Fable n°2 : Odyssée millénaire
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Fable n°2 : Odyssée millénaire - Mer 10 Fév - 23:43
Agrégat de matière inconnue, réminiscence d’un passé séculaire, quel secret antique peut bien dissimuler cette stèle millénaire ? Perdu dans la jungle luxuriante du Berceau de l’Humanité, ce stigmate du passé jure avec son décor ; sa présence est toute récente, pourtant, au vu de ses fondations usées et du lierre grimpant en sa base, tout porte à croire que la pierre commémorative gît ici depuis toujours.
L’édifice, à moitié détruit, bat la chamade, tel le myocarde qu’il fut jadis et dégage une forme d’énergie mystique, oubliée au fil des âges. Cet anima, archaïque et primitif, scelle les environs dans une zone blanche où toute énergie spirituelle est proscrite. Énième paradoxe, à son contact, la nature se vivifie et croît de manière folle.
@Kamui Zen'ichiro, @Itsuwari Kagami et @Ryuzoji Genichiro, pour une raison que vous ignorez, vos pas vous ont mené ici ; il se peut qu’une volonté supérieure, maniant les brins de la destinée, soit derrière ce hasard. Une ataraxie soudaine apaise vos âmes ébranlées par le tourment quotidien, la stèle vous dévisage de sa hauteur. La roche est à la fois polie et ancienne, sobre et cryptique, vierge de fioritures et cerclée en sa base par plusieurs mètres de verdure opaque qui ne cesse de croître tout en gardant sa taille initiale.
Vos regards se perdent sur une écriture cryptique, non-humaine, taillée à même le mur. Sous ces idéogrammes ésotériques, un fragment de mur, de la taille d’une pièce, manque à l'appel et brise l'osmose de la création. Ces mots ne vous disent rien, pourtant, vous avez l’intime conviction qu’ils renferment les secrets de toute chose, de vous, de vos pouvoirs, de vos ancêtres, de l’Humanité. La Vérité se dévoile aux yeux du Nihon et vous êtes les premières créatures à l'accaparer, qu’en ferez-vous ?
L’édifice, à moitié détruit, bat la chamade, tel le myocarde qu’il fut jadis et dégage une forme d’énergie mystique, oubliée au fil des âges. Cet anima, archaïque et primitif, scelle les environs dans une zone blanche où toute énergie spirituelle est proscrite. Énième paradoxe, à son contact, la nature se vivifie et croît de manière folle.
@Kamui Zen'ichiro, @Itsuwari Kagami et @Ryuzoji Genichiro, pour une raison que vous ignorez, vos pas vous ont mené ici ; il se peut qu’une volonté supérieure, maniant les brins de la destinée, soit derrière ce hasard. Une ataraxie soudaine apaise vos âmes ébranlées par le tourment quotidien, la stèle vous dévisage de sa hauteur. La roche est à la fois polie et ancienne, sobre et cryptique, vierge de fioritures et cerclée en sa base par plusieurs mètres de verdure opaque qui ne cesse de croître tout en gardant sa taille initiale.
Vos regards se perdent sur une écriture cryptique, non-humaine, taillée à même le mur. Sous ces idéogrammes ésotériques, un fragment de mur, de la taille d’une pièce, manque à l'appel et brise l'osmose de la création. Ces mots ne vous disent rien, pourtant, vous avez l’intime conviction qu’ils renferment les secrets de toute chose, de vous, de vos pouvoirs, de vos ancêtres, de l’Humanité. La Vérité se dévoile aux yeux du Nihon et vous êtes les premières créatures à l'accaparer, qu’en ferez-vous ?
Fable de cercle inconnu, sa résolution apportera une nouvelle fonctionnalité inédite qui vous permettra, entre autre, de vous rapprocher du divin.
Pour l'heure, vous seuls êtes au courant de l'existence de la stèle ; tout autre nouveau joueur doit bénéficier de l'information au travers d'un rp. Tout joueur dispose de deux réponses, une fois celle-ci postées, son personnage considérera qu'il n'aura plus d'idée et devra attendre la saison suivante.
A.N : vous êtes invités à inscrire la saison en cours lors de chacune de vos apparitions, sachez que ce sujet n'est astreint à aucune limitation de personnage. La prochaine narration s'effectuera après la résolution de la première étape.
A.N² : En attendant l'élucidation de cette énigme, la plus belle théorie, celle qui effleurera la Vérité du bout des doigts, recevra une récompense surprise !
Pour l'heure, vous seuls êtes au courant de l'existence de la stèle ; tout autre nouveau joueur doit bénéficier de l'information au travers d'un rp. Tout joueur dispose de deux réponses, une fois celle-ci postées, son personnage considérera qu'il n'aura plus d'idée et devra attendre la saison suivante.
A.N : vous êtes invités à inscrire la saison en cours lors de chacune de vos apparitions, sachez que ce sujet n'est astreint à aucune limitation de personnage. La prochaine narration s'effectuera après la résolution de la première étape.
A.N² : En attendant l'élucidation de cette énigme, la plus belle théorie, celle qui effleurera la Vérité du bout des doigts, recevra une récompense surprise !
Grade : Désolation
Désolation
Volonté du Nihon
Re: Fable n°2 : Odyssée millénaire - Jeu 11 Fév - 21:37
Ton corps hâve émerge de sa léthargie profonde face à cette peinture qui se dessine devant tes orbites. Un pourpre sombre domine ta rétine qui s’ouvre timidement. Un amas de nuages épais obscurcit ta vue. La stupéfaction de ce que tu perçois crispe ton visage. Par delà les cirrus et altostratus, tu observes ce qui te rappelles le plafond du monde visible lorsque l’astre lumineux prend du repos. Ce ciel étoilé et nébuleux héberge en son sain une sphère parfaite, lisse, opaque et d’un noir profond. Ton œil s’agite face à cette forme entourée d’un halo violet perçant l’obscurité. Ta substance organique flotte dans cette opulence d’énergie qui dirige ta trajectoire. Désespérément, tu essaies de t'accrocher à une possession matérielle, en vain. Le tangible semble banni de ce lieu mystérieux. Un flot ininterrompu de pensées s'écoule dans ton esprit en quête de vérité. La quintessence de tes observations t'échappe et cela t’énerve.
Noyé par les questions provoqués par ce firmament, ta vue se voile, n'apercevant que bien en retard le mouvement incertain et insoupçonné de ce brouillard de coton coloré. Ce dégagement laisse place à un puit de lumière douce, apaisant brièvement tes inquiétudes. Tes yeux se plissent, tentant d’observer nettement ce que le balais de ces nuages t’offre. Un édifice, usé par le temps qui t’indique, ironiquement, toute la vitalité contenue en lui. La dispersion se fait plus rapide et efficace, te permettant de discerner ce qui encadre étroitement cette structure. Tu reconnais les terres du Nihon et plus particulièrement la région de Kyûshû. Cette terre, tu ne l’avais jamais foulée, mais les récits qui lui rendent honneur concordent avec ce que tu vois. Ton âme, suspendu dans cet amoncellement de puissance, se sent inexorablement attirée vers le Berceau de l’Humanité. Ton visage ce crispe bien plus ardemment cette fois-ci. La surprise ne demeure pas à l’origine de cette altération de ton faciès. Toute l'inanité de ton être peut se lire sur ton expression. Tu veux crier, mais aucun son ne daigne sortir. Prisonnier d’un monde que tu ne comprends pas, tu incantes une oraison avant de t’élancer vers ce que ton esprit peut interpréter. Puis... tu te réveilles.
La première fois, tu écartes ces pensées tumultueuses de ta réflexion. Toi qui prône le pragmatisme, l’obvie et la raison, tu t’interdis d’accorder de l’importance aux écarts ésotériques de ton esprit magané. Hélas pour toi, cette création de ton âme se matérialise de nouveau, accaparant toute forme de répit que tu aspires obtenir dans ce monde. Résigné, tes pas se tournent vers le seul endroit qui peut t’apporter un soupçon de réponse et de tranquillité. Tu quittes le refuge des âmes pour foulée, une fois de plus, le royaume des Hommes.
Tu arpentes pendant des jours les terres du Nihon, puissant dans ton corps valétudinaire. Cette vision reste omniprésente dans les réminiscences de ton être. Tu ne pouvais passer outre cet opprobre, toi le mirliflore. Cette expérience t’avait amèrement rappelé la médiocrité de ton être face au monde dans son ensemble. Pourtant, il te fallait continuer, un pas après l’autre. La quiétude de l’esprit ne s’obtient pas par objurgations ou lamentations.
Tu arrives, finalement, à l’édifice que tu attendais tant. Tu ressens cette même vitalité qui pulse à travers la nature et l’énergie se dégageant de l’endroit. L’abondance d’êtres vivants végétaux t’extirpe un rictus de surprise. La maîtresse des lieux, malgré son opulence, semble t’inviter à pénétrer la structure et c’est ce que tu fais sans la moindre hésitation. Après quelques pas, tu sens tes tourments s’effacer en silence, sans te l’expliquer. Tu as l’impression d’être un loup rejoignant son liteau. Tes yeux se rivent sur un grand pan de mur où tu contemples avec ébahissement cette stèle aux gravures accablantes. La pierre véhicule un paradoxe déconcertant mêlant roche immaculée et érodée par les âges. Ton regard se perd dans ce dialecte qui pousse ton esprit dans ses retranchements. Du coin de l’oeil, tu remarques qu’un fragment vient dénaturer cette équation à la myriade de symboles que tu ne peux résoudre à cause de l’étroitesse de ton intellect.
Tu ne sais pas l'expliquer, mais tu es persuadé que ces écrits sont d’une importance capitale. Au-delà de ça, tu es conscient que tu n’arrives pas à subodorer toute l’étendue de son importance. Résigné par ta condition, tu décides de recopier, avec minutie, les symboles que tu observes dans ton petit carnet personnel. Terminant ta tâche, tu te surprends à parler seul dans cette jungle luxuriante.
Quittant les lieux, tu te figes une dernière fois, regardant encore et encore ces sigles si singuliers. Puis finalement, tu te résignes, tu abdiques, une fois de plus. La Vérité ne se trouvera pas à l’aide d’une de tes fulgurances. Tu devras compter sur d’autres pour espérer atteindre ce qui hantera ton esprit à partir de maintenant.
Noyé par les questions provoqués par ce firmament, ta vue se voile, n'apercevant que bien en retard le mouvement incertain et insoupçonné de ce brouillard de coton coloré. Ce dégagement laisse place à un puit de lumière douce, apaisant brièvement tes inquiétudes. Tes yeux se plissent, tentant d’observer nettement ce que le balais de ces nuages t’offre. Un édifice, usé par le temps qui t’indique, ironiquement, toute la vitalité contenue en lui. La dispersion se fait plus rapide et efficace, te permettant de discerner ce qui encadre étroitement cette structure. Tu reconnais les terres du Nihon et plus particulièrement la région de Kyûshû. Cette terre, tu ne l’avais jamais foulée, mais les récits qui lui rendent honneur concordent avec ce que tu vois. Ton âme, suspendu dans cet amoncellement de puissance, se sent inexorablement attirée vers le Berceau de l’Humanité. Ton visage ce crispe bien plus ardemment cette fois-ci. La surprise ne demeure pas à l’origine de cette altération de ton faciès. Toute l'inanité de ton être peut se lire sur ton expression. Tu veux crier, mais aucun son ne daigne sortir. Prisonnier d’un monde que tu ne comprends pas, tu incantes une oraison avant de t’élancer vers ce que ton esprit peut interpréter. Puis... tu te réveilles.
La première fois, tu écartes ces pensées tumultueuses de ta réflexion. Toi qui prône le pragmatisme, l’obvie et la raison, tu t’interdis d’accorder de l’importance aux écarts ésotériques de ton esprit magané. Hélas pour toi, cette création de ton âme se matérialise de nouveau, accaparant toute forme de répit que tu aspires obtenir dans ce monde. Résigné, tes pas se tournent vers le seul endroit qui peut t’apporter un soupçon de réponse et de tranquillité. Tu quittes le refuge des âmes pour foulée, une fois de plus, le royaume des Hommes.
Tu arpentes pendant des jours les terres du Nihon, puissant dans ton corps valétudinaire. Cette vision reste omniprésente dans les réminiscences de ton être. Tu ne pouvais passer outre cet opprobre, toi le mirliflore. Cette expérience t’avait amèrement rappelé la médiocrité de ton être face au monde dans son ensemble. Pourtant, il te fallait continuer, un pas après l’autre. La quiétude de l’esprit ne s’obtient pas par objurgations ou lamentations.
Tu arrives, finalement, à l’édifice que tu attendais tant. Tu ressens cette même vitalité qui pulse à travers la nature et l’énergie se dégageant de l’endroit. L’abondance d’êtres vivants végétaux t’extirpe un rictus de surprise. La maîtresse des lieux, malgré son opulence, semble t’inviter à pénétrer la structure et c’est ce que tu fais sans la moindre hésitation. Après quelques pas, tu sens tes tourments s’effacer en silence, sans te l’expliquer. Tu as l’impression d’être un loup rejoignant son liteau. Tes yeux se rivent sur un grand pan de mur où tu contemples avec ébahissement cette stèle aux gravures accablantes. La pierre véhicule un paradoxe déconcertant mêlant roche immaculée et érodée par les âges. Ton regard se perd dans ce dialecte qui pousse ton esprit dans ses retranchements. Du coin de l’oeil, tu remarques qu’un fragment vient dénaturer cette équation à la myriade de symboles que tu ne peux résoudre à cause de l’étroitesse de ton intellect.
Tu ne sais pas l'expliquer, mais tu es persuadé que ces écrits sont d’une importance capitale. Au-delà de ça, tu es conscient que tu n’arrives pas à subodorer toute l’étendue de son importance. Résigné par ta condition, tu décides de recopier, avec minutie, les symboles que tu observes dans ton petit carnet personnel. Terminant ta tâche, tu te surprends à parler seul dans cette jungle luxuriante.
Il pourra peut-être m’aider, lui.
Quittant les lieux, tu te figes une dernière fois, regardant encore et encore ces sigles si singuliers. Puis finalement, tu te résignes, tu abdiques, une fois de plus. La Vérité ne se trouvera pas à l’aide d’une de tes fulgurances. Tu devras compter sur d’autres pour espérer atteindre ce qui hantera ton esprit à partir de maintenant.
- Résumé:
- Genichiro ne fait que passer prendre l'information, recopier les symboles de la stèle et repartir.
Pour l'instant, aucune théorie émise.
Énergie Spirituelle : 52
Résistance : 193
Combat : 42
Dégâts : 25
Combat magique : 185
Kido : 369
Zanpakuto : 394
Résilience : 17
Sensorialité : 34
Grade : Lieutenant
Résistance : 193
Combat : 42
Dégâts : 25
Combat magique : 185
Kido : 369
Zanpakuto : 394
Résilience : 17
Sensorialité : 34
Grade : Lieutenant
52
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394
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Lieutenant
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369
394
17
34
Lieutenant
Ryuzoji Genichiro le Surarchimaîtremage
Re: Fable n°2 : Odyssée millénaire - Ven 12 Fév - 7:11
Fable n°2 : Odyssée Millénaire
聞いて下さい
Sans savoir pourquoi, Kagami marcha. Inconsciemment, le Shinigami s’était mis en route fini par arriver jusqu’à Kyushu… Il ne savait pas pourquoi… Mais il devait s’y rendre, c’était beaucoup plus qu’un intuition, c’était plus transcendant… L’Itsuwari ne pouvait pas l’expliquer… Il ne pouvait pas mettre de mots sur cette sensation qu’il avait traversé, si soudainement. Se contentant d’obéir à cette chose, qu’il lui indiquait de se déplacer, Kagami marcha.
Encore, encore et encore.
S’en rendant compte que bien trop tard, Kagami tourna la tête pour observer les alentours… Il n’était plus seul. Il reconnaissait une vieille connaissance -qu’il ne pouvait pas qualifier d’ami-. Zen’Ichiro, accompagné d’un autre individu. Que faisaient-ils ici ? Eux aussi avaient été appelés ? Tant de questions que Kagami voulait poser, mais il le savait pertinemment au fond de lui. Il n’obtiendra jamais les réponses qu’il attendait.
— Zen, que fais-tu avec cet individu non identifié ? Dit-il en fronçant les sourcils. Vous savez ou on est ?
Mais son attention fut rapidement prise par cette stèle… Si intrigante… Kagami se rapprocha dangereusement d’elle, sentant son énergie… Comme celle des alentours s’intensifier au fur et à mesure qu’il allait au contact de celle-ci. Tentant d’user de ses dons de senseur pour analyser la zone… En vain. Il essaya tout de même de contacter son plus fidèle compagnon, son zanpakuto. Tokoyami. Cette action fut vaine également, toute énergie spirituelle semblait proscrite en ce lieu sacré.
Lisant les caractères qui s'affichent face à lui sans pouvoir sans pour autant les comprendre, il ne faisait que les ressentir… Il savait que la vérité se cachait là, sous ses yeux. Et quand il sera en capacité de la dévoiler, rien ni personne ne pourra l’arrêter. Peut-être avait-il sous les yeux le moyen de protéger la Soul Society, ou inversement… Peut-être que cette stèle livrait à quiconque pouvait la déchiffrer la capacité de mettre en œuvre cette tragédie si terrible qu’il avait vu dans ses songes.
Effleurant la stèle de sa main. Kagami essaye de ressentir une nouvelle, de manière beaucoup plus profonde l’énergie qui en découlait.Un doux sourire se dessina alors sur son visage, il savait désormais ce qui lui restait à faire et rien ne pouvait l’empêcher d’agir.
— Bordel, j’y comprends rien moi à cette écriture antique ! Dit-il dans un râle,se rapprochant de ses camarades un peu déçu. Mais quoi qu’il en soit... Une chose était sûre...
Regardant le jeune Ryuozji se mettre en route, Kagami n'eut qu'une idée en tête. Un pas après l'autre, sans la moindre énergie spirituelle, Kagami se mettra en quête de traverser la zone. Quelques instants plus tard, son Zanpakuto sera dégainé, en effet, Kagami viendra, de son épée tenue dans la main droite, l'envoyer, telle une flèche, dans un coup droit dirigé vers le cœur de l'innocent Ryuzoji. Qu’avait-il fait ? Sa simple présence… Le simple fait qu’il avait posé les yeux sur cette stèle qui n’était pas la sienne… Sa simple présence l’insupportait. Si l’énergie spirituelle était interdite en ces lieux, alors Kagami était roi. Sa maîtrise du Hakuda faisait de lui l’homme le plus puissant des trois, il en était sûr.
Terminant son mouvement dans une tranche horizontale, l'Itsuwari lèvera sa jambe gauche dans la continuité de son offensive, dans ce même mouvement circulaire que précédemment, avec pour but de s'enfoncer le plus profondément dans les cotes du corps qu'il avait en face de lui, le repoussant -s'il était encore en vie- le plus loin possible de l'Itsuwari.
— Zen… Je sais que tu ne comprendras pas, mais c’est pour le bien du Seireitei. Je ne laisserais personne en qui je n'ai pas une absolue confiance voir cette stèle.
Il n’avait pas besoin d’en savoir plus… Après tout, il sera bientôt mort. Main armé, Kagami se tenait droit devant son camarade. Il ne pourrait sûrement pas le comprendre, mais le membre de la Sanbantai faisait ça dans un objectif bien précis. Il allait devoir se battre pour un futur radieux, et ces deux hommes mourraient au nom de son objectif. S’il réussissait, il n’avait plus qu’à laisser les cadavres là, la faune environnante s’en emparait bientôt. Et puisque personne ne pouvait prouver la présence du Shinigami en ces lieux… Personne ne pourrait l’inculper. Il n’avait plus qu’à rentrer, surveiller cette zone et analyser cette stèle.
- Spoiler:
- Attraits utilsés : Vélocité/Soldat/Pugiliste(T1)
Résumé : Kagami arrive jusqu’à la stèle, essayant de senser la zone, il se rend compte que c'est impossible. Il essaye d'établir un contact avec son Zanpakuto, également en vain. Observant l'énergie s'intensifier au fur et à mesure qu'il se rapproche, il se décide d'établir un premier contact physique avec cette stèle, de sa main puis de son Zanpakuto. Une idée des plus saugrenues lui vient alors en tête : Cette stèle serait la sienne.
Voyant Ryuzoji repartir, il lui fonce dessus - Vélocité avant de tenter de lui placer un coup d'estoc dans le coeur à l'aide de sa main droite, profitant du fait qu'il soit retourné, pas forcément aux aguet en plus de ne pas être nécessairement au courant pour l'utilisation restreinte de l'énergie spirituelle. - Soldat. Ayant découvert cette restriction, il termine son coup d'estoc par une tranche horizontale, dans l'éventualité ou son adversaire se déplacerait. Dans la continuité de son mouvement, il envoie un coup de pied gauche (Pugiliste) dans les côtes de l'homme qu'il a attaqué avant de reculer, se plaçant face à Zen'ichiro.
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Membre
Itsuwari Kagami le Prévoyant
Re: Fable n°2 : Odyssée millénaire - Sam 13 Fév - 21:16
FABLE N°2 : ODYSSÉE MILLÉNAIRE
聞いて下さい
T u ne sais pas vraiment pour quelles raisons, mais tu avais décidé de prendre l'air aujourd'hui. Prendre le large, quitter les montagnes enneigées pour t'aventurer dans des contrées que tu n'avais encore jamais vraiment explorées. Tu avais besoin d'un nouvel air pour mieux avancer pour les jours à venir. Te dirigeant avec calme au travers de la jungle, tu te laissas guider par ton instinct... Pour une raison obscure qui te dépassait, tu avais la sensation que tes pas semblaient suivre un chemin qui était déjà tout tracé. Tu ne te posas cependant pas plus de questions, suivant ta route en supposant que tu avais peut-être trop d'imagination.
Ton unique œil finira par trouver la source de ta supposée imagination : une stèle aux allures mystiques et ne ressemblant à rien d'autre dans ce monde. Des écritures étranges, n'appartenant à aucune langue que tu pouvais être amenés à connaître. Tout comme toi, deux autres de tes camarades se trouvait sur les lieux. Une ambiance austère régnait dans la jungle... Plus encore, tu avais l'étrange sensation que l'énergie spirituelle n'avait pas sa place ici. Tu avais l'habitude d'utiliser des kido et de jouer avec les flux de reishi et tu savais d'ores et déjà que tu ne pourrais pas le faire ici. Quelque chose semblait brider tes capacités, absorbant... Ou plutôt nullifiant toutes formes d'énergie spirituelle. En était-il de même pour ton zanpakuto ? En ton for intérieur, tu sentais qu'une partie de ton âme était absente. À cet instant précis, tu n'avais plus rien à même de te différencier d'un être humain. Était-ce lié à cette stèle que tous semblaient observer ?
Tu n'aurais finalement pas le temps de répondre à cette question, ni même de t'interroger sur la nature de cette dernière. Tu n'aurais pas non plus l'occasion de discuter avec tes confrères, car rapidement, la situation tournerait au chaos.
Alors que Genichiro te dépassa, s'apprêtant à quitter les lieux, ton regard fut happé par les mouvements et les paroles de Kagami. Tu ne connaissais que trop bien ce regard et ce ton employé... Son jeu de jambes fut suffisant pour confirmer tes doutes : le sang allait tâcher le sol de la forêt.
Tu compris rapidement que son assaut allait à l'encontre de Genichiro. Pourquoi ? Que pouvait-il bien s'être passé avant que tu arrives ? La troisième division avait le don de jouer avec la corde du complot, au final, ses actions n'avaient rien de surprenant... Mais il était en revanche hors de questions qu'un meurtre se produise sous tes yeux sans explications.
D'un coup d'épaule, tu projetas le shinigami de la septième division sur le côté, t'interposant directement entre lui et Kagami. Les avants-bras en position de garde, tu encaisses l'estoc du shinigami venant directement percuter ton armure. Tu n'avais jamais vraiment espérer te confronter de façon aussi direct à la lame de l'un de tes confrères, encore moins en y ressentant l'envie de tuer au travers de cette dernière. Une chose était sûr, l'agilité et la dextérité de Kagami avait de quoi faire pâlir de nombreux shinigami. T'appuyant sur tes jambes, tu saisiras la poigne de ton katana avant de te reculer rapidement, esquivant in extremis le coup de pied du shinigami renégat.
Tenant fermement ton sabre désormais dégainé, tu jetas un coup d'œil bref en direction de Genichiro, t'assurant que ce dernier n'avait rien. Ton regard revint rapidement vers Kagami, tandis que tu pointais ta lame en sa direction, prêt à en découdre.
Ton unique œil finira par trouver la source de ta supposée imagination : une stèle aux allures mystiques et ne ressemblant à rien d'autre dans ce monde. Des écritures étranges, n'appartenant à aucune langue que tu pouvais être amenés à connaître. Tout comme toi, deux autres de tes camarades se trouvait sur les lieux. Une ambiance austère régnait dans la jungle... Plus encore, tu avais l'étrange sensation que l'énergie spirituelle n'avait pas sa place ici. Tu avais l'habitude d'utiliser des kido et de jouer avec les flux de reishi et tu savais d'ores et déjà que tu ne pourrais pas le faire ici. Quelque chose semblait brider tes capacités, absorbant... Ou plutôt nullifiant toutes formes d'énergie spirituelle. En était-il de même pour ton zanpakuto ? En ton for intérieur, tu sentais qu'une partie de ton âme était absente. À cet instant précis, tu n'avais plus rien à même de te différencier d'un être humain. Était-ce lié à cette stèle que tous semblaient observer ?
Tu n'aurais finalement pas le temps de répondre à cette question, ni même de t'interroger sur la nature de cette dernière. Tu n'aurais pas non plus l'occasion de discuter avec tes confrères, car rapidement, la situation tournerait au chaos.
Alors que Genichiro te dépassa, s'apprêtant à quitter les lieux, ton regard fut happé par les mouvements et les paroles de Kagami. Tu ne connaissais que trop bien ce regard et ce ton employé... Son jeu de jambes fut suffisant pour confirmer tes doutes : le sang allait tâcher le sol de la forêt.
Tu compris rapidement que son assaut allait à l'encontre de Genichiro. Pourquoi ? Que pouvait-il bien s'être passé avant que tu arrives ? La troisième division avait le don de jouer avec la corde du complot, au final, ses actions n'avaient rien de surprenant... Mais il était en revanche hors de questions qu'un meurtre se produise sous tes yeux sans explications.
D'un coup d'épaule, tu projetas le shinigami de la septième division sur le côté, t'interposant directement entre lui et Kagami. Les avants-bras en position de garde, tu encaisses l'estoc du shinigami venant directement percuter ton armure. Tu n'avais jamais vraiment espérer te confronter de façon aussi direct à la lame de l'un de tes confrères, encore moins en y ressentant l'envie de tuer au travers de cette dernière. Une chose était sûr, l'agilité et la dextérité de Kagami avait de quoi faire pâlir de nombreux shinigami. T'appuyant sur tes jambes, tu saisiras la poigne de ton katana avant de te reculer rapidement, esquivant in extremis le coup de pied du shinigami renégat.
"Je ne savais pas les membres de la troisième division aussi lâche. Tu as une ultime chance de t'expliquer."
Tenant fermement ton sabre désormais dégainé, tu jetas un coup d'œil bref en direction de Genichiro, t'assurant que ce dernier n'avait rien. Ton regard revint rapidement vers Kagami, tandis que tu pointais ta lame en sa direction, prêt à en découdre.
"Si tu persistes dans ce choix... Je me ferais une joie de te découper les deux bras et de traîner ton buste jusque devant le Concil Blanc."
- Résumé:
Attraits utilisés : Soldat/Danseur
Zen arrive en dernier sur les lieux et n'a pas vraiment le temps de juger l'ampleur de ce qui l'entoure. Il ne voit cependant qu'une seule chose : Kagami qui s'apprête à transpercer de part en part Genichiro. Il décide de bousculer Gen pour le proteger et de se placer sur la trajectoire de Kagami. Vu que j'ai la chance d'être équipé d'une jolie armure flambant neuve, j'encaisse l'estoc et esquive le coup de pied (Danseur) avant de me reculer.
J'ai estimé que mon renfort bras est du coup endommagé par l'attaque. J'ai esquivé le coup de pied pour le fun, pour profiter de l'attrait danseur, dans tous les cas ça aurait percuté tout simplement le plastron.
Inventaire :
- 1 Plastron
- 1 Renfort Bras (Endommagé)
- 1 Renfort Jambe
- 1 Kit Fumigène/Poudre Noir/Bombe Flash
Invité Invité
Re: Fable n°2 : Odyssée millénaire - Lun 15 Fév - 0:58
Tant de questions submergent ton esprit trop étroit pour percer le mystère entourant cet endroit et cette stèle. Bien des facettes de ce monde échappent à tes pupilles trop obscurcies par ton savoir limité. Tu aurais tant aimé pouvoir déceler ces sigles par toi-même et ramener des réponses lumineuses au Concile Blanc, mais la réalité te rappelait amèrement ton impuissance. Heureusement pour le royaume des âmes, tu gardais espoir. Cette acrimonie, tu la balayais rapidement pour te concentrer sur l’essentiel. Même incomplet et brut, ces informations devaient être impérativement transmises aux érudits de cette société des âmes. Par l’union des cerveaux, rien n’était impossible.
L’alacrité retrouvée, tu continues ton chemin pour t'extraire de cette zone qui, sans relâche, draine ton énergie spirituelle. Dans ton départ précipité par tes nombreuses interrogations, tu croises une nouvelle personne qui, comme toi, demeurait attiré inexorablement par cette parcelle du monde. Tu croises le regard de cet homme possédant seulement un œil valide. Un simple signe de tête en guise d’échange te semble suffisant. Cependant, tu remarques son faciès se décomposait d’une façon aussi étrange qu’inquiétante. Interloqué, tu décides d’amorcer un mouvement pour observer à ton tour ce qui dérange le Mande-Tempête, hélas, tu n’as pas le temps.
D’un geste assuré, le guerrier de la neuvième te bouscule brutalement par le biais de son épaule. Surpris, ton faciès se crispe face à l’incompréhension de ce geste qui te désarçonne. Heureusement pour toi, tes entraînements concentrés sur ton agilité font que tu te réceptionne convenablement en retrait. De dos, tu tournes ta tête pour orienter ton regard en direction du spadassins de la Kyūbantai comprenant ainsi l’origine de toute cette agitation. L’homme en question venait tout simplement de t’arracher des griffes du Havre des Esprits en s’interposant entre ta personne et ton agresseur insoupçonné.
L’âme que tu croisas quelques minutes auparavant semble achalée envers ta personne, pour une raison qui échappe à ta conscience. Qu’est-ce qui peut bien pousser cet individu de la troisième à agir de la sorte ? Est-ce que les sigles de cette stèle millénaire lui ont ôté toute raison et sens commun ? Quel type de dégénérescence a pu atteindre le cerveau de cet être ? Des questions sans réponses, mais des actes avec des conséquences. S’en prendre à l’Ordre Mnémonique revient à défier ouvertement le Concile Blanc et cet acte ne peut rester impuni, qu’importe la forme.
Tu observes la scène, par-dessus l’épaule de ton salvateur. Les yeux globuleux du shinigami de la troisième ne font que confirmer son envie de sang incompréhensible à tes yeux. Tu ne demeurais pas le seul à s’enquérir de trouver des réponses à cette situation aporétique. Le bretteur de la neuvième demanda des comptes à cette âme dénuée de raison. Qu’importe au final. Le crime était maintenant commis et il ne pouvait y avoir de retour en arrière. Contrairement à ta première tirade, tu baisses l’intensité de ta voix pour éviter que ton nouvel adversaire entende distinctement ce que tu allais dire, étant donné que tu étais relativement éloigné de lui.
A ces mots, tu commences une course effrénée dans la direction que tu désirais originellement prendre. Tes compétences en combat rapproché ne te permettent que d'esquiver, mais jamais riposter. Tu le sais, jouer sur ce terrain te désavantage, mais ce n’est pas ce qui te motive à quitter cette zone où l’énergie est nullifiée. L’information. Tout devait être révélé, qu’importe l’issue de cet affrontement. En tant que représentant du Concile Blanc, il était de ton devoir que ce que tu venais d’observer arriver jusqu’au oreille de la régence et sans tarder.
Ainsi, tu continues ta course atlante sans t’arrêter une seule seconde, restant alerte de ce qui t’entoure. Tes pas se succèdent avec précision jusqu’au moment où tu sens de nouveau l’énergie spirituelle sublimer la quintessence de ton être. Dès lors, tu stoppes ta course ayant mis assez de distance avec ton agresseur et tu te retournes sans tarder.
Alors qu’un papillon apparaît le long de ton doigt, tu transmets toutes les informations à ta disposition en étant le plus concis possible. L’endroit, La stèle, l’attaque d’un shinigami de la troisième sur un officier de l’Ordre, son descriptif physique, ton nom et une demande d’intervention immédiate. Une fois cela fait, tu libères l’animal spirituelle de son perchoir organique pour qu’il se dirige le plus vite possible à un endroit en particulier. De part ton implication dans la politique du Seireitei, tu sais pertinemment qui administre cette zone, la Panacée. C’est naturellement vers ces intègres dépositaires de la connaissance que tu orientes ton messager pour qu’il se rendre rapidement au QG de la dixième. Suite à cela, tu dégaines ton Zanpakutô, te tenant prêt à assister ton allié du jour. La vie quittera peut-être ton corps, mais la Vérité éclatera.
L’alacrité retrouvée, tu continues ton chemin pour t'extraire de cette zone qui, sans relâche, draine ton énergie spirituelle. Dans ton départ précipité par tes nombreuses interrogations, tu croises une nouvelle personne qui, comme toi, demeurait attiré inexorablement par cette parcelle du monde. Tu croises le regard de cet homme possédant seulement un œil valide. Un simple signe de tête en guise d’échange te semble suffisant. Cependant, tu remarques son faciès se décomposait d’une façon aussi étrange qu’inquiétante. Interloqué, tu décides d’amorcer un mouvement pour observer à ton tour ce qui dérange le Mande-Tempête, hélas, tu n’as pas le temps.
D’un geste assuré, le guerrier de la neuvième te bouscule brutalement par le biais de son épaule. Surpris, ton faciès se crispe face à l’incompréhension de ce geste qui te désarçonne. Heureusement pour toi, tes entraînements concentrés sur ton agilité font que tu te réceptionne convenablement en retrait. De dos, tu tournes ta tête pour orienter ton regard en direction du spadassins de la Kyūbantai comprenant ainsi l’origine de toute cette agitation. L’homme en question venait tout simplement de t’arracher des griffes du Havre des Esprits en s’interposant entre ta personne et ton agresseur insoupçonné.
L’âme que tu croisas quelques minutes auparavant semble achalée envers ta personne, pour une raison qui échappe à ta conscience. Qu’est-ce qui peut bien pousser cet individu de la troisième à agir de la sorte ? Est-ce que les sigles de cette stèle millénaire lui ont ôté toute raison et sens commun ? Quel type de dégénérescence a pu atteindre le cerveau de cet être ? Des questions sans réponses, mais des actes avec des conséquences. S’en prendre à l’Ordre Mnémonique revient à défier ouvertement le Concile Blanc et cet acte ne peut rester impuni, qu’importe la forme.
Je t’en dois une, Mande-Tempête.
Tu observes la scène, par-dessus l’épaule de ton salvateur. Les yeux globuleux du shinigami de la troisième ne font que confirmer son envie de sang incompréhensible à tes yeux. Tu ne demeurais pas le seul à s’enquérir de trouver des réponses à cette situation aporétique. Le bretteur de la neuvième demanda des comptes à cette âme dénuée de raison. Qu’importe au final. Le crime était maintenant commis et il ne pouvait y avoir de retour en arrière. Contrairement à ta première tirade, tu baisses l’intensité de ta voix pour éviter que ton nouvel adversaire entende distinctement ce que tu allais dire, étant donné que tu étais relativement éloigné de lui.
Si tu le peux, essaye de gagner du temps et de te battre en reculant. Je vais nous aider à ma façon.
A ces mots, tu commences une course effrénée dans la direction que tu désirais originellement prendre. Tes compétences en combat rapproché ne te permettent que d'esquiver, mais jamais riposter. Tu le sais, jouer sur ce terrain te désavantage, mais ce n’est pas ce qui te motive à quitter cette zone où l’énergie est nullifiée. L’information. Tout devait être révélé, qu’importe l’issue de cet affrontement. En tant que représentant du Concile Blanc, il était de ton devoir que ce que tu venais d’observer arriver jusqu’au oreille de la régence et sans tarder.
Ainsi, tu continues ta course atlante sans t’arrêter une seule seconde, restant alerte de ce qui t’entoure. Tes pas se succèdent avec précision jusqu’au moment où tu sens de nouveau l’énergie spirituelle sublimer la quintessence de ton être. Dès lors, tu stoppes ta course ayant mis assez de distance avec ton agresseur et tu te retournes sans tarder.
Kidō n°5 : Setsu Jigokuchō
Alors qu’un papillon apparaît le long de ton doigt, tu transmets toutes les informations à ta disposition en étant le plus concis possible. L’endroit, La stèle, l’attaque d’un shinigami de la troisième sur un officier de l’Ordre, son descriptif physique, ton nom et une demande d’intervention immédiate. Une fois cela fait, tu libères l’animal spirituelle de son perchoir organique pour qu’il se dirige le plus vite possible à un endroit en particulier. De part ton implication dans la politique du Seireitei, tu sais pertinemment qui administre cette zone, la Panacée. C’est naturellement vers ces intègres dépositaires de la connaissance que tu orientes ton messager pour qu’il se rendre rapidement au QG de la dixième. Suite à cela, tu dégaines ton Zanpakutô, te tenant prêt à assister ton allié du jour. La vie quittera peut-être ton corps, mais la Vérité éclatera.
- HRP:
- Attrait utilisé : Danseur/Horion
Kidô utilisé : Kidō n°5 : Jigokuchō
Résumé : Suite au coup d’épaule salvateur du bro Zen, Gen est donc repoussée et se trouve en retrait derrière Zen. J’ai indiqué dans la narration que je restais sur mes appuis (avec l'attrait Danseur) étant donné que le coup d’épaule n’était pas vraiment pour me blesser, mais si ça ne va pas, on peut en parler et je pourrais modifier.
Il remercie Zen, lui dit quelques mots ne parlant pas trop fort pour que ce soit difficilement perceptible par Kagami et après il fonce à toute berzingue pour quitter la zone et ainsi pouvoir de nouveau user de son énergie spirituelle. Il compte sur Zen pour “tanker” Kagami, mais Gen reste en alerte quand il court pour ne pas se faire surprendre.
Lorsqu’il sent de nouveau son énergie revenir, il s’arrête, se retourne et invoque un papillon messager pour transmettre toutes les infos en possession de manière concise. Étant donné que le papillon est fait avec l’Attrait Horion, Gen transmet seulement le message au QG de la Panacée le plus proche étant donné que la dixième s’occupe de cette partie du Nihon.
Bien entendu, s’il y a le moindre problème sur mon post, on en discute dans le canal adéquat et je ferais les potentielles modifications en conséquence.
Bonne lecture !
Énergie Spirituelle : 52
Résistance : 193
Combat : 42
Dégâts : 25
Combat magique : 185
Kido : 369
Zanpakuto : 394
Résilience : 17
Sensorialité : 34
Grade : Lieutenant
Résistance : 193
Combat : 42
Dégâts : 25
Combat magique : 185
Kido : 369
Zanpakuto : 394
Résilience : 17
Sensorialité : 34
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Ryuzoji Genichiro le Surarchimaîtremage
Re: Fable n°2 : Odyssée millénaire - Lun 15 Fév - 22:59
Odyssée Millénaire
聞いて下さい
Enfonçant sa lame dans ce qu’il croyait être un corps humain, Kagami finit par se rendre compte que ce qu’il croyait avoir perforé n’était pas pas le pauvre Genichiro, mais bel et bien une armure. Un homme s’était dressé, un homme qui était présent depuis le début, il avait fait son choix. Kagami avait songé à le laisser en vie… Malheureusement, en quelques secondes, il venait de ruiner tout espoir de survie. Était-ce vrai ? Évidemment que non, Zen’ichiro serait mort peu importe l’issue de son attaque. Il avait merveilleusement bien agi, repoussant son ami pour le sauver d’une mort certaine.
À l’instant même ou Zen’ichiro recula, esquivant avec brio l’attaque du membre de la troisième division pour se mettre à l’abri, Kagami se rua. Fonçant droit, cette armure, certes incroyablement résistante, devait être si lourde… Sa manie de toujours se protéger allait causer sa perte. Essayant de mettre le plus de distance entre lui et le Mandes-Tempêtes, se mettre hors de portée de ce sabre, pas encore dégainer, prêt à esquiver ou à limiter les dégâts à la moindre intuition…. Kagami fonce vers sa cible. Il avait décrété que Genichiro mourrait en premier, alors il en serait ainsi. Gardant un œil, par sureté sur l'armure vivante qu'il avait laissé dans son dos... L'Itsuwari continue sa progression.
— Zen-chan… N’utilise pas de mots aussi forts, ça te donne l’air si faible...
Pourquoi devait-il s’expliquer ? Pourquoi devrait-il rendre des comptes à des cadavres en sursis ? Les mots de Zen sonnaient faux… Et il le savait. De vous deux, il savait parfaitement que Kagami était le plus, si l’avantage du nombre lui donnait cette impression de puissance, l’Itsuwari n’avait nul autre choix que de remettre les compteurs à zéro. Sans doute ne comprenaient-ils pas ses intentions.
Même s’ils le comprennent, accepteraient-ils de mourir pour cette cause ? Après tout, quand il s’agissait de leur propre survie… Même aux dépens du plus grand nombre, les Shinigamis tout comme les hommes pouvaient se montrer étrangement hypocrite. Peut-être avait-il aussi hérité de ce trait de caractère, il ne saurait le dire… Mais il savait que sa fin n’était certainement pas prévue aujourd’hui, et que si le destin avait décidé de lui montrer le futur, c’était pour qu’il le manipule à sa guise.
Continuant de courir, un sourire se dessine alors sur son visage quand il voit que l’officier qu’il a en face de lui essaye d’en faire de même... S’il croyait sincèrement qu’il allait réussir à le fuir… Lui qui avait passé sa vie à entraîner son corps, son agilité… Aujourd’hui, il se rendait compte à quel point son entraînement avait porté ses fruits. Rattrapant l’homme, Kagami feintera une attaque de sa main libre, qu’il esquivera sûrement avec brio. Feinte qui n’avait que pour seul but de créer une faille dans la garde de son adversaire. C’est alors qu’il tenta cette fois, dans rotation, d'envoyer un coup de pied dans le visage de son adversaire.
Épée déjà dégainer, Kagami n’eut aucune difficulté, et aucun remord en essayant de perforer le corps de cet homme sûrement déstabiliser par cet enchainement. Les regrets seront pour après, ils auront tout le temps d’en parler quand Kagami le rejoindra aux enfers. Un nom de plus qui s’ajoutant sur la longue liste des personnes ayant succombées des mains de l’Itsuwari.
— Je ne te dis pas au revoir, puisqu’on ne se reverra plus. Mais ce fut un plaisir de faire ta connaissance, aussi brève fut-elle.
Ramenant la lame à ses côtés, gardant le potentiel cadavre à ses côtés pour s’en servir de bouclier humain, Kagami toujours sur ses gardes se contente de se préparer à une nouvelle offensive de son adversaire.
— Zen, tu ne me battras pas. Tu le sais. Faisons vite, faisons bref.
Il n’allait pas quitter cette zone, et la lame de Kagami serait certainement la dernière chose qu’il verrait.
- Spoiler:
- Attraits utilisés : Vélocité//Pugiliste/Soldat
Résumé : A l'instant ou Zen recule après avoir bloqué mon coup la main sur son katana, arme pas encore dégainée, Kagami décide de charger la personne ayant le plus de chance de lui échapper, Genichiro. (Restant à l'affut d'une potentielle attaque dans le dos.) Rattrapant celui-ci, n'étant pas encore sorti de la zone grâce à sa vitesse (Vélocité), Kagami feinte un coup que son adversaire esquive (Pugiliste - Mention et utilisation de danseur ?) avant d'essayer, après une rotation de lui envoyer un coup de pied dans le visage (Danseur ne permettant pas d'esquiver plusieurs attaques à la suite.) pour le déstabiliser et lui faire perdre ses appuis (Pugiliste), il essaye ensuite d'enfoncer sa lame, déja dégainée dans le corps de son adversaire (Soldat) avant de s'en servir comme potentiel bouclier humain si son action a aboutie.
Grade : Membre
Membre
Itsuwari Kagami le Prévoyant
Re: Fable n°2 : Odyssée millénaire - Mer 17 Fév - 0:05
Tu observes ce papillon énergétique quitter les yeux, portant avec lui toute l’acrimonie et l’espoir qui t’alimentent. Tu te sens comme transporté par le battement des ailes, mouvant très peu d’air donnant un bruit perceptible par les plus sensibles. Tu vogues aux côtés de cet être formé à partir de ton Kido arpentant la moindre parcelle du royaume des hommes. Poussé par le vent, tu rejoins les terres promises de la Panacée provoquant un puissant sentiment de lénitive en toi. De ton perchoir organique, tu observes la jeune recrue des érudits se décomposer à la réception d’un tel message. Le bougre s'agite, détalant pour prévenir sa hiérarchie au plus vite.
Tel était le scénario que tu avais imaginé dans la projection mentale de ton esprit. Mais comme à chaque fois, la Vérité est tout autre.
Ton instinct t’extirpe brutalement de l’idylle que tu venais de modeler pour t’exposer la réalité froide de la situation. Malgré ta course bien pensée, tu ne peux rivaliser avec cet homme latitudinaire. Un pas après l’autre, il te rattrape avec une facilité déconcertante. Ta bouche se contracte sous le sentiment de colère qui t’habite. La fuite, de cette zone deviendrait-elle une option caduque face à la vélocité et la volonté de ce shinigami ? Si seulement il orientait sa volonté dans des desseins plus glorieux et bénéfique à l’humanité. Quel gâchis.
Heureusement pour toi, ton agilité te permet d’esquiver habilement le coup de poing asséné par le membre de la troisième, stoppant alors vos courses le temps d’une seconde. Le coup dérobé, le corps de ton détracteur se mit à tournoyer d’une façon prodigieuse avant qu’un pied galvanisé par la force centrifuge se loge dans ta boîte crânienne. L’impact est fort et douloureux. Tu recules involontairement de quelques pas, tenant ta tête meurtrie. Sonné, ta céphalalgie t’empêche de prêter attention à l’environnement qui t’entoure. Ce laps de temps, si précieux, permet à ton adversaire de rétablir sa posture initiale, préparant ainsi un méfait que ta rétine perçoit bien trop tard.
Un coup d’estoc, simple, rapide et diaboliquement efficace. Le corps musculeux de cette âme éhontée se contracte afin de t’empaler et extraire sans la moindre hésitation, la vie de ton corps. Pour la deuxième fois de ton existence, tu contemples avec peur et amertume l’abîme hurlant des iris de la mort. Tu as peur, tu ne peux le nier. Que peux-tu faire face à cette scène morbide qui envahit ton corps et ton esprit ? Vas-tu abdiquer comme pour la recherche de ta mémoire ? Vas-tu renoncer à ton dessein le plus sombre d’intégrer le Concile Blanc ? Vas-tu réellement renoncer à tout ceci à cause d’une simple âme ?
L’énergie drainée dans ce lieu transformé en tombeau empêche ton corps de réagir avec le panache que tu possèdes d’habitude, mais ton esprit et tes réflexes restent toujours aussi affûtés. Ne pouvant te dérober à l’estocade, il te fallait limiter les dégâts et surtout, tirer profit de cette situation. Ta matière organique effectue, alors, un léger mouvement, anodin de prime abord, il te permet d’éviter les organes et autres points vitaux nécessaires à l’alimentation de ton existence. La lame s’enfonce dans ta chair qui se déchire face au tranchant de l’arme. Une gerbe de sang jailli de plaie béante, alors qu’une vive douleur atteint ton cerveau. Le fer froid se propage linéairement dans tes entrailles jusqu’à ressortir par ton dos. Tu as envie de crier, mordre, frapper, rugir, hurler, mourir, pleurer, vomir et bien d’autres. Ton corps cacochyme ne fait qu’envoyer des alertes à ton esprit qui érige un bien maigre mur pour retenir tout ce flux d’information. Que faire face à cette douleur ? Aller de l’avant.
Ce n'est qu'une information. Ce n'est qu'un signal électrique qui parcourt ton corps par le biais de tes nerfs. Ce n'est rien de plus que de la donnée, qui peut être ignorée, balayée, repoussée et annihilée. Tu as beau t'en convaincre, ta raison ce tort face à cette affliction. Tu ne peux pas lutter contre tes pulsions primaires, c'est ce qu'elle te dit. Pourquoi devrais-tu l'écouter ? Ce combat n'a pas de sens. Chercher une logique devient irrationnelle. Embrasse la folie qui s'empare de ton âme. Laisse les beaux discours et les belles paroles derrière toi. Aujourd'hui, tu ne te bats pas pour l'Ordre, non. Tu te bats pour survivre. Tu te bats pour ne pas être oublié de cette pathétique histoire des âmes que tu veux tant sublimer par tes actions et ta présence. Tu veux que ton nom résonne dans tout le monde, Genichiro ? ALORS SURVIS !
Un rictus se matérialise sur ton visage. Ton sourire devient presque malsain alors que tu saisis avec hargne et violence l'avant-bras de cette âme désolée. De tes deux mains, tu serres avec toute la force que tu peux mobiliser. Jamais tu ne lâcheras ce bras tant que la quintessence de ton âme brûle de mille feux.
— N’ayez crainte, nous nous reverrons. Je vous rendrais visite dans les geôles du Concile Blanc !
La suite dépend de toi, Mande-Tempête.
Tel était le scénario que tu avais imaginé dans la projection mentale de ton esprit. Mais comme à chaque fois, la Vérité est tout autre.
Ton instinct t’extirpe brutalement de l’idylle que tu venais de modeler pour t’exposer la réalité froide de la situation. Malgré ta course bien pensée, tu ne peux rivaliser avec cet homme latitudinaire. Un pas après l’autre, il te rattrape avec une facilité déconcertante. Ta bouche se contracte sous le sentiment de colère qui t’habite. La fuite, de cette zone deviendrait-elle une option caduque face à la vélocité et la volonté de ce shinigami ? Si seulement il orientait sa volonté dans des desseins plus glorieux et bénéfique à l’humanité. Quel gâchis.
Heureusement pour toi, ton agilité te permet d’esquiver habilement le coup de poing asséné par le membre de la troisième, stoppant alors vos courses le temps d’une seconde. Le coup dérobé, le corps de ton détracteur se mit à tournoyer d’une façon prodigieuse avant qu’un pied galvanisé par la force centrifuge se loge dans ta boîte crânienne. L’impact est fort et douloureux. Tu recules involontairement de quelques pas, tenant ta tête meurtrie. Sonné, ta céphalalgie t’empêche de prêter attention à l’environnement qui t’entoure. Ce laps de temps, si précieux, permet à ton adversaire de rétablir sa posture initiale, préparant ainsi un méfait que ta rétine perçoit bien trop tard.
Un coup d’estoc, simple, rapide et diaboliquement efficace. Le corps musculeux de cette âme éhontée se contracte afin de t’empaler et extraire sans la moindre hésitation, la vie de ton corps. Pour la deuxième fois de ton existence, tu contemples avec peur et amertume l’abîme hurlant des iris de la mort. Tu as peur, tu ne peux le nier. Que peux-tu faire face à cette scène morbide qui envahit ton corps et ton esprit ? Vas-tu abdiquer comme pour la recherche de ta mémoire ? Vas-tu renoncer à ton dessein le plus sombre d’intégrer le Concile Blanc ? Vas-tu réellement renoncer à tout ceci à cause d’une simple âme ?
L’énergie drainée dans ce lieu transformé en tombeau empêche ton corps de réagir avec le panache que tu possèdes d’habitude, mais ton esprit et tes réflexes restent toujours aussi affûtés. Ne pouvant te dérober à l’estocade, il te fallait limiter les dégâts et surtout, tirer profit de cette situation. Ta matière organique effectue, alors, un léger mouvement, anodin de prime abord, il te permet d’éviter les organes et autres points vitaux nécessaires à l’alimentation de ton existence. La lame s’enfonce dans ta chair qui se déchire face au tranchant de l’arme. Une gerbe de sang jailli de plaie béante, alors qu’une vive douleur atteint ton cerveau. Le fer froid se propage linéairement dans tes entrailles jusqu’à ressortir par ton dos. Tu as envie de crier, mordre, frapper, rugir, hurler, mourir, pleurer, vomir et bien d’autres. Ton corps cacochyme ne fait qu’envoyer des alertes à ton esprit qui érige un bien maigre mur pour retenir tout ce flux d’information. Que faire face à cette douleur ? Aller de l’avant.
Ce n'est qu'une information. Ce n'est qu'un signal électrique qui parcourt ton corps par le biais de tes nerfs. Ce n'est rien de plus que de la donnée, qui peut être ignorée, balayée, repoussée et annihilée. Tu as beau t'en convaincre, ta raison ce tort face à cette affliction. Tu ne peux pas lutter contre tes pulsions primaires, c'est ce qu'elle te dit. Pourquoi devrais-tu l'écouter ? Ce combat n'a pas de sens. Chercher une logique devient irrationnelle. Embrasse la folie qui s'empare de ton âme. Laisse les beaux discours et les belles paroles derrière toi. Aujourd'hui, tu ne te bats pas pour l'Ordre, non. Tu te bats pour survivre. Tu te bats pour ne pas être oublié de cette pathétique histoire des âmes que tu veux tant sublimer par tes actions et ta présence. Tu veux que ton nom résonne dans tout le monde, Genichiro ? ALORS SURVIS !
Un rictus se matérialise sur ton visage. Ton sourire devient presque malsain alors que tu saisis avec hargne et violence l'avant-bras de cette âme désolée. De tes deux mains, tu serres avec toute la force que tu peux mobiliser. Jamais tu ne lâcheras ce bras tant que la quintessence de ton âme brûle de mille feux.
— N’ayez crainte, nous nous reverrons. Je vous rendrais visite dans les geôles du Concile Blanc !
La suite dépend de toi, Mande-Tempête.
- HRP:
- Changement dans l'ordre de post autorisé par le staff.
Etat : Légèrement encore sonné, ventre transpercé.
Attrait utilisé : Danseur
Résumé : Gen esquive le premier coup de Kagami qui se trouve être une feinte. Pris de vitesse, le coup de pied bien placé atteint la tête de Gen qui se retrouve sonné laissant à Kagami le temps de réajuster sa posture et de venir l'empaler. Malgré l'absence d'énergie, j'estime que les réflexes de Gen sont toujours présents (Danseur) et cela lui permet de se placer habilement pour, certes, se faire empaler, mais esquiver ses points vitaux. La lame transperce donc son corps au niveau du ventre. Lorsque la lame est suffisamment enfoncée, Genichiro saisie avec ses deux mains l'avant bras de Kagami pour immobiliser son bras et le forcer à rester sur place, accaparant son attention avec quelques mots.
Pour moi, tu n'as pas la force nécessaire (Pas d'attrait surhomme je suppose sinon tu l'aurais indiqué) pour me soulever et faire en sorte que je sois ton bouclier humain.
Bien entendu, s’il y a le moindre problème sur mon post, on en discute dans le canal adéquat et je ferais les potentielles modifications en conséquence.
Bonne lecture !
Énergie Spirituelle : 52
Résistance : 193
Combat : 42
Dégâts : 25
Combat magique : 185
Kido : 369
Zanpakuto : 394
Résilience : 17
Sensorialité : 34
Grade : Lieutenant
Résistance : 193
Combat : 42
Dégâts : 25
Combat magique : 185
Kido : 369
Zanpakuto : 394
Résilience : 17
Sensorialité : 34
Grade : Lieutenant
52
193
42
25
185
369
394
17
34
Lieutenant
193
42
25
185
369
394
17
34
Lieutenant
Ryuzoji Genichiro le Surarchimaîtremage
Re: Fable n°2 : Odyssée millénaire - Mer 17 Fév - 10:34
FABLE N°2 : ODYSSÉE MILLÉNAIRE
聞いて下さい
Fidèle à lui-même, ton opposant usa de sa vélocité pour te submerger, sans même prêter attention à tes intentions ni à tes paroles. D'un pas rapide, il s'échappa de ta portée d'arme, empruntant le même chemin que celui de Genichiro. Son intention était ferme et pour une raison que tu ignorais, sa cible principale n'était autre que ce shinigami de la septième. Un rictus se glissa sur tes lèvres, tu te sentais bafouer. Comment osait-il t'ignorer ?
En cet instant précis, tu repensas à tes débuts au sein de la première division. Le corps et le fer sont les éléments principaux faisant la force de cette division et tu avais toi aussi, à cette époque, participé à cette danse guerrière faisant la renommée des Premier-né. Déjà dans ton enfance, tu étais martelé par cette famille brutale, ne voyant que la force pure comme véritable arme. Tu n'avais jamais pensé devoir les remercier pour t'avoir inculqué ces entraînements... Parce qu'aujourd'hui, seuls leurs enseignements te permettraient de confronter ce renégat.
Quoi qu'il en soit, tu ne pouvais abandonner. Tu devais te surpasser et faire honneur à ce que tu es : l'une des forces de frappe de la Soul Society. Un officier de la neuvième division. C'était ton devoir de l'arrêter, quel qu'en soit le prix.
D'une impulsion, tu fis un demi-tour sur toi-même avant de prendre en chasse l'officier de la troisième division. Tu n'avais pas son talent pour la course, ni son endurance et qui plus est, tu avais sur toi cet ensemble bardé de fer qui avait le don de réduire ta vitesse. Tu ne le rattraperais pas, tu le savais pertinemment et tu n'en avais d'ailleurs pas l'intention. Tu souhaitais simplement le suivre, sans relâche, guettant la moindre opportunité qui s'offrirait à toi. Ton sabre empoigné de tes deux mains, tu traversais l'ombre des cimes. Ton regard était comparable à celle d'une bête, fonçant sur le malheureux gibier qui cherchait à lui échapper. Peut-être t'avait-il sous-estimé à cet instant précis, mais il oubliait une chose : ton sabre a toujours été ta meilleure arme.
Il ne restait pas plus deux mètres avant que tu ne puisses trancher le malin. Un espace suffisamment court pour te préparer. Resserrant fermement tes mains sur la poigne de ton katana, tu orientas ta lame vers l'extérieur, prêt pour cette ultime joute. Tu observas attentivement, cherchant la moindre faille dans ses mouvements. À aucun moment, son visage se tourna vers toi, sans doute était-il bien trop concentré à l'idée de terrasser Genichiro. Une erreur qui lui coûterait cher.
Dans son acrobatie, tu vis un premier coup partir. Par chance, ou par maladresse, Gen esquiva le premier assaut. Ta lame bascula dès lors sur ton flanc gauche, tandis que Kagami exécuta un coup de pied magistrale qui eut raison de Gen. Une fraction de seconde plus tard, tu étais là. L'acier de ta lame fusa à travers l'espace, exécutant une tranche en diagonale visant directement la jambe qui avait une seconde auparavant touché la tête du shinigami de la septième. Avant même qu'il ne puisse reprendre ses appuis, tu ferais en sorte de trancher net cette jambe.
Tandis que ton zanpakuto termina sa course sanglante dans les airs, au-dessus de tes épaules, tu ramenas ta seconde main sur la poignée, tenant fermement ton sabre au-dessus de ta tête. Les jambes en appuis, tu t'apprêtas à exécuter une frappe mortelle sur le jeune Kagami. Tu ne savais pas vraiment ce qui pouvait bien se passer devant, ne pouvant pas voir au travers de son dos, mais tu t'en fichais éperdument, une seule chose importée : toucher ta cible.
Telle l'épée de Damoclès, ta lame pourfendis les cieux, frappant l'épaule associé à sa main directrice, celle-là même qui devait sans aucun doute tenir son katana. Tu lui avais promis de lui découper les deux bras, tu ne t'arrêterais donc pas ici. Tu pourrais sans doute ajouter une jambe à l'équation, un bonus pour t'avoir forcé à courir.
En cet instant précis, tu repensas à tes débuts au sein de la première division. Le corps et le fer sont les éléments principaux faisant la force de cette division et tu avais toi aussi, à cette époque, participé à cette danse guerrière faisant la renommée des Premier-né. Déjà dans ton enfance, tu étais martelé par cette famille brutale, ne voyant que la force pure comme véritable arme. Tu n'avais jamais pensé devoir les remercier pour t'avoir inculqué ces entraînements... Parce qu'aujourd'hui, seuls leurs enseignements te permettraient de confronter ce renégat.
Quoi qu'il en soit, tu ne pouvais abandonner. Tu devais te surpasser et faire honneur à ce que tu es : l'une des forces de frappe de la Soul Society. Un officier de la neuvième division. C'était ton devoir de l'arrêter, quel qu'en soit le prix.
"Kagami... C'est la dernière fois que tu me tournes le dos."
D'une impulsion, tu fis un demi-tour sur toi-même avant de prendre en chasse l'officier de la troisième division. Tu n'avais pas son talent pour la course, ni son endurance et qui plus est, tu avais sur toi cet ensemble bardé de fer qui avait le don de réduire ta vitesse. Tu ne le rattraperais pas, tu le savais pertinemment et tu n'en avais d'ailleurs pas l'intention. Tu souhaitais simplement le suivre, sans relâche, guettant la moindre opportunité qui s'offrirait à toi. Ton sabre empoigné de tes deux mains, tu traversais l'ombre des cimes. Ton regard était comparable à celle d'une bête, fonçant sur le malheureux gibier qui cherchait à lui échapper. Peut-être t'avait-il sous-estimé à cet instant précis, mais il oubliait une chose : ton sabre a toujours été ta meilleure arme.
Il ne restait pas plus deux mètres avant que tu ne puisses trancher le malin. Un espace suffisamment court pour te préparer. Resserrant fermement tes mains sur la poigne de ton katana, tu orientas ta lame vers l'extérieur, prêt pour cette ultime joute. Tu observas attentivement, cherchant la moindre faille dans ses mouvements. À aucun moment, son visage se tourna vers toi, sans doute était-il bien trop concentré à l'idée de terrasser Genichiro. Une erreur qui lui coûterait cher.
Dans son acrobatie, tu vis un premier coup partir. Par chance, ou par maladresse, Gen esquiva le premier assaut. Ta lame bascula dès lors sur ton flanc gauche, tandis que Kagami exécuta un coup de pied magistrale qui eut raison de Gen. Une fraction de seconde plus tard, tu étais là. L'acier de ta lame fusa à travers l'espace, exécutant une tranche en diagonale visant directement la jambe qui avait une seconde auparavant touché la tête du shinigami de la septième. Avant même qu'il ne puisse reprendre ses appuis, tu ferais en sorte de trancher net cette jambe.
Tandis que ton zanpakuto termina sa course sanglante dans les airs, au-dessus de tes épaules, tu ramenas ta seconde main sur la poignée, tenant fermement ton sabre au-dessus de ta tête. Les jambes en appuis, tu t'apprêtas à exécuter une frappe mortelle sur le jeune Kagami. Tu ne savais pas vraiment ce qui pouvait bien se passer devant, ne pouvant pas voir au travers de son dos, mais tu t'en fichais éperdument, une seule chose importée : toucher ta cible.
Telle l'épée de Damoclès, ta lame pourfendis les cieux, frappant l'épaule associé à sa main directrice, celle-là même qui devait sans aucun doute tenir son katana. Tu lui avais promis de lui découper les deux bras, tu ne t'arrêterais donc pas ici. Tu pourrais sans doute ajouter une jambe à l'équation, un bonus pour t'avoir forcé à courir.
- Résumé:
Attraits utilisés : Soldat
Zen décide sans perdre de temps de poursuivre Kagami. Etant donné que la distance a parcourir n'est pas vraiment importante, il parvient à talonner Kagami, bien qu'ayant un léger retard. Il voit la première feinte partir et le coup de pied atteindre Gen, sans avoir le temps de réagir. Il arrive lorsque Kagami vient de finir son premier coup, tranchant de sa lame cette même jambe qui a frappé Gen, juste avant qu'il ne puisse la reposer au sol (ou après, comme vous préférez).
Dans un second temps, il ramène sa lame au dessus de sa tête et profite de l'immobilisation réalisé par Gen pour trancher le bras de Kagami, ce même bras qui est immobilisé par ce cher officier de la septième division.
Bonne chance.
Inventaire :
- 1 Plastron
- 1 Renfort Bras (Endommagé)
- 1 Renfort Jambe
- 1 Kit Fumigène/Poudre Noir/Bombe Flash
Invité Invité
Re: Fable n°2 : Odyssée millénaire - Mer 17 Fév - 23:51
Odyssée millénaire
聞いて下さい
Atteignant avec brio son adversaire, Kagami termine sa rotation, sentant son coup de pied se loger dans le visage de son adversaire, prêt à pourfendre son adversaire. Tout se passa très rapidement, il l’avait senti, il l’avait touché, cette fois si son attaque avait fait mouche. Il pourrait enfin se concentrer Zen’ichiro, potentiellement très dangereux… Mais il n’avait aucun doute, avec ses capacités physiques, il savait qu’il ne perdrait pas dans un face à face.
Regardant sa lame, Kagami finit par se rendre compte qu’elle n’était pas logée dans la partie souhaitée, son adversaire avait brillamment esquiver, au dernier moment, afin que cette attaque encaissée ne soit pas mortelle. Il était fort, l’Itsuwari n’aurait clairement pas dû le sous-estimer. Tout comme il n’aurait pas dû sous-estimer la menace qui se trouvait dans son dos, et qui s’était décidé à passer à l’action. Une vive douleur lui traversa la cuisse, il sentit sa chair se faire sauvagement déchirer par l’assaut de ce sauvage.
Il prit une profonde respiration… Il était beaucoup trop sûr de lui depuis le début, il n’affrontait pas n’importe qui. Zen’ichiro était un officier, quant à son allié… sa volonté de vivre était respectable. Ce sentiment de peur, qui avait surgi dans l’esprit de Kagami, fut rapidement étouffé… Par une rage froide. Maîtrisée. Il savait pourquoi il se battait, il savait pourquoi il devait gagner.
Alors que l’homme qu’il croyait avoir tué usa de ses forces, de sa volonté que Kagami avait décéler, dans l’unique but de restreindre les mouvements de celui-ci. Réagissant à sa saisie, la jambe valide de Kagami prit appui dans le sol pour permettre au Shinigami de se mouvoir, avant de se placer derrière celles de son adversaire. Sa tête s'avança soudainement pour aller se confronter à celle de son adversaire, encore sonné dans un coup de tête.
— Tu… Tu ne m’arrêteras pas.
Son but était simple, le faire reculer le plus loin possible, le faire tomber, ajoutant sa charge à son attaque frontale, sa main libre, resserrer sur le sabre rejoignit sa comparse dans un nouveau mouvement de tranche. Il n’allait pas lui laisser cette chance, maintenant que son sabre était planté, il allait faire en sorte que celui-ci s’installe confortablement dans chaque partie de l’estomac de son vis-à-vis. Remonter plus haut… Atteindre le foie, le pancréas, et chaque organe présent dans cet estomac. Une lame s'abattit alors dans le dos de son épaule… Mais peu importe la douleur, il se devait de continuer.
— Personne ne m’arrêtera.
Si celui-ci venait à reculer suffisamment, voire à faillir, les deux hommes enchaîneraient alors une suite de roulade, lâchant la main que son adversaire n’avait pas saisi pour qu’elle se raccroche à son ennemi… Unis pour le meilleur comme pour le pire, par l’arme, le sang, les poings et la volonté. Jusqu’à réussir à sortir de cette zone, restreignant les capacités des Shinigamis. Lui qui voulait en tant en sortir, il allait finalement y arriver… Quant à Zen, tenter de taillader un homme roulant au sol n’allait pas être des plus faciles, surtout qu’il prenait le risque d’atteindre son allié. Il n’avait aucunement honte, il se protégeait avec le corps de Genichiro.
Continuant de rouler, Kagami se contenta de se rattraper habilement en prenant appui sur sa jambe valide, autant que sur son arme pour se remettre debout.
Plaçant son arme dans une garde aussi parfaite qu’il le pouvait, les yeux de Kagami continuaient de brûler d’une vive lueur, lueur qui prouvait son envie de vivre.
- Spoiler:
- Etat : Jambe en piètre état et dos de l'épaule transpercé.
Attrait utilisé : Vélocité/Pugilat/Soldat/Shikai
Résumé : Kagami subit de plein fouet la tranche à la jambe, qui ne la lui tranche pas mais l'handicape sérieusement. Au moment ou Genichiro le saisi, il prends appui sur jambe valide avant de le charger et de lui envoyer un coup de boule, tentant de le faire chavirer, tout en aggravant les blessures que son sabre à déjà causé en tentant de le déplacer vers ses points vitaux (foie, pancréas) dans le but de le tuer. En avançant, il limite la tranche de Zen au dos de son épaule, mais est quand même pas mal atteint. Kagami continue alors, jusqu'à faire chavirer Gen, s'accrochant à lui de sa main valide pour rouler le plus loin possible, avant de se relever prenant appui sur son épée avant de la reprendre et de se remettre en garde.
Grade : Membre
Membre
Itsuwari Kagami le Prévoyant
Re: Fable n°2 : Odyssée millénaire - Sam 20 Fév - 1:11
Le froid de la lame envahit ton être. La Mort venait tout juste de déposer sa main hideuse sur ton épaule. Tu pouvais la sentir, omniprésente autour de ton âme meurtri, attendant patiemment son tour pour s'abattre dans un fracas d’une violence rare et inespérée. Cette épée de Damoclés sordide, tu la contemples avec peur. Tu ne veux pas que ton essence vitale soit drainée de ce monde, encore une fois. Les cloches annonçant ton arrivée auront bon retentir, tu te jure, dans une veine promesse à toi-même, de ne jamais rejoindre ce Havre des Esprits. Ce péché d’orgueil si humain. Serais-tu en train de te rapprocher de l’homme que tu étais avant ta première mort ?
Les dérivations sempiternelles de ton esprit hâve se courbent et s’éteignent face à la douleur qui ne cesse de croître. Ton visage se crispe. Ton cœur s'accélère. Tes muscles se contractent. L’entièreté de ton corps se retrouve sur la qui-vive. La lumière de l’astre dominant le plafond du Royaume des Hommes t’agresse, le moindre gazouilli d'oiseaux est exacerbé, rendant le tout intenable. Tu n’as qu’une envie, abdiquer.
Pourtant, en plongeant tes iris dans le regard de ton détracteur, tu comprends que la défaite ne peut, en aucun cas, être envisageable. Cette stèle, maux de toutes ses complications, ne doit pas terminer dans les mains de cette hétaïre. Le refuge des âmes se verrait emputé d’un savoir au potentiel infini tout cela pour nourrir les desseins égoïstes d’un simple Shinigami. Tu ne peux tolérer un tel affront.
Avec un poigne d’acier, tu serres de toutes tes forces disponibles le bras qui t’as transpercé. Lorsque la douleur transcende ta raison, tu ne rêves que d’une chose, pouvoir arracher toi-même ce bras de son propriétaire. Quelle jouissance inquantifiable tu ressentirais si une telle chose pouvait se produire. Hélas pour toi, tu ne peux qu’être spectateur de ta propre impuissance. Agrippant avec fermeté cette main diabolique, tu aperçois, dans l’ombre, le spadassins des tempêtes frapper de toute sa splendeur, assénant un coup décisif à cette jambe qui venait tout juste de marteler ta tête. Un rictus d’amusement apparut brièvement sur ton visage. Tu ne pouvais que te délecter de cette blessure.
Promptement, l’auto-proclamé maître de la stèle s’appuie sur sa seule jambe valide pour tenter d’asséner un coup de tête massif dans ta direction. Malheureusement pour lui, sa vélocité venait d’en prendre un coup, et malgré les afflictions qui animent ton âme, tu déportes le haut de ton corps, te dérobant ainsi de l’attaque initiale. Tu te crois sortie d'affaires, lorsque le déchirement de ton corps s’intensifie. Ton simple mouvement, guidé par tes réflexes, déplaça la lame un peu plus dans tes entrailles, bien aidé par ton opposant. Très vite, tes muscles se contractent encore un peu plus, bloquant le bras baladeur désirant à tout prix ta mort.
Malgré ta détermination, tu sens tes forces te quitter peu à peu et ton corps ne peut qu’accepter ce déclin inévitable. Tu poses un genoux à terre suite à cette brève passe d’arme et lâche légèrement prise. Un détail minime que ton adversaire s’empressera de saisir pour se dégager de cette situation qu’il a lui-même provoquée. Tes mains s'agrippent comme elles peuvent pour retenir le bougre qui transcende la douleur avec nonchalance. Néanmoins, retirer un sabre totalement enfoncé dans un corps sur un seul appui en ayant subi un autre coup d’épée dans le dos ne se fera pas sans un temps important que le Mande-Tempête s’empressera de saisir.
Les dérivations sempiternelles de ton esprit hâve se courbent et s’éteignent face à la douleur qui ne cesse de croître. Ton visage se crispe. Ton cœur s'accélère. Tes muscles se contractent. L’entièreté de ton corps se retrouve sur la qui-vive. La lumière de l’astre dominant le plafond du Royaume des Hommes t’agresse, le moindre gazouilli d'oiseaux est exacerbé, rendant le tout intenable. Tu n’as qu’une envie, abdiquer.
Pourtant, en plongeant tes iris dans le regard de ton détracteur, tu comprends que la défaite ne peut, en aucun cas, être envisageable. Cette stèle, maux de toutes ses complications, ne doit pas terminer dans les mains de cette hétaïre. Le refuge des âmes se verrait emputé d’un savoir au potentiel infini tout cela pour nourrir les desseins égoïstes d’un simple Shinigami. Tu ne peux tolérer un tel affront.
Avec un poigne d’acier, tu serres de toutes tes forces disponibles le bras qui t’as transpercé. Lorsque la douleur transcende ta raison, tu ne rêves que d’une chose, pouvoir arracher toi-même ce bras de son propriétaire. Quelle jouissance inquantifiable tu ressentirais si une telle chose pouvait se produire. Hélas pour toi, tu ne peux qu’être spectateur de ta propre impuissance. Agrippant avec fermeté cette main diabolique, tu aperçois, dans l’ombre, le spadassins des tempêtes frapper de toute sa splendeur, assénant un coup décisif à cette jambe qui venait tout juste de marteler ta tête. Un rictus d’amusement apparut brièvement sur ton visage. Tu ne pouvais que te délecter de cette blessure.
Promptement, l’auto-proclamé maître de la stèle s’appuie sur sa seule jambe valide pour tenter d’asséner un coup de tête massif dans ta direction. Malheureusement pour lui, sa vélocité venait d’en prendre un coup, et malgré les afflictions qui animent ton âme, tu déportes le haut de ton corps, te dérobant ainsi de l’attaque initiale. Tu te crois sortie d'affaires, lorsque le déchirement de ton corps s’intensifie. Ton simple mouvement, guidé par tes réflexes, déplaça la lame un peu plus dans tes entrailles, bien aidé par ton opposant. Très vite, tes muscles se contractent encore un peu plus, bloquant le bras baladeur désirant à tout prix ta mort.
Malgré ta détermination, tu sens tes forces te quitter peu à peu et ton corps ne peut qu’accepter ce déclin inévitable. Tu poses un genoux à terre suite à cette brève passe d’arme et lâche légèrement prise. Un détail minime que ton adversaire s’empressera de saisir pour se dégager de cette situation qu’il a lui-même provoquée. Tes mains s'agrippent comme elles peuvent pour retenir le bougre qui transcende la douleur avec nonchalance. Néanmoins, retirer un sabre totalement enfoncé dans un corps sur un seul appui en ayant subi un autre coup d’épée dans le dos ne se fera pas sans un temps important que le Mande-Tempête s’empressera de saisir.
- HRP:
- Etat : Légèrement encore sonné, ventre transpercé++.
Attrait utilisé : Danseur
Résumé : Alors, selon ma vision de tout ceci, Gen esquive le coup de boule [Danseur] (pour la charge, je vous laisse juger, dans tous les cas sur un unique appuie cela ne va pas être une grosse charge, même si elle conditionne l’esquive du deuxième coup de Zen si j’ai bien compris). Ce mouvement d’esquive aggrave sa blessure, aidé par Kagami qui tente d’orienter la lame vers un point vital (d’où le ++ dans l’état). Pour moi, vu que tu n’as pas indiqué d’attrait particulier sur la Force et que nous sommes tous les deux blessés, j’estime que nos forces s’annulent donc le sabre ne bouge pas des masses quoi. Suite à cela, la douleur s’intensifie forcément, faisant poser le genou de Gen à terre, qui desserre partiellement son emprise. Pour la partie roulade tout ça tout ça, j’ai rien précisé, mais faire tout ça sur une jambe + extraire le sabre de ma personne, ça ouvre des opportunités pour le Tacleur Fou donc je laisse Zen gérer cette partie.
Same as usual, s’il y a le moindre problème sur mon post, on en discute dans le canal adéquat et je ferais les potentielles modifications en conséquence.
La bise.
Énergie Spirituelle : 52
Résistance : 193
Combat : 42
Dégâts : 25
Combat magique : 185
Kido : 369
Zanpakuto : 394
Résilience : 17
Sensorialité : 34
Grade : Lieutenant
Résistance : 193
Combat : 42
Dégâts : 25
Combat magique : 185
Kido : 369
Zanpakuto : 394
Résilience : 17
Sensorialité : 34
Grade : Lieutenant
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Lieutenant
Ryuzoji Genichiro le Surarchimaîtremage
Re: Fable n°2 : Odyssée millénaire - Sam 20 Fév - 20:35
FABLE N°2 : ODYSSÉE MILLÉNAIRE
聞いて下さい
Reprenant ton souffle après cette ultime tranche, tu observas la scène se déroulant devant tes yeux, tandis que ton visage se marqua du sang de ton ennemi. Les deux mains sur ton sabre, tu ramènes la lame à tes côtés, prêt à enchaîner un énième coup dans le cas où Kagami t'y forcerait. Était-ce suffisant ? Ou devais-tu réellement l'imputer de chacun de ses membres ? Tu n'hésiterais pas à lui briser même la mâchoire s'il le fallait, tant ce dernier semblait hargneux. Aucun Yokai n'avait montré autant de résistance, une chose était sûr, il semblait déterminé... Mais serait-ce suffisant ? Tu t'inquiétais d'avantages pour le sort de ce shinigami de la septième division, dont l'état de santé semblait plus dramatique.
Tu soupiras, faisant légèrement descendre ton rythme cardiaque : tu le savais, la concentration était importante dans ces moments où la vie pouvait être arrachée à la moindre seconde. Tu ne devais perdre aucune miette de ta sérénité et analyser chaque action se dessinant sous tes yeux. Tu avais une position plus qu'avantageuse et quoi qu'il arrive, tu sortirais vainqueur. En revanche, tu te devais d'éviter les dommages inutiles.
Soudainement, tu aperçus Gen s'effondrer. Kagami prit l'avantage pour amener ce dernier au sol, ce qui commença légèrement à t'agacer. Il était bien trop tenace pour toi, tu ne pouvais le laisser continuer plus longtemps. Autour de toi, tu pouvais sentir de fines particules d'énergie spirituelle... Encore trop maigre pour être exploité, tu comprenais en revanche que la limite de la zone n'était plus si loin que cela. Une chance pour toi, qui pourrait tirer profit de la situation pour neutraliser Kagami avant de t'échapper de cette endroit.
Tu n'avais pas l'intention de le laisser agir aussi simplement. Posant ta jambe sur celle que tu venais de lui trancher, tu cherchas avant tout à l'immobiliser. Ton pied vint alors s'écraser de tout ton poids, profitant de l'armure, pour plaquer sa cheville au sol. Ta lame bascula sur ta gauche, tranchant vers le haut. D'un coup net et rapide, tu vins sectionner l'épaule gauche du renégat, faisant traverser l'acier de ta lame au travers de son épiderme. Une nouvelle effusion de sang marqua la scène, venant entacher tes vêtements et ton visage. Tu fis basculer ton sabre, profitant du mouvement pour prendre de l'élan et faire retomber le pommeau du katana directement sur sa tempe droite. Tu avais bien l'intention de l'assommer et en finir avec ce dernier.
"Tu as au moins le mérite d'être coriace."
D'un coup de pied dirigé dans les côtes de Kagami, tu le fis basculer sur le côté pour dégager son emprise sur Gen. Tu avais désormais un nouvel objectif : faire survivre ce shinigami qui n'avait rien demandé à personne et qui frôlé désormais la mort. Poussant le traître sur le côté, tu le fis tomber sur le dos, transperçant de ton zanpakuto son coude intérieur droit, venant ainsi l'accrocher avec la terre ferme, pour t'assurer qu'il ne puisse pas se relever de si tôt. Les deux épaules tranchées ainsi qu'une jambe inutilisable, tu n'avais pas de grandes craintes à voir, mais tu préférais rester prudent pour l'instant.
Tu agrippas le bras de Gen, le tirant légèrement vers toi pour le relever, prenant soin de conserver la lame du shinigami au cœur de sa plaie, de sorte à ne pas faire couler plus de sang que nécessaire. Haletant, tu extirpas Gen de la zone, t'arrêtant à la lisière de cette dernière et déposant l'officier contre un arbre.
"Tu as une chance incommensurable, nous sommes sur les terres de la dixième division. On a encore une carte à jouer pour te sortir de là."
Te redressant, tu observas le ciel, dirigeant les deux paumes de ta main vers ce dernier. Tu pouvais enfin le sentir : l'énergie spirituelle circulait de nouveau au sein de tes veines.
"Panséléne nimbée. Astre scellé. Les ténèbres jaillissent et enfantent du succédané abâtardi. Hadō n°21 : Sekienton !"
Une fumée rouge écarlate pris forme au creux de tes mains, se rependant au travers du ciel comme l'aurait fait un fumigène. Tu avais l'intention d'alerter tes confrères, dans l'espoir qu'une équipe arrive à temps pour secourir Gen. Tu n'avais rien d'un shinigami médecin, mais en revanche, tu avais la chance d'appartenir à un corps de shinigami spécialisé dans le Kido.
Tes bras redescendirent au niveau de tes hanches, tandis que tu pris une nouvelle inspiration avant de commencer une nouvelle incantation.
"À l'ombre du piédestal surgit l'espoir. Hommes et esprits côtoient les trente-six vues immortelles. Hadō n°28 : Kiryuu !"
Ton bras droit se leva, dessinant un mouvement vertical qui provoqua une bourrasque de vent importante vers la cime des arbres. Dirigeant ainsi la fumée de façon quelque peu barbare, tu formas une colonne rougeâtre qui pouvait, du moins tu l'espères, être perceptible à longue distance.
"Milliers d'étoiles soumis au cœur du Tout. La couverture balaie les pions de l'échiquier. Kidō n°5 : Jigokuchō !"
Tu invoquas finalement un papillon de l'enfer, commençant rapidement à décrire la situation sans t'attarder sur le moindre détail. Tu te contentas simplement de décliner ton identité et d'expliquer qu'un officier avait un besoin de toute urgence de soin, décrivant la fumée rouge comme point de rencontre. Tu laissas ainsi s'envoler la créature dans les cieux, priant pour que tout ceci serve à quelque chose. Tu te rapprochas finalement de Kagami, prenant appui sur ton sabre toujours enfoncé dans son bras. Extirpant ce dernier, tu agrippas le rebelle pour le traîner hors de la zone. Même s'il ne représentait plus une véritable menace, tu ne pouvais lui offrir la moindre chance de s'enfuir, ou pire, d'achever son œuvre.
"Ton erreur aura été de m'avoir sous-estimé. Estime-toi heureux, pour l'heure, tu conserveras tes bras et tes jambes, bien qu'ils ne te serviront plus avant un long moment. Tâche de ne pas te vider de ton sang trop vite, je n'en ai pas fini avec toi."
Jetant sa carcasse contre le sol, tu déposas l'un de tes pieds sur son torse, comprimant ses voies respiratoires. De ta main droite, tu dessinas au rythme de tes mots un triangle à l'horizontal, au-dessus de son corps.
"Nocher sommé, vérité exilée, oboles dilapidées. L'apocryphe vrombit. Bakudō n°30 : Shitotsu Sansen !!"
Trois pointes de lumières vinrent s'écraser sur l'ex-shinigami, le bloquant contre le sol. Ta lame toujours dirigée vers sa gorge, tu attendais désormais l'arrivée d'éventuels secours, espérant que tout soit enfin terminé.
Tu soupiras, faisant légèrement descendre ton rythme cardiaque : tu le savais, la concentration était importante dans ces moments où la vie pouvait être arrachée à la moindre seconde. Tu ne devais perdre aucune miette de ta sérénité et analyser chaque action se dessinant sous tes yeux. Tu avais une position plus qu'avantageuse et quoi qu'il arrive, tu sortirais vainqueur. En revanche, tu te devais d'éviter les dommages inutiles.
Soudainement, tu aperçus Gen s'effondrer. Kagami prit l'avantage pour amener ce dernier au sol, ce qui commença légèrement à t'agacer. Il était bien trop tenace pour toi, tu ne pouvais le laisser continuer plus longtemps. Autour de toi, tu pouvais sentir de fines particules d'énergie spirituelle... Encore trop maigre pour être exploité, tu comprenais en revanche que la limite de la zone n'était plus si loin que cela. Une chance pour toi, qui pourrait tirer profit de la situation pour neutraliser Kagami avant de t'échapper de cette endroit.
Tu n'avais pas l'intention de le laisser agir aussi simplement. Posant ta jambe sur celle que tu venais de lui trancher, tu cherchas avant tout à l'immobiliser. Ton pied vint alors s'écraser de tout ton poids, profitant de l'armure, pour plaquer sa cheville au sol. Ta lame bascula sur ta gauche, tranchant vers le haut. D'un coup net et rapide, tu vins sectionner l'épaule gauche du renégat, faisant traverser l'acier de ta lame au travers de son épiderme. Une nouvelle effusion de sang marqua la scène, venant entacher tes vêtements et ton visage. Tu fis basculer ton sabre, profitant du mouvement pour prendre de l'élan et faire retomber le pommeau du katana directement sur sa tempe droite. Tu avais bien l'intention de l'assommer et en finir avec ce dernier.
"Tu as au moins le mérite d'être coriace."
D'un coup de pied dirigé dans les côtes de Kagami, tu le fis basculer sur le côté pour dégager son emprise sur Gen. Tu avais désormais un nouvel objectif : faire survivre ce shinigami qui n'avait rien demandé à personne et qui frôlé désormais la mort. Poussant le traître sur le côté, tu le fis tomber sur le dos, transperçant de ton zanpakuto son coude intérieur droit, venant ainsi l'accrocher avec la terre ferme, pour t'assurer qu'il ne puisse pas se relever de si tôt. Les deux épaules tranchées ainsi qu'une jambe inutilisable, tu n'avais pas de grandes craintes à voir, mais tu préférais rester prudent pour l'instant.
Tu agrippas le bras de Gen, le tirant légèrement vers toi pour le relever, prenant soin de conserver la lame du shinigami au cœur de sa plaie, de sorte à ne pas faire couler plus de sang que nécessaire. Haletant, tu extirpas Gen de la zone, t'arrêtant à la lisière de cette dernière et déposant l'officier contre un arbre.
"Tu as une chance incommensurable, nous sommes sur les terres de la dixième division. On a encore une carte à jouer pour te sortir de là."
Te redressant, tu observas le ciel, dirigeant les deux paumes de ta main vers ce dernier. Tu pouvais enfin le sentir : l'énergie spirituelle circulait de nouveau au sein de tes veines.
"Panséléne nimbée. Astre scellé. Les ténèbres jaillissent et enfantent du succédané abâtardi. Hadō n°21 : Sekienton !"
Une fumée rouge écarlate pris forme au creux de tes mains, se rependant au travers du ciel comme l'aurait fait un fumigène. Tu avais l'intention d'alerter tes confrères, dans l'espoir qu'une équipe arrive à temps pour secourir Gen. Tu n'avais rien d'un shinigami médecin, mais en revanche, tu avais la chance d'appartenir à un corps de shinigami spécialisé dans le Kido.
Tes bras redescendirent au niveau de tes hanches, tandis que tu pris une nouvelle inspiration avant de commencer une nouvelle incantation.
"À l'ombre du piédestal surgit l'espoir. Hommes et esprits côtoient les trente-six vues immortelles. Hadō n°28 : Kiryuu !"
Ton bras droit se leva, dessinant un mouvement vertical qui provoqua une bourrasque de vent importante vers la cime des arbres. Dirigeant ainsi la fumée de façon quelque peu barbare, tu formas une colonne rougeâtre qui pouvait, du moins tu l'espères, être perceptible à longue distance.
"Milliers d'étoiles soumis au cœur du Tout. La couverture balaie les pions de l'échiquier. Kidō n°5 : Jigokuchō !"
Tu invoquas finalement un papillon de l'enfer, commençant rapidement à décrire la situation sans t'attarder sur le moindre détail. Tu te contentas simplement de décliner ton identité et d'expliquer qu'un officier avait un besoin de toute urgence de soin, décrivant la fumée rouge comme point de rencontre. Tu laissas ainsi s'envoler la créature dans les cieux, priant pour que tout ceci serve à quelque chose. Tu te rapprochas finalement de Kagami, prenant appui sur ton sabre toujours enfoncé dans son bras. Extirpant ce dernier, tu agrippas le rebelle pour le traîner hors de la zone. Même s'il ne représentait plus une véritable menace, tu ne pouvais lui offrir la moindre chance de s'enfuir, ou pire, d'achever son œuvre.
"Ton erreur aura été de m'avoir sous-estimé. Estime-toi heureux, pour l'heure, tu conserveras tes bras et tes jambes, bien qu'ils ne te serviront plus avant un long moment. Tâche de ne pas te vider de ton sang trop vite, je n'en ai pas fini avec toi."
Jetant sa carcasse contre le sol, tu déposas l'un de tes pieds sur son torse, comprimant ses voies respiratoires. De ta main droite, tu dessinas au rythme de tes mots un triangle à l'horizontal, au-dessus de son corps.
"Nocher sommé, vérité exilée, oboles dilapidées. L'apocryphe vrombit. Bakudō n°30 : Shitotsu Sansen !!"
Trois pointes de lumières vinrent s'écraser sur l'ex-shinigami, le bloquant contre le sol. Ta lame toujours dirigée vers sa gorge, tu attendais désormais l'arrivée d'éventuels secours, espérant que tout soit enfin terminé.
- Résumé:
Attraits utilisés : Sorcier/Stratège
Le Kido c'est cool, le Kido c'est beau, venez à la Neuvième Division !
Pour résumer : Zen pose son pied sur la cheville de la jambe blessé de Kagami, l'immobilisant directement et l'empêchant de partir en roulade. Il lui tranche ensuite le bras gauche, l'entaillant au niveau de l'épaule pour l'empêcher d'utiliser ses bras. Il tente ensuite de l'assomer d'un coup de pommeau de son zanpakuto, en visant sa tempe. (profitant donc de l'immobilisation à la cheville).
Après quoi, Zen le repousse d'un coup de pied dans les côtes et lui empale le coude droit pour le bloquer au sol, dans le cas où il serait amené à se débattre. Il prend dès lors en charge Gen, maintenant le katana de Kagami dans la plaie pour éviter une effusion de sang et le traîne hors zone (soit environ deux mètre à parcourir). Il dépose ce dernier contre un arbre et exécute trois kido : le premier pour former un nuage de fumée rouge, un second pour créer un courant ascendant et diriger la fumée dans le ciel et le troisième, qui n'est autre que le papillon de l'enfer pour avertir de façon très succinct les secours de la 10eme division, en charge de la région.
Et dans un troisième temps, il retourne voir Kagami, l'extirpe lui aussi de la zone et l'immobilise avec un kido (le shitotsu sansen) contre le sol. Après quoi, il attend sagement l'arrivée des renforts.
Inventaire :
- 1 Plastron
- 1 Renfort Bras (Endommagé)
- 1 Renfort Jambe
- 1 Kit Fumigène/Poudre Noir/Bombe Flash
Invité Invité
Re: Fable n°2 : Odyssée millénaire - Dim 21 Fév - 21:14
Sennen no Taisaku
千年の大作
La folie des Hommes traverse les âges. Face au mystère, bien des esprits peuvent se braquer. Face au pouvoir, bien des appétits peuvent être creusés. Si les trois passeurs d'âme avaient été choisi par la Stèle, ça n'était pas par coïncidence. Une conscience supérieure, enfermée, censurée, tirait les ficelles du destin pour conduire à cette rencontre. Et pour cause, à terme, le sang a coulé.
L'affrontement va de mal en pis. Privés d'énergie spirituelle, vous n'êtes plus que de pâles copies de vous-mêmes. De simples enveloppes charnelles, dénuées d'âme, soumises à ses bas instincts de primate. Vous avez essayé de vous débattre, pourtant. Vos corps, abrutis par l'adrénaline, gigotaient dans tous les sens pour tirer leur épingle du jeu. Écrasé par un appât trop gros, le fratricide du Troisième Œil a essayé de mettre fin à vos jours pour se réserver cette découverte, et espérer toucher du bout des doigts un savoir oublié, synonyme de puissance. Mais ne vous a-t-on pas appris à ne pas réveiller ce qui dort ? Cette poursuite perpétuelle du savoir, de la Vérité, vous guide sur un sombre sentier allant remettre en question tous vos dogmes. Malgré vous, le cycle des âmes embraye sur une drôle de tournure, dont vous serez les premiers acteurs.
Tout ce sang versé, au prix de blessures sales, n'est pas abandonné au néant. Goutte par goutte, éclat après éclat, le sol immaculé se teinte de la couleur de la Vie. Ce qui était de nacre se met à rougir de honte ; derrière la végétation luxuriante se devine des sillons sur le sol couvert de l'arène castratrice. Doté d'une conscience propre, chaque globule se met à rouler comme un seul homme, remontant les lits de rivière asséché pour atteindre la Stèle. En plein débâcle, vous ne remarquez pas le processus. Pourtant, il s'effectue. Sans effort. D'un naturel effroyable. Jusqu'aux premières cicatrices écarlates balafrant la base de la Stèle. Au contact du Sekkiseki (殺気石, Pierre Spirituelle Réductrice), le rouge devient bleu ; le sang cumulé d'@Itsuwari Kagami et de @Ryuzoji Genichiro se mêlent en une parfaite symbiose, comme s'ils n'étaient qu'un.
@Itsuwari Kagami, tu es dos au mur. Le bras empalé par le zanpakutō de ton ancien confrère – si tu peux encore l'appeler comme ça – tu dois faire un choix. Attendre l'arrivée des renforts pour qu'ils te conduisent jusqu'au Seireitei pour ton exécution... ou arracher cette maudite lame qui te perfore, et te libérer de ta pauvre condition. Sous ton corps couché, tu sens la terre gronder. Quelque chose se manifeste. Tu aurais juré avoir vu une racine se mouvoir d'elle-même, sur ta droite. Cette fleur, là, à côté de toi, n'avait pas encore bourgeonné. Un doute te percute : est-ce pour cela que vous vous sentez si faibles ? Êtes-vous les premiers explorateurs à avoir découvert cette terre sacrée, ou les ultimes brebis sacrifiées pour maintenir le maléfice en place ?
Le fumigène de @Kamui Zen'ichiro atteint les cieux. Au terme de son deuxième aria, une vive bourrasque transporte le matériau volatile encore plus haut, dépassant la cime des arbres pour être visibles de tous. Tu as encore le temps de réagir, traître à ton sang, mais cela ne sera pas sans conséquence. Les secondes se raréfient. Une racine, reptile tellurique, s'empresse déjà de se tendre jusqu'à toi, jusqu'à ta jambe viciée, pour n'en épargner aucune goutte. Mais la nature n'a aucune limite. Tandis que le Mande-Tempêtes scande ses palabres au gré du vent, tu vois les mêmes racines de Damoclès se rapprocher de l'Officier de l'Ordre Mnémonique. Les branches de l'arbre sur lequel il est posé commence à craqueler. Même en dehors de la zone... la manifestation de la Stèle continue son effort. Vous avez déclenché un processus qui ne peut être arrêté.
Au cœur de la Stèle, la partie manquante se gorge de sang bleu pour afficher la Vérité. L'entité gagne en détails : sa forme est ovale, et est frappée de l'emblème... d'un phénix ? Il est évident qu'il est possible d'y glisser quelque chose. Peut-être est-ce le pommeau d'un asauchi ?
Les runes cryptiques de la Stèle répondent de concert au mécanisme provoqué. Le sang bleu corrige le premier jet gravé dans le Sekkiseki pour apporter un nouveau degré de lecture. Mais que pourrait-ce bien être ? Une phrase d'appel ? Un mot de passe ? Un nom ?
⬩ ⬩ ⬩
L'affrontement va de mal en pis. Privés d'énergie spirituelle, vous n'êtes plus que de pâles copies de vous-mêmes. De simples enveloppes charnelles, dénuées d'âme, soumises à ses bas instincts de primate. Vous avez essayé de vous débattre, pourtant. Vos corps, abrutis par l'adrénaline, gigotaient dans tous les sens pour tirer leur épingle du jeu. Écrasé par un appât trop gros, le fratricide du Troisième Œil a essayé de mettre fin à vos jours pour se réserver cette découverte, et espérer toucher du bout des doigts un savoir oublié, synonyme de puissance. Mais ne vous a-t-on pas appris à ne pas réveiller ce qui dort ? Cette poursuite perpétuelle du savoir, de la Vérité, vous guide sur un sombre sentier allant remettre en question tous vos dogmes. Malgré vous, le cycle des âmes embraye sur une drôle de tournure, dont vous serez les premiers acteurs.
Tout ce sang versé, au prix de blessures sales, n'est pas abandonné au néant. Goutte par goutte, éclat après éclat, le sol immaculé se teinte de la couleur de la Vie. Ce qui était de nacre se met à rougir de honte ; derrière la végétation luxuriante se devine des sillons sur le sol couvert de l'arène castratrice. Doté d'une conscience propre, chaque globule se met à rouler comme un seul homme, remontant les lits de rivière asséché pour atteindre la Stèle. En plein débâcle, vous ne remarquez pas le processus. Pourtant, il s'effectue. Sans effort. D'un naturel effroyable. Jusqu'aux premières cicatrices écarlates balafrant la base de la Stèle. Au contact du Sekkiseki (殺気石, Pierre Spirituelle Réductrice), le rouge devient bleu ; le sang cumulé d'@Itsuwari Kagami et de @Ryuzoji Genichiro se mêlent en une parfaite symbiose, comme s'ils n'étaient qu'un.
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@Itsuwari Kagami, tu es dos au mur. Le bras empalé par le zanpakutō de ton ancien confrère – si tu peux encore l'appeler comme ça – tu dois faire un choix. Attendre l'arrivée des renforts pour qu'ils te conduisent jusqu'au Seireitei pour ton exécution... ou arracher cette maudite lame qui te perfore, et te libérer de ta pauvre condition. Sous ton corps couché, tu sens la terre gronder. Quelque chose se manifeste. Tu aurais juré avoir vu une racine se mouvoir d'elle-même, sur ta droite. Cette fleur, là, à côté de toi, n'avait pas encore bourgeonné. Un doute te percute : est-ce pour cela que vous vous sentez si faibles ? Êtes-vous les premiers explorateurs à avoir découvert cette terre sacrée, ou les ultimes brebis sacrifiées pour maintenir le maléfice en place ?
Le fumigène de @Kamui Zen'ichiro atteint les cieux. Au terme de son deuxième aria, une vive bourrasque transporte le matériau volatile encore plus haut, dépassant la cime des arbres pour être visibles de tous. Tu as encore le temps de réagir, traître à ton sang, mais cela ne sera pas sans conséquence. Les secondes se raréfient. Une racine, reptile tellurique, s'empresse déjà de se tendre jusqu'à toi, jusqu'à ta jambe viciée, pour n'en épargner aucune goutte. Mais la nature n'a aucune limite. Tandis que le Mande-Tempêtes scande ses palabres au gré du vent, tu vois les mêmes racines de Damoclès se rapprocher de l'Officier de l'Ordre Mnémonique. Les branches de l'arbre sur lequel il est posé commence à craqueler. Même en dehors de la zone... la manifestation de la Stèle continue son effort. Vous avez déclenché un processus qui ne peut être arrêté.
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Au cœur de la Stèle, la partie manquante se gorge de sang bleu pour afficher la Vérité. L'entité gagne en détails : sa forme est ovale, et est frappée de l'emblème... d'un phénix ? Il est évident qu'il est possible d'y glisser quelque chose. Peut-être est-ce le pommeau d'un asauchi ?
Les runes cryptiques de la Stèle répondent de concert au mécanisme provoqué. Le sang bleu corrige le premier jet gravé dans le Sekkiseki pour apporter un nouveau degré de lecture. Mais que pourrait-ce bien être ? Une phrase d'appel ? Un mot de passe ? Un nom ?
HRP. Nous mettons fin au combat pour passer à autre chose. Nous considérons que le fumigène est visible de tous ceux présents sur l'île de Kyūshū, notamment la Panacée, qui pourra débarquer après le tour des trois premiers acteurs. Attention : Kagami et Genichiro doivent lutter contre une nouvelle épreuve : la nature veut les vider de leur sang. S'éloigner de la Stèle (bien plus loin que la zone blanche) peut être une méthode. Dans tous les cas, merci à vous trois pour ce combat. Grâce aux problèmes inhérents du Joueur contre Joueur, cela m'a permis de me conforter dans mon choix de politique. Je veillerai à ce que ce genre de scène ne survienne plus sans l'accord (en amont) de tous.
Grade : Désolation
Désolation
Volonté du Nihon
Re: Fable n°2 : Odyssée millénaire - Mer 24 Fév - 1:16
Odyssée Millénaire
聞いて下さい
Planté au sol, l’Itsuwari réfléchit… Comment pourrait-il arriver à se sortir de cette situation, il ne pouvait pas se permettre de rester ainsi… Au sol, attendant patiemment son exécution. Alors que Zen’ichiro s’éloignait progressivement de lui, l’Itsuwari rassembla ses forces restantes dans un aria. Sa main tremblait, son bras endolori… Mais il brava malgré tout son index, rampant vers la sortie de cette zone maléfique avant de pointer son index vers les cieux.
— Milliers d'étoiles... soumis au cœur... du Tout. Il cracha une de sang, mais son regard, sa volonté ne s’affaiblissait pas pour autant, au contraire. Il ne connaissait que ce seul sort alors avec le temps, il est normal, pour lui de savoir l’utiliser sur le bout des doigts. La couverture balaie les pions de l'échiquier.
Kidō n°5 : Jigokuchō - (地狱蝶, Papillon Infernal)
Un jigokucho créer de toute pièce se manifesta, répondant à l’appel de son invocateur pour s’atteler à la tâche qui allait lui être confiée. Faire parvenir ce message à Yozora Momo ainsi Kareki Chogen. Ces mots seraient peut-être les derniers qu’il pourrait dire, alors autant que ce soit envers des personnes ayant acquis sa confiance. Ses supérieurs, ceux avec lesquels il avait parlé, apprit à connaître.
Itsuwari Kagami a écrit:XXIV-XXV-X-XVII-X ▬ XXIV-X-VIII-XXIII-X-XXV-X ▬ XVI-IV-XXVI-XXIV-XIII-XXVI ▬ V-VI-XIX-XXI-VI-XVI-XXVI-XXV-XX
XX-XI-XI-XIV-VIII-XIV-X-XXII ▬ V-X-XIX-XIV-VIII-XIII-XIV-XXIII-XX ▬ XIV-XIX-IX-X-XXIV-XIV-XXIII-VI-VII-XVII-X
XXI-XXIII-X-XIX-X-V ▬ XVIII-X-XXIV-XXVI-XXIII-X-XXIV
Libérant ainsi la créature, celle-ci s’envola au gré du vent, se dissimulant à la vue de potentiels agresseurs par cette fumée annonciatrice de danger... le messager d’informations capitales s'en alla, prêt à délivrer les derniers mots, les derniers desseins de l'Itsuwari. Maintenant, il ne lui restait plus qu’à trouver un moyen de s’échapper. Luttant une nouvelle fois contre la douleur, Kagami, poussé par une extrême volonté de vivre, de survivre… Tendit sa main avant de la replier sur elle-même, attrapant cette lame qui le plantait au sol avant de la retirer dans un mouvement sauvage.
S’aidant de cette propre lame, qui lui avait fait tant de mal pour se relever, Kagami, éveillé par sa situation critique vu, cette branche se mouvoir de façon si singulière… La nature dansante semblait se réjouir de la situation des trois hommes… Combattant la nature du mieux qu’il pouvait, tranchant ces lianes avec cette nouvelle arme qu’il avait acquis, Kagami avait pour seul but de s’enfuir d’ici, disparaître… Si l'un des deux hommes avait le malheur de le poursuivre, Kagami ferait tout pour le ralentir lui aussi, quitte à se sacrifier.
Se vidant malgré tout de son sang, les blessures étaient beaucoup trop nombreuses. Mais ce n’était clairement pas ça qui allait le stopper. Si c’était de l’énergie qu'elle recherchait… Elle en aurait à foison, mais pas la sienne. Il n’hésiterait pas un seul instant à sacrifier ce nouveau Zanpakuto qu’il venait d’acquérir.
Ces sensations étaient si étranges, ce n’était qu’au bord de la mort, que Kagami se sentait plus vivant que jamais. Et s’il voulait continuer à ressentir cette grisante énergie qui parcourait son corps, il n’avait pas intérêt à mourir. Cette course serait la dernère, celle qui le mènera jusqu'à sa perte, ou qui le conduira à la victoire.
- Spoiler:
- Etat : Blessure à la jambes, omoplate droite et bras gauche. En perte de sang.
Attraits utilisés : Vélocité/Soldat
Résumé : Kagami rampe et sort de la zone blanche, envoie un Jigokucho à @Yozora Momo et @Kareki Chōgen qu'il tente de dissimuler par la fumée du Kido de Gen, avant de retirer l'épée qui était planté dans son dos, il court ensuite dans la direction opposée de celle ou se trouve zen (donc vers la stèle) pour éviter que les renforts ne lui viennent dessus. Il tranche la nature environnante du mieux qu'il peut tout en essayant de se barrer de la zone le plus vite possible malgré son état critique, si Zen ou Gen tente d'interrompre sa fuite, le combat se poursuivra malgré les assauts des plantes.
Grade : Membre
Membre
Itsuwari Kagami le Prévoyant
Re: Fable n°2 : Odyssée millénaire - Mer 24 Fév - 23:39
Fabulation drolatique d’une âme aliénée sur une terre désolée. Des machinations perfides prodiguées par un être complexe désirant amputer le monde de ses connaissances. Laisseras-tu l’obscurantisme prévaloir dans ce pandemonium sylvestre ? Deviens l’éternel flambeau subjuguant la pénombre abyssale par sa lumière immaculée. Transforme la volonté de ton âme en un puits intarissable rayonnant à travers le néant. Incarne la droiture et la justesse d’un membre de l’Ordre.
Les desseins les plus sombres amènent toujours dans leur sillage, les conséquences les plus lourdes. Même si l'on peut substituer le métal froid de lame à la conversation, les mots conserveront toujours leur panache, leur grandeur et leur pouvoir. Les adages demeurent le support de la compréhension et, pour ceux qui les écouteront, l'énonciation de la vérité. Cela représente l’essence même du moteur organique que tu prénommes corps. Sans ce carburant de l’esprit, tu n’es qu’une coquille vide, une âme creuse, semblable à celle qui fait ripaille de ton sang. Survie pour transmettre au monde, la Vérité.
Divine se révéla être l’intervention du bretteur des ouragans. Profitant de l’apanage émergent de ta résilience à ne pas lâcher ce bras, le Mande-Tempête s’exécute avec une barbarie gracieuse à faire envier les Premiers-Nés. L’hymne funeste dédiée à la cruauté démarre, alors, sa douce mélopée. Une symphonie des lames suivant un rythme soutenu provoquant l'inexorable blues escompté. Sur un tempo prestissimo, le spadassin bloque l’attaquant devenue victime au sol, profitant de ce moment de répit pour transporter la manifestation organique de ton existence. Douleur et tressaillement viennent envenimer ton corps égrotant. Tu termines ton modeste combat le dos appuyé sur ce résinifère, attendant impuissant la suite des événements.
Sous la fumée rougeâtre, prisonnière des courants ascendants, tu adresses un léger signe de tête suite à locution de ton salvateur. Un tel artifice s’élevant vers le plafond du monde interpellera sans aucun doute les garant de ces parcelles. Hélas, tes pupilles se focalisent sur un phénomène bien plus perturbant que ces émulsions de fumée.
Le sang foulant le sol ternis par les abstrus cabales s’anime d’une vitalité aussi surprenante qu'insoupçonnée. La moindre molécule du liquide écarlate se meut dans une danse onirique d’une beauté effrayante, ralliant alors l’instigatrice pierreuse des complications de cette entrevue. Tu compris bien trop tard que ce phénomène s’opérait déjà depuis un temps non négligeable et qu’il avait amorcé un processus en plus inquiétant.
Bafouée par les émulsions sanguines, la Nature, grandement encoublée, s’agita, libérant toute sa puissance tellurique. Alors que le sang devenu bleu révèle de nouveau détail de la Stèle que tu observes avec attention, tu remarques avec effroi que la lisière et l'extérieur de la zone drainante ne sont en rien un point de ralliement sécurisé. Dans les affres les plus déchirants, tu entreprends de te repositionner sur tes appuis, préparant l’inévitable fuite de ce lieu maudit par le divin en personne. Une main proche de ta blessure, tu rassembles ce qu’il te reste de force pour engager une course. Ton corps cacochyme encaisse avec peine le choc du moindre de tes pas sur la terre menaçante. Tu le sais, sans l’aide de ton salvateur, l’évasion sera délicate.
Du coin de l'œil, tu observes le factieux se débattre, envoyant un papillon infernal contenant probablement ces dernières paroles. Tu ne pouvais te préoccuper d’intercepter l’animal énergétique, mais peut-être que ton homologue Mande-Tempête en aurait la possibilité. Dès lors, analysant la course nonchalante du membre de la troisième, une pensée fugace traverse ton esprit. Il y a un principe simple de l'univers qui veut que chaque action crée une réaction égale et opposée. En ayant l’infâme envie de soustraire une vie de ce monde, il observera, bien assez tôt, qu’en ce jour, il vient tout juste de mourir dans ce cénotaphe architecturé de ses propres mains.
Abject excroissance tellurique venant rompre tes réflexions. Manifestation de l’indomptable colère naturelle, tu ne laisseras pas ton sang être happé de la sorte. Malgré ta cascatelle t’immobilisant au sol, tu ne comptes pas abdiquer sans rétorquer.
— Hadō n°12 : Setsu Byakurai !
Par l'immaculée blancheur de l’énergie pure émanant de ton index, tu oblitères ta poursuivante, profitant de ce moment pour te relever avec difficulté dû à ton énervation. Tu reprends ta course s’il on peut dire ainsi, conscient du danger qui se manifeste dans ton dos. Tu dois t’éloigner, le plus possible, qu’importe les moyens.
Les desseins les plus sombres amènent toujours dans leur sillage, les conséquences les plus lourdes. Même si l'on peut substituer le métal froid de lame à la conversation, les mots conserveront toujours leur panache, leur grandeur et leur pouvoir. Les adages demeurent le support de la compréhension et, pour ceux qui les écouteront, l'énonciation de la vérité. Cela représente l’essence même du moteur organique que tu prénommes corps. Sans ce carburant de l’esprit, tu n’es qu’une coquille vide, une âme creuse, semblable à celle qui fait ripaille de ton sang. Survie pour transmettre au monde, la Vérité.
Divine se révéla être l’intervention du bretteur des ouragans. Profitant de l’apanage émergent de ta résilience à ne pas lâcher ce bras, le Mande-Tempête s’exécute avec une barbarie gracieuse à faire envier les Premiers-Nés. L’hymne funeste dédiée à la cruauté démarre, alors, sa douce mélopée. Une symphonie des lames suivant un rythme soutenu provoquant l'inexorable blues escompté. Sur un tempo prestissimo, le spadassin bloque l’attaquant devenue victime au sol, profitant de ce moment de répit pour transporter la manifestation organique de ton existence. Douleur et tressaillement viennent envenimer ton corps égrotant. Tu termines ton modeste combat le dos appuyé sur ce résinifère, attendant impuissant la suite des événements.
Sous la fumée rougeâtre, prisonnière des courants ascendants, tu adresses un léger signe de tête suite à locution de ton salvateur. Un tel artifice s’élevant vers le plafond du monde interpellera sans aucun doute les garant de ces parcelles. Hélas, tes pupilles se focalisent sur un phénomène bien plus perturbant que ces émulsions de fumée.
Le sang foulant le sol ternis par les abstrus cabales s’anime d’une vitalité aussi surprenante qu'insoupçonnée. La moindre molécule du liquide écarlate se meut dans une danse onirique d’une beauté effrayante, ralliant alors l’instigatrice pierreuse des complications de cette entrevue. Tu compris bien trop tard que ce phénomène s’opérait déjà depuis un temps non négligeable et qu’il avait amorcé un processus en plus inquiétant.
Bafouée par les émulsions sanguines, la Nature, grandement encoublée, s’agita, libérant toute sa puissance tellurique. Alors que le sang devenu bleu révèle de nouveau détail de la Stèle que tu observes avec attention, tu remarques avec effroi que la lisière et l'extérieur de la zone drainante ne sont en rien un point de ralliement sécurisé. Dans les affres les plus déchirants, tu entreprends de te repositionner sur tes appuis, préparant l’inévitable fuite de ce lieu maudit par le divin en personne. Une main proche de ta blessure, tu rassembles ce qu’il te reste de force pour engager une course. Ton corps cacochyme encaisse avec peine le choc du moindre de tes pas sur la terre menaçante. Tu le sais, sans l’aide de ton salvateur, l’évasion sera délicate.
Du coin de l'œil, tu observes le factieux se débattre, envoyant un papillon infernal contenant probablement ces dernières paroles. Tu ne pouvais te préoccuper d’intercepter l’animal énergétique, mais peut-être que ton homologue Mande-Tempête en aurait la possibilité. Dès lors, analysant la course nonchalante du membre de la troisième, une pensée fugace traverse ton esprit. Il y a un principe simple de l'univers qui veut que chaque action crée une réaction égale et opposée. En ayant l’infâme envie de soustraire une vie de ce monde, il observera, bien assez tôt, qu’en ce jour, il vient tout juste de mourir dans ce cénotaphe architecturé de ses propres mains.
Abject excroissance tellurique venant rompre tes réflexions. Manifestation de l’indomptable colère naturelle, tu ne laisseras pas ton sang être happé de la sorte. Malgré ta cascatelle t’immobilisant au sol, tu ne comptes pas abdiquer sans rétorquer.
— Hadō n°12 : Setsu Byakurai !
Par l'immaculée blancheur de l’énergie pure émanant de ton index, tu oblitères ta poursuivante, profitant de ce moment pour te relever avec difficulté dû à ton énervation. Tu reprends ta course s’il on peut dire ainsi, conscient du danger qui se manifeste dans ton dos. Tu dois t’éloigner, le plus possible, qu’importe les moyens.
- HRP:
- Etat : Ventre transpercé++, sang qui s'échappe de la plaît, à bout de forces (Dernier tour conscient, après ça, on tire le rideau).
Attrait utilisé : Sorcier / Danseur
Kidô utilisé : Hadō n°12 : Byakurai
(白雷, Foudre Blanche)
Le praticien recueille une haute densité d'énergie spirituelle au bout de son index, qu'il pointe vers la cible à atteindre avant de décharger cet excès de pouvoir.
Résumé : Gen se lève, galère, tente de courir le plus loin possible de tout ça et tombe à cause d'une liane. Il envoie un Byakurai [Sorcier] sans arias [Horion] pour détruire la branche et reprendre sa course, conscient que sans aide, il va prendre tarif.
Same as usual, s’il y a le moindre problème sur mon post, on en discute dans le canal adéquat et je ferais les potentielles modifications en conséquence.
Sorry, la fatigue + mal de crâne, je me relis plus tard. La bise.
Énergie Spirituelle : 52
Résistance : 193
Combat : 42
Dégâts : 25
Combat magique : 185
Kido : 369
Zanpakuto : 394
Résilience : 17
Sensorialité : 34
Grade : Lieutenant
Résistance : 193
Combat : 42
Dégâts : 25
Combat magique : 185
Kido : 369
Zanpakuto : 394
Résilience : 17
Sensorialité : 34
Grade : Lieutenant
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Lieutenant
Ryuzoji Genichiro le Surarchimaîtremage
Re: Fable n°2 : Odyssée millénaire - Ven 26 Fév - 10:08
FABLE N°2 : ODYSSÉE MILLÉNAIRE
聞いて下さい
Alors que tu t'apprêtais à faire usage de tes plus belles arias pour régler cette situation catastrophique, un nouvel événement vint perturber tes intentions. Pour une raison obscure, tu avais l'impression d'être dans le creux de la main d'un Dieu s'amusant de ta personne... À moins que tu n'es commis d'horribles crimes dans une vie passé, que tu payes en cet instant. Pestant à voix basse, tu te retrouvas face à un choix cornélien : ramener Kagami et ton zanpakuto, ou sortir Genichiro de cette situation. Tu n'avais malheureusement pas vraiment le temps d'y réfléchir, ton plan était tombé à l'eau au moment où la végétation avait décidé, à son tour, d'entraver ta route.
Il ne fallait pas être un génie pour comprendre que si la végétation commençait à s'agiter autour de la stèle, elle finirait par également vous atteindre tous les trois. Ton attention fut alors retenue par Kagami, trouvant un restant d'énergie pour arracher ta lame et venir frôler la zone dans laquelle tu l'avais laissé. Un mouvement étrange, qui te laissa penser durant un instant à une tentative de fuite de sa part. Tu fus d'autant plus surpris lorsque ce dernier commença à incanter un sort que tu connaissais parfaitement : le Jigokucho. Une tentative pour lui de prévenir ses confrères renégats ? Au final, tu regrettais de ne pas l'avoir tué quand tu en avais eu l'occasion... Malheureusement pour lui, tu étais un officier de la neuvième division, s'il existait bien un sujet que tu maîtrisais, c'était le kido et un sort aussi répandu n'avait aucun secret pour toi. À peine commença t-il à prononcer ses premiers mots, que tu dirigeas ton index en sa direction.
Par chance, Genichiro parvint à te faire gagner du temps. Peut-être étais-ce relativement court, mais suffisant pour te permettre de réduire les actions du traître à néant.
"Volute de soufre dans le paradis des gardiens. Les parasites luttent contre les parasites. Meurs ! Hadō n°12 : Byakurai !"
Alors que le papillon prit forme et que Kagami commença à dicter son message, un éclair blanc comme la nacre traversa la zone, partant de ton index pour venir carboniser le messager infernal. Nul ne viendrait le sortir de cette situation et cette stèle resterait un secret connu de toi et Genichiro seulement.
Te dirigeant rapidement vers ce dernier, tu agrippas son bras pour le basculer autour de ta nuque. Ta main sur son avant-bras et la seconde sous son autre bras, tu accéléras sa cadence pour lui permettre de fuir dans les temps. Kagami n'en sortirait sans doute pas vivant, ayant pris la décision de se diriger dans la direction opposée, là où la nature se montrait plus meurtrière encore qu'un Yokai. Au fur et à mesure que vous vous éloigniez, la végétation semblait freiner ses pulsions, se montrant de plus en plus calme... Serait-ce suffisant ? Des secours arriveront-ils dans les temps ? Rien n'était sûr.
Tu n'en avais cependant pas fini avec cette histoire de stèle. Tu avais laissé derrière toi une partie de ton âme, entre les mains de ce félon... Tu reviendrais chercher sa dépouille pour la présenter au Concile Blanc et tu récupérerais ta fidèle lame, Hyoutenka. Tu sentais ton cœur s'arrachait à l'idée de laisser ton Zanpakuto en arrière, mais tu n'avais guère le choix. Si tu avais décidé de rattraper Kagami, sans doute aurais-tu ramené ton sabre et le traître, mais au prix de la vie d'un officier de la septième division...
"Tiens le coup, on va sortir de ce merdier. Appuie-toi sur moi et contente-toi de marcher aussi vite que possible. Pour la stèle, gardons cette information pour nous, on ne sait rien de ce qu'il se passe ici, on y repensera à tête reposée... Vu la réaction de Kagami, on ferait mieux de prendre des gants sur cette dernière avant d'en parler à n'importe qui."
Tu espérais qu'il le comprenne. Une stèle capable de faire vriller un shinigami, d'annuler toutes formes d'énergies spirituelles et de déchaîner la nature... C'était quelque chose de suffisamment dangereux pour que tu veuilles la faire exploser. Il n'était pas l'heure des décisions, avant tout chose, vous deviez sortir d'ici. Les grandes discussions pouvaient attendre.
Il ne fallait pas être un génie pour comprendre que si la végétation commençait à s'agiter autour de la stèle, elle finirait par également vous atteindre tous les trois. Ton attention fut alors retenue par Kagami, trouvant un restant d'énergie pour arracher ta lame et venir frôler la zone dans laquelle tu l'avais laissé. Un mouvement étrange, qui te laissa penser durant un instant à une tentative de fuite de sa part. Tu fus d'autant plus surpris lorsque ce dernier commença à incanter un sort que tu connaissais parfaitement : le Jigokucho. Une tentative pour lui de prévenir ses confrères renégats ? Au final, tu regrettais de ne pas l'avoir tué quand tu en avais eu l'occasion... Malheureusement pour lui, tu étais un officier de la neuvième division, s'il existait bien un sujet que tu maîtrisais, c'était le kido et un sort aussi répandu n'avait aucun secret pour toi. À peine commença t-il à prononcer ses premiers mots, que tu dirigeas ton index en sa direction.
Par chance, Genichiro parvint à te faire gagner du temps. Peut-être étais-ce relativement court, mais suffisant pour te permettre de réduire les actions du traître à néant.
"Volute de soufre dans le paradis des gardiens. Les parasites luttent contre les parasites. Meurs ! Hadō n°12 : Byakurai !"
Alors que le papillon prit forme et que Kagami commença à dicter son message, un éclair blanc comme la nacre traversa la zone, partant de ton index pour venir carboniser le messager infernal. Nul ne viendrait le sortir de cette situation et cette stèle resterait un secret connu de toi et Genichiro seulement.
Te dirigeant rapidement vers ce dernier, tu agrippas son bras pour le basculer autour de ta nuque. Ta main sur son avant-bras et la seconde sous son autre bras, tu accéléras sa cadence pour lui permettre de fuir dans les temps. Kagami n'en sortirait sans doute pas vivant, ayant pris la décision de se diriger dans la direction opposée, là où la nature se montrait plus meurtrière encore qu'un Yokai. Au fur et à mesure que vous vous éloigniez, la végétation semblait freiner ses pulsions, se montrant de plus en plus calme... Serait-ce suffisant ? Des secours arriveront-ils dans les temps ? Rien n'était sûr.
Tu n'en avais cependant pas fini avec cette histoire de stèle. Tu avais laissé derrière toi une partie de ton âme, entre les mains de ce félon... Tu reviendrais chercher sa dépouille pour la présenter au Concile Blanc et tu récupérerais ta fidèle lame, Hyoutenka. Tu sentais ton cœur s'arrachait à l'idée de laisser ton Zanpakuto en arrière, mais tu n'avais guère le choix. Si tu avais décidé de rattraper Kagami, sans doute aurais-tu ramené ton sabre et le traître, mais au prix de la vie d'un officier de la septième division...
"Tiens le coup, on va sortir de ce merdier. Appuie-toi sur moi et contente-toi de marcher aussi vite que possible. Pour la stèle, gardons cette information pour nous, on ne sait rien de ce qu'il se passe ici, on y repensera à tête reposée... Vu la réaction de Kagami, on ferait mieux de prendre des gants sur cette dernière avant d'en parler à n'importe qui."
Tu espérais qu'il le comprenne. Une stèle capable de faire vriller un shinigami, d'annuler toutes formes d'énergies spirituelles et de déchaîner la nature... C'était quelque chose de suffisamment dangereux pour que tu veuilles la faire exploser. Il n'était pas l'heure des décisions, avant tout chose, vous deviez sortir d'ici. Les grandes discussions pouvaient attendre.
- Résumé:
Attraits utilisés : Sorcier
Pour résumer : Zen voit Kagami se débattre pour extraire la lame et ramper jusqu'à la frontière de la zone. il reconnaît ensuite l'incantation du papillon de l'enfer (9ème représente) et incante à son tour un Byakurai (Hado n°9) pour foudroyer le messager encore sur la main de Kagami en train lui transmettre son message.
Après quoi, Zen décide d'abandonner le renégat à son sort pour se pré-occuper de Gen. Il tente alors de l'emmener loin de tout ce merdier, espérant sans s'en sortir à temps et avec l'arrivée de la dixième division.
Inventaire :
- 1 Plastron
- 1 Renfort Bras (Endommagé)
- 1 Renfort Jambe
- 1 Kit Fumigène/Poudre Noir/Bombe Flash
Invité Invité
Re: Fable n°2 : Odyssée millénaire - Ven 26 Fév - 13:20
Sennen no Taisaku
千年の大作
La nature se dresse devant votre Humanité chérie. Tout le saoul qui déborde de vos organismes s'invitent à l'autel du sacrifice. Tant de sang, offert sur un plateau d'ivoire, destiné à alimenter une Stèle séculaire, aux desseins obscurs. Pourtant, votre instinct de survie décide de refuser cette sordide conclusion. Vous vous accrochez tous les trois à la vie, malgré vos conditions respectives, et vous échappez de la zone blanche, et pourtant maculée, afin de ne pas servir de compost à l'île de Kyūshū – ou pire encore. Quelle entité démoniaque se cache donc derrière ces sigles et sigils ?
@Kamui Zen'ichiro, tu vois ce malingre du Troisième Œil composer une incantation que tu connais trop bien, et lui susurrer un message long comme le bras, prononçant sans cesse les mêmes lettres. Tu arrives à lire sur ses lèvres : des « X », des « I », des « V ». Tu te doutes que le message est crypté, mais celui-ci prend un temps fou. D'une Foudre Blanche, tu pulvérises la création artificielle, crachant tout ton sel sur cette connaissance venimeuse que tu te jures de retrouver, puis vas porter secours à l'Officier de l'Ordre Mnémonique. Ce petit contretemps ne vous cause aucun soucis. Chassant la nature ensauvagée, vous vous éloignez de la Stèle en attendant les secours que tu as appelé. Tu essayes de faire tout ton possible pour stabiliser l'état de ton frère de sang, après l'avoir protégé pendant tant de temps, mais ne disposes hélas d'aucun sortilège de Kaidō. Son seul salut est de compresser les contours de la plaie, tandis que le zanpakutō de Kagami lui perfore toujours le flanc, et bien plus encore. Les renforts arrivent. Si tu l'abandonnes maintenant à son sort, c'en est fini de lui. Il suffit d'attendre... encore un peu...
@Itsuwari Kagami, la folle aventure que tu as enclenché n'est pas terminée. Malgré que ton premier Papillon Infernal s'est fait exploser sans vergogne, tu as réussi à t'éloigner de la zone sacrée, en possession de l'arme du Kamui, cette connaissance qui – tu l'as vu dans ses yeux – ne te pardonnera jamais. Il n'est plus question de Stèle, mais de survie. Après avoir couru tant bien que mal, usant de ce nouveau zanpakutō en guise d'une canne pour compenser ta jambe incapable, tu traces suffisamment de distance pour tenter une nouvelle incantation. Par chance, cette fois, personne n'est là pour te harceler. Ton message s'envole dans les cieux, sillonnant le ciel en destination du Troisième Œil. Même si tu meurs, les tiens seront avertis. Mais... tu ne veux pas mourir. Seul contre tous, tu mets tes sens en exergue pour ne pas te retrouver dos au mur. Tu développes ton sixième sens et l'affutes, afin de sublimer ce radar spirituel. Malgré les traces sanglantes que tu laisses dans ton sillage, tu fais tout en ton possible pour esquiver les signatures spirituelles, t'enfonçant dans l'île de Kyūshū. Tu ne te retournes pas. Tu n'as pas le temps pour ça. Tu dois avancer, te cacher, attendre l'arrivée de tes renforts à toi. Cela prendra des heures, au bas mot, le temps que le Papillon Infernal arrive à destination, et que tes pairs fassent le trajet jusqu'à cette île isolée. Mais tu sais que tu peux survivre jusque-là. Tu en es même persuadé. Car, au bout du parcours, à la croisée des chemins, tu es le Sotaicho. Ta volonté transcende toute épreuve. Il faut que tu survives. Il faut que tu protèges la Soul Society. Avec ou sans bras, tu es l'élu du Nihon.
⬩ ⬩ ⬩
@Kamui Zen'ichiro, tu vois ce malingre du Troisième Œil composer une incantation que tu connais trop bien, et lui susurrer un message long comme le bras, prononçant sans cesse les mêmes lettres. Tu arrives à lire sur ses lèvres : des « X », des « I », des « V ». Tu te doutes que le message est crypté, mais celui-ci prend un temps fou. D'une Foudre Blanche, tu pulvérises la création artificielle, crachant tout ton sel sur cette connaissance venimeuse que tu te jures de retrouver, puis vas porter secours à l'Officier de l'Ordre Mnémonique. Ce petit contretemps ne vous cause aucun soucis. Chassant la nature ensauvagée, vous vous éloignez de la Stèle en attendant les secours que tu as appelé. Tu essayes de faire tout ton possible pour stabiliser l'état de ton frère de sang, après l'avoir protégé pendant tant de temps, mais ne disposes hélas d'aucun sortilège de Kaidō. Son seul salut est de compresser les contours de la plaie, tandis que le zanpakutō de Kagami lui perfore toujours le flanc, et bien plus encore. Les renforts arrivent. Si tu l'abandonnes maintenant à son sort, c'en est fini de lui. Il suffit d'attendre... encore un peu...
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@Itsuwari Kagami, la folle aventure que tu as enclenché n'est pas terminée. Malgré que ton premier Papillon Infernal s'est fait exploser sans vergogne, tu as réussi à t'éloigner de la zone sacrée, en possession de l'arme du Kamui, cette connaissance qui – tu l'as vu dans ses yeux – ne te pardonnera jamais. Il n'est plus question de Stèle, mais de survie. Après avoir couru tant bien que mal, usant de ce nouveau zanpakutō en guise d'une canne pour compenser ta jambe incapable, tu traces suffisamment de distance pour tenter une nouvelle incantation. Par chance, cette fois, personne n'est là pour te harceler. Ton message s'envole dans les cieux, sillonnant le ciel en destination du Troisième Œil. Même si tu meurs, les tiens seront avertis. Mais... tu ne veux pas mourir. Seul contre tous, tu mets tes sens en exergue pour ne pas te retrouver dos au mur. Tu développes ton sixième sens et l'affutes, afin de sublimer ce radar spirituel. Malgré les traces sanglantes que tu laisses dans ton sillage, tu fais tout en ton possible pour esquiver les signatures spirituelles, t'enfonçant dans l'île de Kyūshū. Tu ne te retournes pas. Tu n'as pas le temps pour ça. Tu dois avancer, te cacher, attendre l'arrivée de tes renforts à toi. Cela prendra des heures, au bas mot, le temps que le Papillon Infernal arrive à destination, et que tes pairs fassent le trajet jusqu'à cette île isolée. Mais tu sais que tu peux survivre jusque-là. Tu en es même persuadé. Car, au bout du parcours, à la croisée des chemins, tu es le Sotaicho. Ta volonté transcende toute épreuve. Il faut que tu survives. Il faut que tu protèges la Soul Society. Avec ou sans bras, tu es l'élu du Nihon.
HRP. Cette Introduction à la Fable n°2 touche à sa fin. Voilà le résumé des actions pour que tout le monde puisse rebondir dessus. Bonne suite à tous !
1. Tous ceux présents sur l'île de Kyūshū, disposant d'un RP récent en guise de justificatif, peut rejoindre la Fable. Les membres de la Panacée, sur place, disposent d'une justification inhérente à la position de leur QG.
2. @Itsuwari Kagami s'en va de son côté, seul, et utilise son Attrait Senseur pour essayer d'échapper aux représailles. Pour le retrouver, il vous faudra obligatoirement l'Attrait Senseur. Même s'il n'a qu'une jambe, la forêt est grande.
3. @Ryuzoji Genichiro est aux portes de la mort, et a besoin de soins urgents. Il est pour le moment inconscient, mais respire encore. Son pronostic vital est engagé.
4. La nature est encore engourdie, à peine capable de traquer ses proies. Les mouvements des racines et des branches sont lents. Avec le départ des principaux concernés, la flore redevient immobile, inerte. La Stèle est donc accessible.
Enfin, suite à ce combat, vous héritez tous d'une prime, notée en fonction du Fair-Play, du Risque, de l'Ingéniosité, et de l'Issue du combat. @Itsuwari Kagami, @Kamui Zen'ichiro et @Ryuzoji Genichiro, vous gagnez respectivement 10XP, 13XP, et 15XP.
1. Tous ceux présents sur l'île de Kyūshū, disposant d'un RP récent en guise de justificatif, peut rejoindre la Fable. Les membres de la Panacée, sur place, disposent d'une justification inhérente à la position de leur QG.
2. @Itsuwari Kagami s'en va de son côté, seul, et utilise son Attrait Senseur pour essayer d'échapper aux représailles. Pour le retrouver, il vous faudra obligatoirement l'Attrait Senseur. Même s'il n'a qu'une jambe, la forêt est grande.
3. @Ryuzoji Genichiro est aux portes de la mort, et a besoin de soins urgents. Il est pour le moment inconscient, mais respire encore. Son pronostic vital est engagé.
4. La nature est encore engourdie, à peine capable de traquer ses proies. Les mouvements des racines et des branches sont lents. Avec le départ des principaux concernés, la flore redevient immobile, inerte. La Stèle est donc accessible.
Enfin, suite à ce combat, vous héritez tous d'une prime, notée en fonction du Fair-Play, du Risque, de l'Ingéniosité, et de l'Issue du combat. @Itsuwari Kagami, @Kamui Zen'ichiro et @Ryuzoji Genichiro, vous gagnez respectivement 10XP, 13XP, et 15XP.
Grade : Désolation
Désolation
Volonté du Nihon
Re: Fable n°2 : Odyssée millénaire - Ven 26 Fév - 18:05
Gakusha Segata
聞いて下さい
Bercée par le parfum idyllique de ce pandémonium sylvestre aux milles artifices oniriques, l’Oriflamme d’or et d’argent se remettait des tumultes qui avaient envahi le Jûbantaï après cette opération de sauvetage grandeur nature. Un tel événement ne consistait pas seulement en la guérison des soldats concernés mais de gérer toutes ses conséquences, tant sur le plan administratif que sur l’avenir de la médecine elle-même. Rencontrer de nouveaux les blessés, s’assurer de leur rémission totale, trouver des solutions pour les séquelles les plus graves … Et surtout, concernant le sorcier, récolter l’avis de ces derniers pour jauger des moyens qui leur avait fait défaut durant cette expédition. Ainsi, affublé de plusieurs entrevues avec eux, l’ampleur de la menace fut suffisante pour hanter les réflexions de notre homme quant à la réalisation de son projet.
Heureusement, la place n’était plus aux escarmouches administratives mais plutôt à la détente et la festivité au travers de ce décor des plus étonnant et inhabituel, propre au génie d’un de leur confrère. Ce dernier leur offrait une bouffée d’air frais très appréciable du moins selon Gakusha qui lui-même s’avérait Friant de ce genre d’excentricité. Une façon de casser un peu les codes des divisions, de leurs formalités et surtout de leur morosité. D’ailleurs, ne manquait pas de sentir cette odeur de grillé qui commençait à titiller la faim des gens sur place, d’une habille préparation qui allégerait sûrement le stress accumulé depuis des jours. Du moins … Presque.
Qu’est ce que … C’est quoi cette fumée ? Joukan Kôbo, Joukan Gakusha !
Ah … Ce moment paisible ne pouvait décidément durer éternellement. En pleine alerte, une recrue de la dixième vint les prévenir d’un étrange événement qui se déroulait dans les cieux, d’une fumée intrigante qui s'élevait loin dans le ciel. Plus loin qu’à l’accoutumé. D’un coup d'œil empli de ses capacités analytiques, l’officier en reconnut la couleur et la proportion relative à son propre sort, le Hado 21. Cela indiquait au moins qu’une personne, un Shinigami, était présente sur les lieux. Mais … Sur leur propre territoire ? Cela annonçait le pire en connaissant les propriétés des points les plus reculés de la région, où les jungles renfermaient des dangers insoupçonnés.
Joukan Kôbo.
D’un mouvement de la tête, la complicité du guérisseur émérite laissa à ses soins le commandement militaire des personnes qui les entouraient, pendant que lui-même devait prendre des précautions notables. Sa silhouette se releva alors de ce qui lui servait de siège métaphorique, sans encore attraper sa tenue d’archimage délaissé dans le confort de la situation précédente. D’une alternance habile entre ses deux dextres, l'éphèbe déboutonna les attaches de la chemise au niveau de ses avants bras avant de les tendre sur les côtés. D’étranges mécanismes se mirent alors en route, inscrivant dans une raillerie quasi ésotérique un ensemble de runes et de glyphes le long de ses bras et de ses paumes.
Esprit qui saisit le destin de toute chose : les cieux, la terre, et les gens. Prends ma main.
Bakudō n°77 : Tenteikūra ! (天挺空羅, Le Filet Céleste Couvrant le Ciel)
Un spectacle hors norme défila devant les bras du Nécromancien, laissant s’incarner un halo de lumière carrée d’où jaillirent une grande quantité de branches incrustés à même le sol. Des liens spirituels éthérés qui peu à peu relièrent l’ensemble des membres de la dixième division et à priori d’autres personnes qui se trouveraient à sa connaissance dans cette zone.
Membre du Jûbantaï. Une menace de nature inconnue se trouve actuellement sur notre territoire. Il s’agit probablement d’un ou plusieurs Yokaï. Préparez les blocs opératoires et tenez vous prêt à accueillir des blessés graves. Section de déploiement tactique, dépêchez un groupe d’interventions d'urgence accompagnés de combattants. Eclaireurs, encadrez la forêt, le Yokaï supposé ne doit pas nous échapper. Je vous transmet notre position. Le Joukan Kôbo et moi-même encadreront cette intervention.
Voilà qui était l’occasion d’appliquer les prémices de son projet dans une mise en situation réelle. Chacun demeurait encore au fait des blessés de Tohoku, craignant l’apparition d’urgences de ce genre de plus en plus fréquemment et surtout briefé par les Joukan pour prémunir ce genre d'événement. Encore loin de s’imaginer la gravité des faits, Segata termina la communication avec ses confrères après leur avoir transmis les coordonnées. Le lien étrange et surprenant qui avait saisi leurs esprit depuis le néant se brisait alors, dissipant la voix autoritaire et inquisitrice du sorcier.
L’Oriflamme finit alors par attraper sa tenue et le balança en un mouvement latéral sur sa silouhette pour l’enfiler avec fluidité avant de se diriger vers la position avec le reste du groupe.
Enquis d’une myriade de pas et de d’ordre venant des plus hauts hiérarchiques, la vision de la réalité frappa subitement les membres de la dixième division. Deux soldats entachés de plusieurs blessures dont l’un plongé dans un état critique, sabre planté à même son corps. Un sabre ? Un Zanpakuto ? Derrière le caractère pragmatique du rôle de médecin entra en ébullition la rage du conjurateur qui nouait des liens spécifiques avec l’ordre Mnémonique, berceau de son savoir et des connaissances qui résidaient dans leurs quartiers principaux. Outre le respect, s’en prendre à l’un de leur membre voulait dire s’opposer à la soif maladive de Segata concernant le le savoir … Et les céramiques sur lesquelles il travaillait en ce moment. Une haine noir, profonde, proche de la possessivité ou d’un comportement très territoriale.
DEPÊCHEZ-VOUS !
Laissant une partie de la supervision à l’érudit Kôbo, l’alchimiste se plaça en première front pour réaliser une analyse rapide de la blessure et des soins d'urgence à apporter pour le stabiliser. Ils n’avaient pas encore le temps de prendre en compte la stèle ou ses composantes mystérieuses, ni ses conséquences. Du moins pas lui, surement son égale qui aurait plus de recule sur la situation. En effet, de son zèle habituel, Gakusha prit le risque nécessaire pour exercer son rôle premier ; Ce qui bien sûr n’était pas l’obligation des simples recrues et membres aux protocoles plus strictes. Avant d’interroger qui que ce soit où effectuer quelconque autre investigation, il devait surtout le guérir.
Ardoise striée. Saignent marteau et enclume. L'augure vaincu ravale ses psalmodies.
Kaidō n°71 : Kekkai ! (血塊, Caillot)
Sa main passa alors sur ses lèvres pour en tirer une substance nimbé de magie et commença à l’appliquer sur la plaie et ses environs dans le but de stopper l'hémorragie et surtout permettre à l’équipe autour de lui de compléter son action en retirant la lame en tout sécurité pour ensuite le confiner. De quoi stabiliser suffisamment dans un premier temps et offrir une fenêtre de guérison de premier ordre avant que Gakusha lui-même puisse activer son propre Shikai. Pour l’instant, il était plus intéressant de fonctionner par étapes et successions simultané qu’en solitaire.
Midori, tu vas retirer cette épée et commencer à t’occuper de la plaie. L'hémorragie ne sera plus un problème. Il lui faudra aussi une dose médicale d’urgence. Le temps que je puisse vous rejoindre avec mon Shikai.
Conformément aux méthodes du déploiement tactique élaborées par ses membres, Leo et Midori sauraient déjà quelle tâche effectuer et comment intervenir à même une zone de danger. Non loin d’eux paraissait un artefact mystérieux entouré d’une scène presque horrifique où la nature n’obéissait pas à l’agencement usuel de la jungle mais à une volonté presque humaine. Gakusha et les guérisseurs représentaient le groupe de proximité tandis que les autres seraient à même de superviser l'investigation de cette zone. Mais avant tout, dans l’urgence des faits, le regard foudroyant de l’archimage se posé sur l’individu proche qui tentait lui aussi de sauver Genichiro. Une personne qui aurait toute sa gratitude vue les liens d’estime qui unissaient les deux officiers. Pourtant ce fut d’une voix terrible que vint la question, presque menaçante. Pas envers lui, mais plutôt le commanditaire de cette tentative de meurtre.
Heureusement, la place n’était plus aux escarmouches administratives mais plutôt à la détente et la festivité au travers de ce décor des plus étonnant et inhabituel, propre au génie d’un de leur confrère. Ce dernier leur offrait une bouffée d’air frais très appréciable du moins selon Gakusha qui lui-même s’avérait Friant de ce genre d’excentricité. Une façon de casser un peu les codes des divisions, de leurs formalités et surtout de leur morosité. D’ailleurs, ne manquait pas de sentir cette odeur de grillé qui commençait à titiller la faim des gens sur place, d’une habille préparation qui allégerait sûrement le stress accumulé depuis des jours. Du moins … Presque.
Qu’est ce que … C’est quoi cette fumée ? Joukan Kôbo, Joukan Gakusha !
Ah … Ce moment paisible ne pouvait décidément durer éternellement. En pleine alerte, une recrue de la dixième vint les prévenir d’un étrange événement qui se déroulait dans les cieux, d’une fumée intrigante qui s'élevait loin dans le ciel. Plus loin qu’à l’accoutumé. D’un coup d'œil empli de ses capacités analytiques, l’officier en reconnut la couleur et la proportion relative à son propre sort, le Hado 21. Cela indiquait au moins qu’une personne, un Shinigami, était présente sur les lieux. Mais … Sur leur propre territoire ? Cela annonçait le pire en connaissant les propriétés des points les plus reculés de la région, où les jungles renfermaient des dangers insoupçonnés.
Joukan Kôbo.
D’un mouvement de la tête, la complicité du guérisseur émérite laissa à ses soins le commandement militaire des personnes qui les entouraient, pendant que lui-même devait prendre des précautions notables. Sa silhouette se releva alors de ce qui lui servait de siège métaphorique, sans encore attraper sa tenue d’archimage délaissé dans le confort de la situation précédente. D’une alternance habile entre ses deux dextres, l'éphèbe déboutonna les attaches de la chemise au niveau de ses avants bras avant de les tendre sur les côtés. D’étranges mécanismes se mirent alors en route, inscrivant dans une raillerie quasi ésotérique un ensemble de runes et de glyphes le long de ses bras et de ses paumes.
Esprit qui saisit le destin de toute chose : les cieux, la terre, et les gens. Prends ma main.
Bakudō n°77 : Tenteikūra ! (天挺空羅, Le Filet Céleste Couvrant le Ciel)
Un spectacle hors norme défila devant les bras du Nécromancien, laissant s’incarner un halo de lumière carrée d’où jaillirent une grande quantité de branches incrustés à même le sol. Des liens spirituels éthérés qui peu à peu relièrent l’ensemble des membres de la dixième division et à priori d’autres personnes qui se trouveraient à sa connaissance dans cette zone.
Membre du Jûbantaï. Une menace de nature inconnue se trouve actuellement sur notre territoire. Il s’agit probablement d’un ou plusieurs Yokaï. Préparez les blocs opératoires et tenez vous prêt à accueillir des blessés graves. Section de déploiement tactique, dépêchez un groupe d’interventions d'urgence accompagnés de combattants. Eclaireurs, encadrez la forêt, le Yokaï supposé ne doit pas nous échapper. Je vous transmet notre position. Le Joukan Kôbo et moi-même encadreront cette intervention.
Voilà qui était l’occasion d’appliquer les prémices de son projet dans une mise en situation réelle. Chacun demeurait encore au fait des blessés de Tohoku, craignant l’apparition d’urgences de ce genre de plus en plus fréquemment et surtout briefé par les Joukan pour prémunir ce genre d'événement. Encore loin de s’imaginer la gravité des faits, Segata termina la communication avec ses confrères après leur avoir transmis les coordonnées. Le lien étrange et surprenant qui avait saisi leurs esprit depuis le néant se brisait alors, dissipant la voix autoritaire et inquisitrice du sorcier.
L’Oriflamme finit alors par attraper sa tenue et le balança en un mouvement latéral sur sa silouhette pour l’enfiler avec fluidité avant de se diriger vers la position avec le reste du groupe.
[...]
Enquis d’une myriade de pas et de d’ordre venant des plus hauts hiérarchiques, la vision de la réalité frappa subitement les membres de la dixième division. Deux soldats entachés de plusieurs blessures dont l’un plongé dans un état critique, sabre planté à même son corps. Un sabre ? Un Zanpakuto ? Derrière le caractère pragmatique du rôle de médecin entra en ébullition la rage du conjurateur qui nouait des liens spécifiques avec l’ordre Mnémonique, berceau de son savoir et des connaissances qui résidaient dans leurs quartiers principaux. Outre le respect, s’en prendre à l’un de leur membre voulait dire s’opposer à la soif maladive de Segata concernant le le savoir … Et les céramiques sur lesquelles il travaillait en ce moment. Une haine noir, profonde, proche de la possessivité ou d’un comportement très territoriale.
DEPÊCHEZ-VOUS !
Laissant une partie de la supervision à l’érudit Kôbo, l’alchimiste se plaça en première front pour réaliser une analyse rapide de la blessure et des soins d'urgence à apporter pour le stabiliser. Ils n’avaient pas encore le temps de prendre en compte la stèle ou ses composantes mystérieuses, ni ses conséquences. Du moins pas lui, surement son égale qui aurait plus de recule sur la situation. En effet, de son zèle habituel, Gakusha prit le risque nécessaire pour exercer son rôle premier ; Ce qui bien sûr n’était pas l’obligation des simples recrues et membres aux protocoles plus strictes. Avant d’interroger qui que ce soit où effectuer quelconque autre investigation, il devait surtout le guérir.
Ardoise striée. Saignent marteau et enclume. L'augure vaincu ravale ses psalmodies.
Kaidō n°71 : Kekkai ! (血塊, Caillot)
Sa main passa alors sur ses lèvres pour en tirer une substance nimbé de magie et commença à l’appliquer sur la plaie et ses environs dans le but de stopper l'hémorragie et surtout permettre à l’équipe autour de lui de compléter son action en retirant la lame en tout sécurité pour ensuite le confiner. De quoi stabiliser suffisamment dans un premier temps et offrir une fenêtre de guérison de premier ordre avant que Gakusha lui-même puisse activer son propre Shikai. Pour l’instant, il était plus intéressant de fonctionner par étapes et successions simultané qu’en solitaire.
Midori, tu vas retirer cette épée et commencer à t’occuper de la plaie. L'hémorragie ne sera plus un problème. Il lui faudra aussi une dose médicale d’urgence. Le temps que je puisse vous rejoindre avec mon Shikai.
Conformément aux méthodes du déploiement tactique élaborées par ses membres, Leo et Midori sauraient déjà quelle tâche effectuer et comment intervenir à même une zone de danger. Non loin d’eux paraissait un artefact mystérieux entouré d’une scène presque horrifique où la nature n’obéissait pas à l’agencement usuel de la jungle mais à une volonté presque humaine. Gakusha et les guérisseurs représentaient le groupe de proximité tandis que les autres seraient à même de superviser l'investigation de cette zone. Mais avant tout, dans l’urgence des faits, le regard foudroyant de l’archimage se posé sur l’individu proche qui tentait lui aussi de sauver Genichiro. Une personne qui aurait toute sa gratitude vue les liens d’estime qui unissaient les deux officiers. Pourtant ce fut d’une voix terrible que vint la question, presque menaçante. Pas envers lui, mais plutôt le commanditaire de cette tentative de meurtre.
- Kido:
- Kaidō n°71 : Kekkai (血塊, Caillot)
Le praticien passe son pouce dans sa bouche pour retirer un filet de salive dense et collante, qu'il badigeonne sur une blessure afin de mettre un terme à l'hémorragie, sans prendre en compte la gravité de la blessure.
Bakudō n°77 : Tenteikūra (天挺空羅, Le Filet Céleste Couvrant le Ciel)
Le praticien lie son énergie spirituelle à la terre et atteint les cibles de son choix grâce à des racines spirituelles, invisibles, pour entrer en contact télépathique avec elles, à l'image d'un essaim disposant d'une conscience partagée.
- Résumé:
- - Gakusha réalise le Tentaikura et donne ses instructions à l'ensemble des membres de la dixième division et les potentielles personnes qui seraient dans la zone propre au Jubantai (Notamment @Kō Sana, @Nobunaga Hideyoshi, @Murashigi Roku et @Owari Hana qui ont des rps en cours avec moi). Donc cela ouvre la voie pour ceux qui veulent saisir une opportunité de Rp selon les modalités du staff à ce sujet.
- La section de déploiement tactique est sollicitée, conformément au projet et la sous branche sur lequel travail Segata.
- La menace est au départ considérée comme la présence potentielle d'un ou plusieurs Yokaïs. L'expérience vécue récemment par la dixième division suite à la Fable 1 les place naturellement dans une situation d'alerte particulière. Une partie des forces sera tout de même alloué à la surveillance de la forêt pour ne pas laisser échapper ce Yokaï présumé et éviter d'autres dégâts dans la région.
- Arrivé sur les lieux, Segata s'occupe directement de Genichiro en arrêtant l'hémorragie pour que la lame puisse être retirée et la blessure prise en charge. Le temps pour lui de préparer son Shikai en complément des interventions futures de ses camarades pour renforcer le tout.
- Il demande ensuite l'origine de cet acte à Zen.
Enjoy !
Source de l'avatar Grade : Officier
Source de l'avatar Officier
Gakusha Segata l'Exarque
Re: Fable n°2 : Odyssée millénaire - Ven 26 Fév - 19:01
... Pourquoi ? Le ciel était bleu, les oiseaux gazouillaient, la blonde savouraient avec un appétit et un plaisir certain la cuisson exemplaire d'une brochette de viande agrémentée de poivrons et de cubes de tomates, le croustillant d'un épis de maïs cuit aux braises, la somptueuse indécence d'une merguez juteuse et turgescente, tout ça pour être interrompus par diable sait quoi. De tous, la plus déçue devait être Midori.
"Tsk."
Saisissant de quoi se laver les babines, probablement le kimono de quelqu'un d'autre, la recrue accourait auprès de son supérieure. Doublement supérieur maintenant, sachant qu'elle faisait partie de sa branche d'intervention en plein conflit. Une drôle d'idée de sa part de recruter une recrue aussi jeune qu'elle, mais après tout c'était son choix. Peut-être l'avait-elle impressionné lors de leur rencontre, très probablement.
La situation ici semblait bien loin du paradis idyllique du barbecue en plein air. De ce qu'elle pouvait voir, deux blessés, gravement blessés, l'un avait même un zanpakuto lui remontant les entrailles pour embrasser non sans une certaine coquetterie l'arrière de son dos. C'était de lui dont il fallait s'occuper en premier. Cette avis, son supérieur semblait le partager, elle était très intriguée de comment lancer ce kido des lèvres pouvait fonctionner, mais si ça marchait, qu'en dire de plus.
"Je suis sur le dossier."
Oui, rien de plus facile que de retirer une épée d'un corps encore vivant sans lui broyer les organes ... Et après la première se plains que se battre c'est plus technique. Heureusement que son officier avait stoppé l'hémorragie, sinon cela aurait été cautérisation et cela sera oh bien plus douloureux. Redressant en position assise le blessé, elle tenait son dos d'une main et plaçait ses doigts sur le dos de la lame de l'autre. Si elle forçait trop, qui savait quels dégâts interne elle pourrait causer.
Elle tatait le terrain, essayant de faire doucement glisser la lame, mais elle était bien enfoncée. Elle inspirait, refermant sa prise et tirant l'épée d'un coup sec, ne sourcillant pas plus que ça au spasme que cela a provoqué. Un bref coup d'œil sur la lame, puis son intérêt se reportait sur la blessure. Il allait falloir le mettre dans un état stable et pour ça lui injecter la fameuse dose médicale.
"Si t'es pas encore dans les prunes, inspire lentement et par la bouche. Essaye de ralentir ton cœur au maximum."
Et disant cela, elle s'affaire à le maintenir en "bon état", regardant la plaie couverte par Kido de Segata et la pressant de ses mains pour limiter un peu plus la casse.
"Tout va bien se passer. Vous autre le zanpakuto."
"Tsk."
Saisissant de quoi se laver les babines, probablement le kimono de quelqu'un d'autre, la recrue accourait auprès de son supérieure. Doublement supérieur maintenant, sachant qu'elle faisait partie de sa branche d'intervention en plein conflit. Une drôle d'idée de sa part de recruter une recrue aussi jeune qu'elle, mais après tout c'était son choix. Peut-être l'avait-elle impressionné lors de leur rencontre, très probablement.
La situation ici semblait bien loin du paradis idyllique du barbecue en plein air. De ce qu'elle pouvait voir, deux blessés, gravement blessés, l'un avait même un zanpakuto lui remontant les entrailles pour embrasser non sans une certaine coquetterie l'arrière de son dos. C'était de lui dont il fallait s'occuper en premier. Cette avis, son supérieur semblait le partager, elle était très intriguée de comment lancer ce kido des lèvres pouvait fonctionner, mais si ça marchait, qu'en dire de plus.
"Je suis sur le dossier."
Oui, rien de plus facile que de retirer une épée d'un corps encore vivant sans lui broyer les organes ... Et après la première se plains que se battre c'est plus technique. Heureusement que son officier avait stoppé l'hémorragie, sinon cela aurait été cautérisation et cela sera oh bien plus douloureux. Redressant en position assise le blessé, elle tenait son dos d'une main et plaçait ses doigts sur le dos de la lame de l'autre. Si elle forçait trop, qui savait quels dégâts interne elle pourrait causer.
Elle tatait le terrain, essayant de faire doucement glisser la lame, mais elle était bien enfoncée. Elle inspirait, refermant sa prise et tirant l'épée d'un coup sec, ne sourcillant pas plus que ça au spasme que cela a provoqué. Un bref coup d'œil sur la lame, puis son intérêt se reportait sur la blessure. Il allait falloir le mettre dans un état stable et pour ça lui injecter la fameuse dose médicale.
"Si t'es pas encore dans les prunes, inspire lentement et par la bouche. Essaye de ralentir ton cœur au maximum."
Et disant cela, elle s'affaire à le maintenir en "bon état", regardant la plaie couverte par Kido de Segata et la pressant de ses mains pour limiter un peu plus la casse.
"Tout va bien se passer. Vous autre le zanpakuto."
- Résumé:
- Oto est auprès de Genichiro, s'appliquant à garder sa blessure sous contrôle après avoir retiré le Zanpakuto.
Grade : Officier
Officier
Midori Oto la Magelame
Re: Fable n°2 : Odyssée millénaire - Ven 26 Fév - 19:45
Leo
レオ
Un... barbecue. Si le contexte pouvait sembler invraisemblable pour les membres de la Jûbantai, ce moment de détente était ô combien mérité. Après avoir géré avec brio le cataclysme qui avait fait trembler les murs de l'Hôpital, chacun des intervenants avait obtenu le droit de se détendre pendant une journée ; à condition bien sûr, que leur aide ne soit pas subitement requise dans un cas de force majeure...
Bien que Leo ne soit pas le plus à l'aise dans ce genre de rassemblement, il avait accepté l'invitation de son confrère Kaiin, parfaitement conscient que la cohésion d'équipe était un facteur important lors d'une intervention. En cas d'urgence, il était impossible de se mettre en désaccord avec un collègue, chaque seconde étant importante. Et pour éviter ça, le mieux était d'apprendre à connaître à l'avance la personnalité et les réactions de chaque personne susceptible de se retrouver à ses côtés dans un environnement de travail. Donc, même lorsqu'il était censé se détendre... Leo voyait cette situation ainsi que les relations humaines sous un angle professionnel.
Sûrement que c'était pour cette raison que le Joukan Gakusha l'avait invité dans sa section, lui donnant un rôle primordial au sein du déploiement tactique. Parce qu'il fallait toujours être prêt à l'action, être le premier à réagir, le plus rapide ; parce que Leo ne se reposait jamais, même lorsqu'il était censé le faire. Ce n'était simplement pas dans sa nature de Né-Esprit. Et conformément à son besoin irrationnel de prouver sa valeur et de se montrer digne de la confiance qu'on lui accordait, l'Impassible avait été un des premiers debout lorsque l'étrange fumée avait été signalée. Il n'attendait qu'un ordre pour réagir, ayant déjà ordonné à son escouade de se tenir prête, d'un simple regard.
Le lien spirituel était à peine rompu que le Céleste s'élançait dans les airs, ses chakrams fendant le vent et tout ce qui aurait pu gêner sa progression, la fumée agissant comme son repère. Et si le territoire de la Dixième Division était une forêt dense, rendant parfois les interventions difficiles dans cette végétation luxuriante, la zone concernée était suffisamment dégagée pour se rendre compte de la situation d'un simple coup d'oeil. Deux victimes au sol, apparemment en besoin urgent de soins. Aucun danger immédiat visible, même s'ils devaient rester sur leurs gardes.
« Encerclez la zone, assurez-vous qu'il n'y a aucun danger. S'il y en a un, essayez de rester le plus loin possible sauf si nécessité de le gérer et attendez les combattants ! Vous connaissez le protocole, je vous fais confiance. »
Plongeant vers le sol, Leo fonça immédiatement vers les deux Shinigamis. Il faisait confiance à son escouade pour protéger leurs arrières ; lorsque des vies étaient en danger, il n'avait pas le choix.
« La Jûbantai arrive, tenez bon. »
Si le premier semblait pouvoir tenir le coup, le deuxième n'était pas en aussi bon état : une lame profondément plantée dans son ventre, il était inconscient, mais respirait encore. Son essence vitale s'écoulait dangereusement par cette profonde plaie, mais son confrère avait eu les bons réflexes. D'une voix calme et rassurante, Leo tenta de faire le maximum en attendant les renforts.
« Vous avez bien fait de ne pas retirer la lame. Continuez de comprimer la plaie, c'est parfait. »
Faisant aussi son possible pour empêcher le sang de quitter son hôte, le médecin gardait toute son attention sur ce patient, s'assurant que son cœur continue de battre et que sa respiration reste constante. Son rythme cardiaque était faible... mais il devrait survivre. Pourtant, il ne pouvait ignorer sa tâche initiale. Mais là où la situation semblait rassurante, était que les Yokai n'avait pas pour habitude de porter des Zanpakuto.
« Que pouvez-vous me dire sur les coupables, combien sont-ils et quand ont-ils quitté la zone ? Il y a-t-il d'autres dangers aux alentours ? »
S'assurant ainsi que le shinigami restait conscient et alerte malgré ses propres plaies, Leo récoltait les informations nécessaires pour sécuriser la zone et s'assurer que sa division puisse opérer sans inquiétudes autres que celles des patients. Seul, il ne pouvait retirer la lame et contenir la blessure en même temps ; ils devaient attendre les renforts, gardant l'Officier en vie par tous les moyens possibles. Ainsi, lorsque ses collègues arrivèrent, il laissa la place libre. Sa première tâche réussie, le Céleste dressa un bilan rapide de la situation avait de reprendre sa place initiale.
Retournant dans les cieux pour avoir l'avantage de la hauteur, il fut rassuré d'apprendre que son escouade n'avait apparemment constaté aucun danger aux environs. Pourtant... Leo n'arrivait pas à détacher son regard de cette stèle de pierre, de l'abondance de sang qui se trouvait autour, des branches et racines ayant pris des postures étranges...
- Spoiler:
- Résumé : Leo est un des premiers arrivés sur les lieux, grâce à son escouade de déploiement tactique et son attrait Être Céleste. Pendant que le reste de son escouade s'assure de sécuriser la zone, il vient au secours de Zen et Gen pour leur donner les premiers soins d'urgence et s'assurer que Gen reste en vie jusqu'à l'arrivée des renforts.
Grade : Officier
Officier
Leo le Céleste
Re: Fable n°2 : Odyssée millénaire - Sam 27 Fév - 17:45
Le pas lent et le regard tourné vers la voûte céleste, Hokusai parcourait avec nonchalance les derniers mètres le séparant de ses confrères. Et à en juger par son attitude rêveuse, il n’était pas vraiment pressé de les rejoindre. D’ailleurs, comme à son habitude, il pestait en silence contre cette « réunion informelle ». Râlant avec vigueur et ténacité, l’ancien soldat de l’Ordre Mnémonique regrettait déjà son oui. Après tout, il avait tant à faire dans son laboratoire : entre expériences et paperasses, son temps était précieux. Et puis, sympathiser avec les autres membres de la Panacée, cela ne l’intéressait pas. Du moins, c’est ce qu’il essayait de se convaincre. Car c’est bien son nouveau sobriquet qui l’avait convaincu de participer à cet événement. Poussé par un sursaut d’ego, le médecin refusa catégoriquement son surnom de « Vieux grincheux ». C’était tout bonnement inacceptable. C’est pourquoi, il se jura de changer l’opinion de ses camarades lors de cette sortie quelque peu champêtre.
Ainsi, avec vingt minutes de retard, le Joukan arriva enfin à destination. Tout sourire, il essaya de se faire une place discrète et d’aider au mieux ses collègues. Au fil des festivités, l’ancêtre multiplia les anecdotes et les conseils. Tel un patriarche, il tenta d’apporter ses lumières aux jeunes pousses. Toutefois, à mesure que ce repas s’éternisait, le masque du centenaire se craquela. Il n’était décidément pas fait pour la dînette, Segata était bien meilleur dans ce domaine, pensa-t-il.
Soudain, Dame Fortune intervint avec fracas pour sauver le grisonnant. Un danger se profilait à l’horizon. Devant l’urgence de la situation, l’homme aux cheveux cendrés brisa l’illusion sociale et retrouva son humeur impérieuse, avec soulagement. Rapidement debout et prompt à l’effort, il examina le nuage écarlate de façon sommaire et tourna par la suite ses yeux vers les visages de ses alliés. La réactivité était la clé dans ce genre de contexte.
Toi, le Keihai aux cheveux roux, tu as pour ordre de ranger ces lieux. Nous ne pouvons pas laisser un tel désordre derrière nous. L’honneur de la Panacée est en jeu.
La voix sèche et autoritaire de l’officier paralysa le jeune garçon quelques instincts. Ce dernier ne s’attendait pas à un tel revirement de tempérament. Cependant, il ne tarda pas à obéir, et cela, malgré le caractère ingrat de la tâche confiée.
Quant aux autres, suivez vos supérieurs respectifs. Je ne veux voir aucune initiative contraire à nos prérogatives. Nous sommes la Jubantai, pas des sauvages. J’espère que je me suis bien fait comprendre. Et surtout, rappelez-vous nos consignes une fois sur place : protéger, alerter, secourir.
Usant de ses pas les plus vifs, le Shinigami suivit le Joukan Gakusha sans peine. De plus, la présence de l’oriflamme apaisait ses craintes. En effet, à ses côtés, une certitude à toute épreuve s’imposait : leur duo pouvait tout affronter. Fort de cette confiance, il profita du trajet pour user de son Shikai afin de déposer deux marques sur son avant-bras. Puis, mentalement, il fit l’inventaire des troupes engagées dans cette mission. Malheureusement pour lui, sa défiance envers la jeune génération l’avait empêché de la connaître efficacement. Embourbé dans ses a priori et ses complaintes faciles, il s’était donc privé d’informations utiles. Frustré, il dut se rendre de nouveau à l’évidence qu’après 244 ans d’existence, il lui restait encore beaucoup de choses à apprendre. Limité dans ses réflexions, il fit alors le choix de laisser une certaine autonomie à ses pairs. D’expérience, il savait que tout contrôler était souvent contre-productif. Il fallait donc laisser une place aux choix individuels, ni trop grande ni trop petite.
[…]
En un coup d’œil, le médecin comprit les dessous de ce drame. Les lacérations, les plaies et le sabre planté dans la chair ne pouvaient indiquer qu’une seule chose, un ou des traîtres avaient attaqué ces deux guerriers. Face à cette vérité, Hokusai eut pour réflexe d’inspecter visuellement les alentours. À son grand dam, il ne distingua aucune silhouette humanoïde. La seule chose qu’il vit, fut le chemin sanguin qui liait les hommes meurtris au feu champ de bataille. Du fait de ses sobres constatations, il s’empressa d’avertir ses partenaires.
Nous avons affaire à un combat entre Shinigami. Soyez vigilant. Consolidez le périmètre établi par la première équipe. Aucun membre d’aucune autre division ne doit approcher les lieux.
Segata. Une quarantaine s’impose. Je demande immédiatement à la Panacée d’encadrer notre intervention. Si un ou des tueurs de Shinigami rodent, les autorités doivent le ou les retrouver au plus vite.
Accueillant de son index l’être ailé, le vieillard transmit avec hâte le peu d’information qu’il possédait. En plus de l’attaque suspecte et de l’absence de l’assaillant, il suggéra fortement la mise en place d’une quarantaine stricte et annonça l’envoi de troupes en direction de l’emplacement où l’assaut avait probablement eu lieu. Une fois cela fait, le papillon prit son envol vers les quartiers du Fukutaicho Taira.
Vous les trois Kaiin, suivez le filet de sang et inspecter la zone. Méfiez-vous de tout, des pièges peuvent exister. Faites un rapport au moindre mouvement suspect et ne vous engagez dans aucune bataille. Suis-je clair ? Une fois ces deux patients stabilisés, je viendrais vous porter assistance.
Grâce à cette courte incantation, deux fleurs d’un vert pur se mirent à fleurir sur le bras du Joukan. Impassible et sévère, ce dernier les déposa sur les corps ensanglantés et les fit ensuite avaler aux deux Shinigami. Ainsi, complétant l’action de ses camarades, le polyglotte tentait de redonner de l’énergie vital à ses cibles afin de faciliter l’interrogatoire. Une fois à portée du visage, il reconnut le soldat de la Septième. Il s’était déjà croisé durant cette saison hivernale. Ignorant ce détail sans importance, il se concentra sur le mieux portant.
Joukan Kobô de la Panacée. Nous sommes actuellement en train de soigner l’officier Genichiro. Soyez donc bref, donnez-nous toutes les informations nécessaires. Le temps nous est compté.
Comme à son habitude, le grincheux alla droit au but. S’il voulait agir avec discernement et efficience, il devait gagner la course contre l’horloge. Pour cela, il sacrifia sans aucun regret la cordialité et les banalités.
Et toi le tire-au-flanc ! Tu attends quoi pour agir ? Cet homme est quasiment exsangue !
Bon sang, il faut vraiment tout faire ici !
Avec une brutalité sans nom, l’ancien attrapa le pauvre gamin et le fit s'asseoir aux côtés du membre de l’Ordre. Là, usant de ses connaissances médicales et du matériel transporté par le jeunot, il mit en place une transfusion sanguine expresse.
Maintenant, tu restes là et tu surveilles ses constantes. Tiens, prends les restes de ma fleur, donne-lui de façon régulière. Tu as compris ? Bien. Je peux donc passer à autre chose.
L’aparté fut court, mais elle avait eu le don d’énerver l’exigeant scientifique. Il détestait l’incompétence, surtout en pleine mission.
- Résumé:
- Attrait : Shikai | Horion
- Averti par son compère et le nuage rouge, Hokusai se précipite vers l'origine du Kido.
- Utilise son Shikai pour marquer son bras gauche deux fois.
- Déclare la quarantaine des environs et informe son supérieur hiérarchique via un Jigenkucho. (Horion)
- Fait éclore ses deux fleurs et les donne aux deux combattants. (Shikai)
- Met en place une transfusion sanguine pour aider Genichiro à se remettre de ses blessures.
- Shikai:
Amatsu Kaga (天つ花芽, Bourgeon Impérial)
En puisant dans sa propre énergie vitale, Hokusai peut alors faire éclore des fleurs. Les pétales de ces dernières, une fois ingérés, régénèrent la vitalité du gourmand.
Grade : Officier
Officier
Kobô Hokusai le Polyglotte
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