin de passer de l’autre côté de ces lourdes et imposantes portes qui s’ouvrirent dès qu’ils arrivèrent à proximité.
Ecoutant les dernières instructions prodiguées par Genichiro, Hana s’inclina une nouvelle fois envers l’Officier de l’Ordre puis il marcha d’un pas déterminé vers l’endroit que ce dernier venait de lui indiquer. Il ne lui fallut que quelques secondes pour pénétrer ce lieu qui sentait une odeur de… Sacré. Peu de shinobis avaient pu pénétrer aussi loin dans l’Antichambre du Concile Blanc, il le savait. Ce fut pourquoi il fut le plus courtois et respectueux possible, chose qui n’était pas peu dire sur Hana !
Owari Hana, Officier de la cinquième division. Je viens vous remettre mon Zanpakuto, Kiken, afin qu’il soit restauré et réparé.
Fit-il à l’homme qui se tenait droit comme un piquet dans le bâtiment et qui ne parut nullement surpris en le voyant arriver. D’un geste, il indiqua une table sur laquelle était disposé un plateau suffisamment large. Hana comprit et après s’être incliné, il marcha jusqu’à ce dernier et y déposa Kiken après l’avoir détaché de sa ceinture. En le posant, il ressentit un pincement au cœur. Se séparer de son Zanpakuto était une terrible épreuve pour un Shinigami, Hana ne faisant pas exception à la règle.
Ce fut donc le cœur lourd qu’il ressortit de l’édifice, rejoignant ainsi Genichiro qui l’attendait dehors, comme il le lui avait annoncé. Le destin de Kiken était désormais dans les mains du Concile Blanc, et Hana s’étonna alors de prononcer quelques prières intérieurement… Demandant que l’on lui rende le fragment d’âme que ce Yokai avait brisé.
Grade : Officier
Officier
Owari Hana le Pionnier
Re: Panser les manifestations du Havre des Esprits [Owari Hana] - Mer 24 Fév - 16:55
Association éthérée perpétuée depuis des temps immémoriaux dans l’ombre des iris humains. Une relation ô combien primordiale et décisive pour une agent du Goteijūtai. Que serait l’homme sans la lame ? Que serait l’esprit sans ses connaissances ? Que serait un Shinigami sans Zanpakutô ? Peaufinée, polie, égayée, entretenue se doit être cette accointance aux résultats prodigieux. L’intensité de l’attache détermine la puissance de l’émergence du Havre des Esprits. Un attachement aussi singulier qu’imposant, capable de transcender la réalité elle-même.
Conséquences prévisibles d’une existence alimentée par les vicissitudes de l’honorable devoir d’anéantissement et de protection. Face au danger intarissable désirant ôter toute essence vitale, même la détermination la plus noble ne peut rivaliser. Les blessures physiques sont l’affaire de la Panacée. Les blessures de l’âme sont l’affaire du Concile Blanc. Eux seuls possèdent le secret bien gardé de la restauration d’une relation brisée. Gardien salvateur des mœurs, régence du refuge des âmes, instigateur des lois divines, panse le métal et l’âme harassé par le vœu de vaincre cette vénale et virulente vermine vantant le vice.
Face à la tristesse d’une perte, tu affiches un visage empathique, gardant le silence imposé par l’officier de l’étoile. Traversant ce même pont, tu le raccompagnes au sein de la Cour Impériale comme le veut le protocole en vigueur. Une fois retourner à ton point de départ, tu t'adresses une ultime fois à cette personne qui devra se languir de renouer le contact avec une partie de son âme.
— Je ne vous retiens pas plus longtemps Joukan Owari. Merci d’avoir respecté le protocole imposé. Je vous promets que le Concile Blanc s’occupera de votre Zanpakutô avec la plus grande attention. Vous recevrez un Jigokuchō quand celui-ci sera restauré. Je vous souhaite un bon retour en espérant vous revoir dans des conditions plus favorables.
T’inclinant légèrement, tu laisses l’homme prendre la route, retournant à tes occupations habituelles.
Conséquences prévisibles d’une existence alimentée par les vicissitudes de l’honorable devoir d’anéantissement et de protection. Face au danger intarissable désirant ôter toute essence vitale, même la détermination la plus noble ne peut rivaliser. Les blessures physiques sont l’affaire de la Panacée. Les blessures de l’âme sont l’affaire du Concile Blanc. Eux seuls possèdent le secret bien gardé de la restauration d’une relation brisée. Gardien salvateur des mœurs, régence du refuge des âmes, instigateur des lois divines, panse le métal et l’âme harassé par le vœu de vaincre cette vénale et virulente vermine vantant le vice.
Face à la tristesse d’une perte, tu affiches un visage empathique, gardant le silence imposé par l’officier de l’étoile. Traversant ce même pont, tu le raccompagnes au sein de la Cour Impériale comme le veut le protocole en vigueur. Une fois retourner à ton point de départ, tu t'adresses une ultime fois à cette personne qui devra se languir de renouer le contact avec une partie de son âme.
— Je ne vous retiens pas plus longtemps Joukan Owari. Merci d’avoir respecté le protocole imposé. Je vous promets que le Concile Blanc s’occupera de votre Zanpakutô avec la plus grande attention. Vous recevrez un Jigokuchō quand celui-ci sera restauré. Je vous souhaite un bon retour en espérant vous revoir dans des conditions plus favorables.
T’inclinant légèrement, tu laisses l’homme prendre la route, retournant à tes occupations habituelles.
- HRP:
- Fin du Rp.
Énergie Spirituelle : 52
Résistance : 193
Combat : 42
Dégâts : 25
Combat magique : 185
Kido : 369
Zanpakuto : 394
Résilience : 17
Sensorialité : 34
Grade : Lieutenant
Résistance : 193
Combat : 42
Dégâts : 25
Combat magique : 185
Kido : 369
Zanpakuto : 394
Résilience : 17
Sensorialité : 34
Grade : Lieutenant
52
193
42
25
185
369
394
17
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Lieutenant
193
42
25
185
369
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Lieutenant
Ryuzoji Genichiro le Surarchimaîtremage
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